Elian t'avais invité à une petite soirée, en fait t'étais légèrement stressée puisque c'est la toute première fois que tu allais te poser au bras du beau blond devant ses amis, enfin ceux avec qui il jouait présentement et tout ce que t'espères c'est de pouvoir passer du moment en sa compagnie, de pouvoir retrouver le sourire. Faut dire que tu avais réussi à te rendre chez Sullivan pendant quelques jours, pour passer du temps en la compagnie du beau brun qui devait se rendre au boulot ce soir et c'est pourquoi t'as accepté son invitation. Disons qu'il te manquait, il y a très longtemps que vous ne vous étiez pas vus et faut le dire, il est tout simplement très important pour ta petite personne puisqu'il a toujours été là pour toi. Tandis que tu te préparais, tu replaces ta robe ainsi que de mettre un peu de rouge à lèvre contre tes lippes, replaçant tes cheveux par la même occasion mais surtout stressée de pouvoir sortir dehors en sachant que ton mari pouvait être dans les parages mais qu'importe. Alors tu viens finalement à enfiler ton manteau pour sortir dehors et de prendre le premier taxi qui te tombait sous la main, histoire de te rendre jusqu'à l'endroit dont Elian t'avais parlé et une fois dehors, tu laisses échapper un petit soupir entre tes lippes, observant les gens qui entraient à l'intérieur comme tu ne connaissais personne en ce moment. Observant ton téléphone, tu envoies un message au beau blond afin de lui dire que tu étais dehors et que tu l'attendais avec impatience, jetant un regard vers ces personnes qui étaient en couples et qui entraient dans l'immeuble, qui rigolaient entre eux et toi qui sentait tes battements de coeur qui sentaient de plus en plus intenses dans ta poitrine. @elian davidson

Il était prévu que je fasse un petit concert avec quelques collègues ce soir. Ce n’était pas le genre de chose qu’on nous obligeait toujours à faire, mais j’aimais me porter volontaire pour ce genre d’évènement un peu différent, où je pouvais exploiter mon métier différemment et faire de nouvelles connaissances. Généralement, j’y allais seul, mais puisqu’il n’était pas seulement question du concert ce soir, j’avais décidé d’inviter une personne une amie. En effet, il y avait un moment que je n’avais pas vu Nora, compte tenu qu’elle n’habitait plus chez moi depuis un bout maintenant. Je ne lui en voulais pas, je ne lui reprochais rien, tant qu’elle était bien et qu’elle était en sécurité. Mais passer de la voir tous les jours à rien du tout, ça m’avait fait étrange. Je ne lui avais pas dit, je savais qu’elle avait de quoi s’occuper, mais lorsque j’avais eu cette possibilité de l’inviter, je ne m’étais pas gêné de le faire. J’avais été ravi qu’elle réponde par la positive. Je lui avais envoyé les détails, l’adresse où venir me retrouver, tout ce qui venait avec. Puis quelque temps avant mon heure de départ, j’avais commencé à me préparer. Je me préparais comme je me préparais pour n’importe quel concert; Douche, barbe taillée, cheveux coiffés. Je ne démordais pas de mes habitudes et présence d’une amie ou non, ça ne faisait pas exception à la règle. J’avais enfilé ma chemise blanche, mais pas mon noeud papillon ou mon veston. J’apportais le tout dans une housse de vêtements pour l’enfiler plus tard, avec une chemise de plus au cas, comme à mon habitude. La housse dans une main, mon instrument dans l’autre, je quittai ma demeure pour prendre la route vers la salle de spectacle. Pendant le trajet, je vis le message de Nora s’afficher sur l’écran de ma voiture. Je ne répondis pas, j’arrivai un instant après. Je me garai, pris ce avec quoi j’étais parti, et je retrouvai rapidement mon amie à l’entrée. Elle avait décidé de mettre une robe, je ne regrettais clairement pas de l’avoir invitée. Tout sourire, j’attirai son attention en lui disant:  « Mademoiselle Langford, vous êtes magnifique ce soir. » tandis que je terminais de franchir les quelques pas qui nous séparaient. J’ajoutai ensuite:  « Je suis désolé. Je ne t’ai pas fait attendre trop longtemps j’espère ? » Je m’étais déjà senti bien mal quand j’avais vu son message me disant qu’elle était arrivée, j’espérais que ça n’ait pas été trop long pour elle, ce n’était pas très galant de ma part sinon.

En fait le beau brun te manquait, disons que tu avais commencer à habiter chez lui et que maintenant tu étais chez Sullivan comme le beau brun t'avais demander de rester, de ne plus sortir et que tu n'as aucunement pas envie de te prendre la tête avec lui. Faut dire qu'il ne t'as pas laisser le choix de t'en aller, surtout après t'avoir retrouvé dans une mauvaise phase puisqu'il t'as retrouvé lorsque tu avais passé cet instant dans les bras de ton mari et ses amis. Maintenant, tu sais que l'infirmier n'aimait pas te laisser t'en aller comme cela et pourtant tu lui as dis que t'étais en protection, que tu sais que Elian n'allait laisser personne t'approcher ou même te faire du mal. Tandis que tu arrivais en face de l'immeuble, tu laissais toutes ces personnes s'approcher de toi, de monter les marches en se demandant qui tu étais puisqu'ils ne t'ont jamais vus en face d'eux jusqu'à ce que tu entendais la voix du beau brun et tu sursautais légèrement mais un rire s'échappe d'entre tes lippes. Disons que tu ne t'attendais pas à le voir arriver derrière ta petite personne et tu tournes la tête rapidement, te tournant par la même occasion et de replacer cette robe moulante. Monsieur Davidson, vous m'avez fait peur et je vous remercie de ce compliment... souffles-tu en gardant ce même petit sourire amusé contre tes lippes, faisant presque un signe de révérence en étant amusée par ce genre d'occasion. Dès qu'il te demandait si tu étais arrivée il y a bon nombre de temps tu faisais un signe de la tête que non avant de faire quelques pas vers lui et posant l'une de tes mains contre son torse, ton autre se glisse contre sa joue avant d'embrasser cette dernière, souriant encore plus. Mais non ne t'inquiètes pas, j'étais sûre que tu n'allais pas me poser un lapin... dis-tu en étant amusée par la situation. Alors, pas trop nerveux ? @elian davidson

Nora n’était pas restée aussi longtemps que je l’aurais cru dans un premier temps, et son départ avait été fait de façon plutôt précipitée, ce qui m’avait quelque peu pris de court. Et progressivement, je m’étais rendu compte que j’étais parvenu à m’habituer à sa présence, que j’avais pris des habitudes que je ne pensais pas être en mesure de prendre, trop habitué à vivre en solitaire. Bien des formalités, des tabous étaient tombés avec Nora pendant ce temps, pour moi en tout cas. Du coup, il n’était pas gênant de la complimenter sur sa tenue, de sentir son contact qui, je m’en rendais compte maintenant, m’avait manqué. Je souris doucement à son petit geste, me montrant soulagé de savoir qu’elle n’avait pas attendu trop longtemps. Pourtant, ce n’était pas mon genre d’être en retard, il fallait croire que je m’étais un peu perdu dans ma préparation. Ça pouvait arriver, d’autant plus que techniquement, je n’étais pas en retard, mais encore considérablement d’avance, mais ça, c’était pour pouvoir passer un peu de temps en compagnie de mon amie avant de devoir me rendre en coulisses et jouer le morceau que j’avais choisi pour ce soir. Pièce complexe, mais appropriée pour les circonstances, j’espérais. Je n’aurais pas opté pour quelque chose de dramatique pour ce genre de soirée. De quoi impressionner, mais divertir également, en somme. Et puisque c’était une pièce que je maitrisais plutôt bien, je n’avais vraiment peur, d’où le fait qu’il ne fut pas difficile pour moi de secouer la tête négativement pour signifier à Nora que non, je n’étais pas nerveux. De toute façon, ce n’était pas tant dans ma nature d’être nerveux, sauf s’il s’agissait d’une pièce que je ne maitrisais pas à mon goût, ce qui n’était pas le cas en ce moment. Pour appuyer mon état d’esprit, je dis:  « Non, je sens que ce sera une belle soirée. » Et une soirée que j’allais passer à mon amie, il n’y avait rien de mieux pour moi en ce moment. Lui présentant mon bras qui ne tenait pas mon instrument, balançant la housse avec le reste de ma tenue pour ce soir sur mon épaule, je lui dis:  « Prête ? » attendant sa réponse pour nous frayer un chemin vers la salle.

Faut dire que les choses ont été très rapides depuis que ton cher mari avait réussi à savoir qui était Elian et dans quel endroit tu te retrouvais, en fait quand tu avais été voir Sullivan une soirée après que l'homme dont tu n'es pas amoureuse avait réussi à te briser une nouvelle fois, l'infirmier n'avait aucunement eue l'intention de te laisser partir et maintenant, tu avais quitté la maison de Elian. Dès qu'il avait fait le premier pas en t'invitant à aller à cette petite soirée en sa compagnie, tu avais sentit les battements de ton coeur se faire un peu plus intenses dans ta poitrine puisque oui, il t'avais manqué car dans un sens quand vous étiez tous les deux sous le même toit, tu avais su que tu pouvais compter sur lui comme un très bon ami. T'étais légèrement arrivée en avance, pour observer toutes les personnes qui étaient arrivés sur le lieu de rencontre, ceux qui se connaissaient déjà et qui faisaient de nombreuses embrassades alors que tu sentais un léger stress face à tous ces visages inconnus. Disons dans un sens, tu aurais pu très bien te mêler à la foule sauf que malheureusement ce n'est pas ton genre car tu adorais rester dans ton coin et ne pas aller vers les gens dont tu ignorais tout, sans doute parce que tu as une certaine crainte face à tout ça. Alors que tu tournes le regard vers Elian qui était très élégant, tu esquisses un sourire sur tes lippes tout en lui demandant s'il était nerveux et dès qu'il te donne une réponse négative, tu souris davantage. Oh tant mieux, si j'étais toi j'aurais un trac comme pas possible surtout devant une énorme foule... dis-tu en échappant un rire. Quand il te montre son bras, tu le prends contre ta main avant d'approuver d'un signe de la tête, prenant une longue inspiration car tu sais très bien que les regards étaient presque tous retournés vers vous deux, de telles paroles sans doute de vous deux comme s'ils se demandaient si vous étiez un couple ou non. Je suis prête, allons-y ! tu souris encore en marchant en sa compagnie, le laissant de guider puisque c'était la toute première fois que tu te retrouvais dans cet immeuble. Une fois tous les deux à l'intérieur, tu observes tout autour de ta petite personne en restant contre Elian. @elian davidson

Je n’étais pas idiot ou aveugle; je savais bien que les gens autour nous regardaient. Parce que c’était tout ce que les gens avaient à faire dans ce genre de soirée, j’en avais l’impression. Et qu’et-ce que je pensais de ces regards ? Pas grand-chose, à vrai dire. Lorsque je donnais un concert dans une tenue similaire à celle que je portais, lorsque parfois je traversais la foule après le spectacle, je me sentais observé. Et quelle était ma réaction ? Je ne le prenais pas trop mal, j’avais l’habitude. Mais je n’étais pas idiot, je savais bien qu’il n’était pas question de moi en ce moment, mais question de Nora et moi, de nous deux, à marcher bras dessus, bras dessous, comme si nous étions un couple, jeune couple prêt à faire tourner les têtes. Est-ce que ç’avait le potentiel de m’intimider ? Non, toujours pas. J’avais été si habitué à être jugé par mes choix et mes fréquentations que maintenant, je décidais de ne pas m’en faire avec ça. Après, je ne prenais pas le tout avec une complète désinvolture non plus, sentant, lorsque mon regard se tournait vers mon amie, que celle-ci paraissait limite intimidée par la situation. Après, si elle n’avait pas l’habitude, il y avait de quoi. Moi-même, la première fois qu’on m’avait demandé de venir dans une soirée mondaine, seul, dans un environnement que je connaissais plus ou moins, je me sentais intimidé, pas à ma place. Puis, il y avait eu ce moment où j’avais été sur scène et tout avait changé, mais Nora, elle n’avait pas ce moment. N’étant pas un expert en la matière, je tentai quand même de la rassurer, lui disant:  « Ça va aller, ne t’en fais pas. » en ajoutant un petit sourire à mes propos. Nous entrâmes dans la salle à ce moment. Il n’y avait pas tant de gens, mais ce n’était pas trop vide non plus. Un bel équilibre pour commencer. Mon regard se promena pour arpenter les lieux, et rapidement, je repérai la scène, pour plus tard, mais surtout, le bar où semblait être servi boissons et amuse-bouches. Moi, je ne buvais pas avant une performance, peut-être après - certainement en fait - mais je pensais que ça ne m’empêchait pas de demander à Nora:  « Tu veux quelque chose à boire ? » Après, ça pouvait être quelque chose pour se sustenter vite fait aussi, ça, je ne dirais pas non, à condition qu’elle veuille aller dans cette direction, parce qu’à ce moment, c’était sa décision.

Pourquoi les gens vous regardaient comme si vous étiez les deux seules personnes qui sont présentes pour cet événement ? Ils devaient sans doute se dire si vous étiez un couple tous les deux et pourtant vous n'êtes que des amis proches, tout simplement. T'appréciais Elian car oui il est important dans ta vie et jamais tu n'allais le repousser, jamais tu n'allais réagir d'une manière ou d'une autre envers certaines personnes qui disaient des trucs envers vous. Gardant ta main tout contre son bras tu continues d'avancer dans la foule en espérant que les hommes de ton mari ne soient pas présents pour t'emmerder et c'est ce qui fait en sorte que tu tournes le regard vers la droite. Elian sentait très bien que tu avais une certaine pression envers ta petite personne et son geste fit en sorte que tu tournes lentement le regard vers lui avec ce même petit sourire contre tes lippes, quand il te disait de ne pas t'en faire. Ça se voit tant que ça que je n'aime pas être le centre de l'attention ? j'ignore comment tu fais... dis-tu en échappant un rire entre tes lippes, continuant de marcher en sa compagnie en vous frayant un chemin tout autour de vos deux petites personnes, ces gens qui vous saluaient et qui souriaient en vous voyant. Restant en sa compagnie quand vous entriez tous les deux, vous marchiez tous les deux vers le bar sur lequel ils donnaient certaines boissons ainsi que des petites choses à manger tous les deux, Elian qui te demandait si tu avais envie de quelque chose en particulier. Je prendrai bien un verre d'eau pour commencer, sachant que tu risques de ne pas boire... gardant ce même sourire sur tes lippes, tu plonges tes océans dans ceux de ton bel ami qui était très élégant à ton bras. Tu vas sans doute prendre une boisson alcoolisée à la fin de la soirée... je ne suis pas très pressée en fait. tu laisses tes doigts lentement qui caressent son bras avant d'approcher ton visage du sien et de poser tes lippes contre sa joue, ce même petit sourire sur ton visage. Sinon après tu vas me montrer un peu sur quelle scène tu vas jouer pour nous ce soir ? @elian davidson

Si Nora m’avait posé la question de façon plus sérieuse, sans ajouter un commentaire et un petit rire, évidemment que je n’aurais pas eu ce petit sourire que j’eus suite à son propos. Après, je ne comptais pas la laisser sans réponse non plus, même si je ne savais pas trop quoi lui dire dans un premier temps. Je me contentai donc d’hausser les épaules, ce qui m’acheta quelques secondes avant de finalement lui dire:  « On s’habitue, je suppose. » Je ne pouvais pas dire que j’étais confortable la première fois que j’avais assisté à ce genre de soirée et maintenant, je ne le craignais plus, surtout que je savais qu’à un certain point pendant la soirée, je serais probablement la personne la plus confortable dans cette salle, lorsque je serais sur la scène, seul avec mon instrument. Mais ça, je n’allais pas le dire à Nora, préférant lui offrir quelque chose à boire. La façon dont elle me connaissait me fit sourire et m’amusa. Après, il était vrai que nous avions habité sous le même toit pendant un moment, elle avait certainement remarqué mes manies et habitudes. Ça ne me gênait pas vraiment concernant Nora, ce serait idiot de ressentir quelconque honte alors que nous avions tant partagé ces derniers temps. Après, je ne voulais pas la priver parce que je préférais attendre, mais je ne pouvais pas la forcer non plus. Sa demande faite, je demandai deux verres d’eau au serveur, qui accusa réception de la demande sans rien dire, les servant très rapidement. J’en tendis un à Nora, souriant ensuite à sa nouvelle demande. Regardant encore une fois autour de la salle, je lui pointai la scène, et je dis:  « Ce sera là, je suppose. » Enfin, compte tenu qu’on m’avait décrit le travail comme étant un concert et pas seulement de la musique pour l’ambiance - généralement je refusais ce genre de contrat, sauf si c’était pour une cause qui me tenait à coeur ou un truc du genre - et qu’il n’y avait qu’une scène, je ne voyais pas d’autre endroit. C’était simple, mais suffisamment en vue.  « Je t’avoue que je n’ai pas reçu tant de détails… Je suppose que j’en aurai davantage plus tard. » Enfin je l’espérais, je trouvais que les organisateurs qui ne donnaient pas trop d’informations ne faisaient pas preuve de crédibilité. Mais ça, c’était que mon avis, et puis, nous venions d’arriver. Je m’attendais toutefois d’être abordé à un moment ou un autre, et j’en avais fait part à Nora pour qu’elle ne soit pas surprise ou ne se sente pas vexée.

Tu possèdes ta propre boutique de pâtisserie, toi qui avais cette passion depuis bon nombre d'années maintenant et pourtant tu n'aimais pas avoir le centre de l'attention, sans doute parce que tu ne veux pas que ton mari te trouves ou qu'il soit extrêmement jaloux. Bref, maintenant t'es en la compagnie de Elian pour cette charmante petite soirée et évidemment t'es heureuse de pouvoir passer du temps avec lui, comme ça faisait tellement longtemps que vous ne vous étiez pas vus tous les deux. Gardant un petit sourire sur tes lippes en plongeant tes océans dans ceux du beau blond, tu ne sais pas comment il faisait pour se produire devant tout le monde dans une même salle. Oui, sans doute... ou certaines personnes l'ont et d'autres non. gardant ce même sourire sur ton visage, venant à lui dire que tu prendrais un verre d'eau car dans un sens tu ne voulais pas boire une goutte d'alcool sans lui, sachant qu'il risque de rester sobre avant de jouer devant tout le monde. C'est comme travailler, jamais il ne faut boire de l'alcool histoire de rester concentrer par tous les moyens du monde. Prenant le verre d'eau qu'il te tendit, tu le remercies lentement avant de prendre une toute première gorgée et de laisser le liquide froid couler le long de ta gorge avant de tenir ce dernier à deux mains. Lui demandant à quel endroit il va jouer avec son instrument, tu marches en sa compagnie jusqu'à la scène avant d'approuver d'un signe de la tête. Il y avait pas mal de personnes présentes dans l'endroit, imaginant Elian qui allait devoir jouer devant une salle bondée mais qu'importe, s'il aimait ce genre de chose tu ne pouvais pas lui en vouloir. J'espère que tu n'auras pas trop de retours demain par toutes ces personnes, celles qui doivent penser qu'on est un couple... gardant ce même sourire amusé sur tes lippes, tu prenais une toute nouvelle gorgée tout en plongeant tes océans dans ceux du beau blond, ayant de plus en plus hâte de le voir jouer sur scène, comme tu l'avais vu a plusieurs reprises dans sa maison sauf que maintenant l'atmosphère est très différente en fait. Sinon, t'as prévu des vacances cet été ? @elian davidson

Certains avaient l’habitude, d’autres non. J’en étais conscient, comme je savais très bien que certains étaient plus à l’aise de faire certaines choses, d’autres non. Dans cet ordre d’idées, je décidai de confier à mon amie  « Tu veux rire ? Lorsque j’étais adolescent je n’arrivais pas à faire des exposés oraux à l’école… » Je ne parvenais pas à m’exprimer par des mots, devant une foule. Ironique lorsqu’on connaissait mon métier, non ? Pas tellement en fait.  « Mais lorsque je joue c’est différent… Je ne saurais pas comment l’expliquer. » Je ne saurais pas l’expliquer parce que j’ignorais si je pourrais trouver les mots justes pour le faire. Je n’étais toujours pas doué, ce n’était pas nouveau. Et parfois, c’était ce qui faisait en sorte que je me remettais en question sur mon ambition de chef d’orchestre, parce que le chef d’orchestre, c’était la personne au devant, la plus reconnue de tout l’orchestre, ce qui était normal. Et souvent, c’était la personne demandée pour participer aux évènements, faire des entrevues, tout ce qui venait avec. Du coup, si je voulais assumer ce rôle, je devais assumer ce qui allait avec tout ça. Ça, je ne le dis pas à Nora pour le moment, Me contentant de passer à autre chose, lui présenter la scène, ou ce que je pensais être la scène plutôt, je laissai donc Nora reprendre la parole, faire une supposition qui me laissa un peu perplexe. Était-ce qui la rendait si nerveuse, du fait qu’on soit bras dessus, bras dessous, de ce que les gens pourraient penser ? Je m’en doutais, un peu, au vu de comment elle était tendue, mais pas à ce point, pas au point où elle viendrait à me poser la question. N’ayant pas envie de me stresser avec ça, et n’ayant pas envie de la stresser avec ça non plus, j’haussai les épaules, et je dis:  « Je ne connais presque personne… » Et un autre détail vint à me frapper auquel j’aurais dû penser avant; son ex-mari. Je ne savais pas ce qui en était le concernant, mais je ne me vis pas le demander. Je dis plutôt:  « C’est un évènement privé. Il n’y aura pas de photos, sauf peut-être du concert. » Et donc pas d’elle, si cela pouvait la rassurer, je ne saurais pas le dire, je l’espérais. Je ne m'attardai plus trop sur ça pour l’instant, portant mon attention sur Nora pour écouter sa question suivante, à laquelle je répondis, après un court moment de silence:  « Je ne sais pas trop. J’ai plusieurs concerts prévus à l’extérieur avec l’orchestre. Entre-temps j’irai peut-être quelques jours ailleurs, ça reste à voir. » Avec qui, pour faire quoi ? Je n’en avais aucune idée, je venais tout juste d’y penser. Et comme si je pensais que c’était la chose la plus normale à faire, comme si je pensais que ç’allait m’inspirer peut-être quelque chose, je lui demandai:  « Et toi ? », me surprenant à être curieux de voir ce qu’elle allait me dire.

Maintenant, tu te retrouvais toute seule puisque Sullivan avait disparu de la circulation du jour au lendemain et faut le dire, ça t'as déchiré le coeur. Pourtant tu te dis que maintenant t'en as vraiment marre qu'un homme puisse te briser le coeur et c'est pourquoi t'es jeune, tu te devais de t'amuser comme bon te semble car ton mari n'était pas dans les parages. En fait, c'est étrange que tu ne l'es pas encore revu depuis ces derniers temps maintenant, lui qui voulais vraiment te faire du tord et tu te poses tant de questions présentement. Pourtant, t'es heureuse de pouvoir poser au bras de Elian pour une seule soirée, comme on dit la soirée est encore jeune et tu ne voulais en aucun cas que l'on puisse te retirer ce genre de chose. Restant un petit moment sans bouger à ses côtés, tu avais ce même petit sourire contre tes lippes avant de tourner tes prunelles vers les siennes, poussant un rire en sachant que tu lui disais qu'il avait presque ça dans le sang. Oh comme c'est mignon, je n'aurais pas cru que tu aurais eue le trac un peu plus jeune pour tes exposés.. pour ma part c'était la même chose, j'avais presque envie de vomir à chaque fois que je devais me poser devant la classe. tu ne pouvais aucunement comprendre ce que cela faisait d'être sur une scène pour se poser devant une foule de personnes, impatientes de t'entendre chanter ou même jouer d'un instrument. C'est pourquoi, tu te pinces la lèvre inférieure sans trop savoir quoi lui répondre puisque t'allais tout de même pas commencer à t'imposer dans tes paroles, ça serait beaucoup trop débile en fait. Tu restes finalement tout contre Elian, cette peur de te retrouver non loin de ton mari pourrait très bien évoquer de nombreux soupçons et t'as tellement peur qu'il puisse arriver quelque chose au beau brun ou même à ta petite personne que tu ne voulais en aucun cas que cela se produise. Lui évoquant tes soucis, tu tournes lentement la tête vers lui sans trop réellement quoi lui dire, puisque oui ça se voyait très bien dans tes prunelles que t'as peur de quelque chose. Tant qu'il n'y a pas de photos, ça me convient. sans t'en rendre compte, tu esquisses un petit sourire tout en pressant un peu plus son bras contre toi, heureuse de pouvoir passer la soirée en sa compagnie malgré tout. Venant à lui demander ce qu'il fera cet été, tu tournes la tête afin de mieux l'observer avec ce même petit sourire sur le visage, écoutant ce qu'il avait à te dire et tu approuves d'un petit signe de la tête. C'est bien tout ça, pour ma part je songe sans doute à quitter la ville pendant quelques temps, enfin peut-être une semaine pour prendre du temps pour moi comme... hm... j'ai l'impression que tout me tombe sur la tête ces temps-ci. tu perds un peu ton sourire contre tes lippes, évidemment tu ne voulais pas qu'il puisse y avoir un certain malaise. Tu baisses lentement tes yeux en pensant à Sullivan, laissant échapper un petit soupir entre tes lippes et toi qui prenait une gorgée de ton verre d'eau. @elian davidson

 « Et pourtant… » fut tout ce que j’ajoutai au commentaire de mon amie. Par ces simples mots, je voulais lui faire comprendre que je ne lui mentais pas que pour la faire sentir mieux. C’était la vérité. Et j’avais toujours pensé que m’exprimer par des mots et m’exprimer par de la musique, ce n’était pas pareil. Certains pourraient l’associer, mais je n’y étais jamais parvenu. Ça datait de mon enfance. Ma mère n’était pas une femme de bien de mots. Elle était capable de nous dire qu’elle nous aimait, Ellyn et moi, mais elle ne s’étalait pas énormément. D’ailleurs, j’avais très peu de souvenirs de sa voix. Je me souvenais surtout de son visage, je me souvenais du petit sourire qui flottait sur ses lèvres lorsqu’elle jouait du piano et qu’on venait la rejoindre, non loin. À bien y penser, je devais certainement tenir ça d’elle. Esquissant un sourire en coin aux propos de Nora la concernant, me rappelant un peu ma propre personne, bien que moi, ce n’était pas un malaise que je ressentais, mais une panique, et une incapacité à parler. Mais je ne m'attardai pas trop longtemps sur ça, reprenant mon sérieux, cherchant à rassurer mon amie, répondant à sa nouvelle question en me faisant des plans auxquels je n’avais pas réfléchi dans un premier temps. Après, j’allais peut-être combiner concerts et visites de villes, si je le pouvais. Pourrais-je demander à Jezabel de venir avec moi ? C’était possible, je ne savais pas trop. Retournant la question à mon amie, je la laissai m’expliquer qu’elle pensait prendre du temps pour elle, quitter la ville. C’était compréhensible, elle n’avait pas eu un quotidien bien simple ces dernières semaines, voire ces derniers mois. Ne pouvant qu’approuver son plan, même s’il ne me regardait pas vraiment, je dis:  « Tu as raison. Tu mérites de prendre du temps pour toi. » J’ajoutai à mes propos un petit sourire timide. Pendant un instant, je songeai à lui demander si elle avait une idée de plan, de destination quelconque, mais je ne le fis pas. Pourquoi ? Parce qu’une question, un peu plus sérieuse, limite un peu plus sombre, me passa par la tête. Je regardai autour de moi avant de la poser, même si cela n’était même pas nécessaire, et je lui demandai, à voix un peu plus basse:  « Tu… Tu l’as revu, depuis… ? » Et par ma question je parlais de son mari, qu’elle craignait tant quand elle était venue s’installer chez moi. Et c’était la seule question que je comptais lui poser à ce sujet, voulant respecter son choix si elle ne voulait pas en parler. En fait, si je lui demandais, ce n’était pas tant par curiosité, mais surtout parce que je voulais m’assurer que qu’importe où elle était partie s’installer, elle était en sécurité.

En fait t'as jamais vraiment parler devant tout le monde, ces gens que tu ne connaissais en rien de eux et maintenant, tu te retrouvais à faire des pâtisseries pour tout le monde et ça ne t'emmerdais aucunement pas. Faut dire que tu t'en voulais un peu de l'avoir laissé tombé pour un autre homme, Sullivan t'avais vraiment fait du mal maintenant et c'est pourquoi t'as aucunement envie que les choses ne se passent pas comme tu l'as espéré. Tu apprécies avoir ta petite boutique pour donner un peu de douceur dans ta vie sauf que tu as tellement peur que les choses ne se passent pas bien pour ta petite personne. T'es heureuse de passer du temps avec Elian puisque faut le dire qu'il t'as manqué et évidemment tu ne sais pas comment il allait le prendre si tu venais à le lui dire, attachée à ce dernier puisque oui il est important pour toi. Tu sentais que les hommes piétinaient ton petit coeur depuis quelques temps maintenant, t'as tellement peur qu'on puisse te faire du mal encore et c'est pourquoi tu en as presque marre de devoir commencer à t'emouracher de quelqu'un alors que c'est l'inverse qui se passe. Voilà que tu lui disais que t'as envie de sortir un peu de la ville, de te changer les idées une bonne fois pour toute et tu voulais sans doute être toute seule. Est-ce que tu pourrais l'inviter en ta compagnie histoire de sortir de Bishopville un peu ? tu n'en sais rien mais ce que tu sais c'est que tu risques sans doute de lui donner des informations sur ta vie, de comment tu vas puisque à part Gabriella qui est ta meilleure amie, tu t'ouvrais avec ces deux personnes. Tu souris tout doucement en tournant la tête vers lui. En effet, enfin... tu aurais besoin de te changer les idées toi aussi ? pinçant ta lippe inférieure tu l'observes afin de lui demander d'une manière pas trop directe de savoir s'il aimerait s'enfuir hors de la ville pour peut-être une semaine en ta compagnie. Ça te ferait du bien de voir un visage familier, de ne pas être trop seule surtout. Voilà que le sujet de la discussion fait en sorte que tu laisses échapper un petit soupir entre tes lippes, n'aimant pas trop parler de ton mari qui doit sans doute mijoter quelque chose puisque évidemment, il doit savoir que tu avais sans doute des vues sur un homme mais ce dernier avait quitté la ville en un claquement de doigts. Tu passes nerveusement ta main contre ta nuque en baissant tes prunelles vers le sol. Non... il ne m'a pas donner de nouvelles sauf que... que j'ai l'impression qu'il mijote quelque chose, surtout que présentement je suis dans l'optique de me trouver un appartement... @elian davidson

Je ne savais pas si me « changer les idées » était le bon terme pour qualifier cette idée de vacances, qui était venue de façon totalement spontanée. Haussant les épaules pour montrer que je ne le savais pas trop, j’ajoutai ensuite:  « Je ne sais pas trop. Mais changer d’air pour quelques jours ne serait pas de trop je crois, histoire de sortir de la routine un peu. » J’adorais jouer de la musique, il ne fallait pas croire le contraire. J’adorais mon métier et je m’estimais chanceux de pouvoir vivre de ma passion de façon régulière dans un domaine si incertain, où bien souvent, le prochain chèque de paye était toujours à un moment qui restait à déterminer. Mais comme tout le monde, je pensais avoir droit à des vacances lorsqu’elles m’étaient permises. Après, ce n’était rien comparativement à mon amie, qui, elle, avait des raisons plus que légitimes pour vouloir s’éloigner et se changer les idées, à commencer par tout ce qui s’était passé avec son mari. D’ailleurs, je ne sus faire autrement que de lui demander ce qui se passait de ce côté, sans toutefois trop insister, sans aller dans les détails, parce que je ne voulais pas vraiment la forcer à me dire quoi que ce soit. Et rapidement, je regrettai de l’avoir fait, au vu de comment elle sembla soudainement nerveuse. Elle me répondit quand même, me faisant part de ses craintes au passage. Pinçant les lèvres, sentant la culpabilité monter, je ne sus faire autrement que de laisser tomber l’idée que certaines personnes nous regardaient, passer mon bras autour des épaules de mon amie pour montrer que j’étais présent, que je me voulais rassurant, et je lui dis:  « Ça ira… Et tu sais, si tu as besoin, ma porte est toujours ouverte. » Elle était passée à autre chose, à ailleurs, je le savais bien, mais je voulais quand même qu’elle se sente la bienvenue malgré tout. Je n’eus toutefois pas le temps de lui en dire plus longtemps, puisque la lumière de la salle changea, et un individu se rendit sur la scène, commençant à souhaiter la bienvenue. Visiblement, mon tour à monter sur scène n’allait pas trop tarder.

Tu as vraiment besoin de te changer les idées, de pouvoir quitter la petite ville de Bishopville pour quelques semaines puisque tu sais que l'homme dont tu as été amoureuse avait décider de se barrer du jour au lendemain et que ça t'as plus détruit qu'autre chose. Pourquoi les choses allaient tellement vite dans un sens, que tu tombais dans les bras de quelqu'un et que malheureusement, ce dernier te repoussait et décidait de s'enfuir le plus vite possible. Tu te poses trop de questions ce qui fait en sorte que tu voulais vraiment ne plus voir ces personnes qui comptent pour toi. En fait, je serais ravie que tu viennes en ma compagnie hors de la ville... souffles-tu en gardant ce même petit sourire sur tes lippes, sans le quitter du regard surtout. Il avait décidé de t'inviter à ce genre de soirée et tu es vraiment heureuse de pouvoir compter sur sa petite personne et qu'il est vraiment un cher ami, sur qui tu pouvais envoyer des messages lorsque rien n'allait ou quand tu voulais passer du temps en sa compagnie. Sauf que maintenant tu te disais vraiment ce qui risque de se passer avec ton mari, comme si tu as vraiment peur qu'il puisse s'en prendre aux personnes qui sont importantes pour ta petite personne. Tu viens à sentir dans tes prunelles que tu es vraiment sous le choc de croire que ton mari pourrait lui faire du mal et ça te fait encore plus de chagrin puisque malheureusement tu ne pouvait rien faire, toi qui n'aimes pas vraiment la violence et dès que Elian vient à poser son bras protecteur envers tes épaules, ta tête qui s'est automatiquement posée contre son épaule et tu fermes les yeux pendant quelques instants. Je ne te remercierai jamais assez Elian, tu es l'ami le plus précieux que j'ai... tu te fiches vraiment de ce que les autres personnes dans cette pièce pouvaient penser, alors que tu allais parler de quelque chose de plus, voilà qu'un homme monte sur le stage pour commencer à discuter et pourtant, tu restes toujours dans les bras du beau blond et tes prunelles se posent sur lui. Je crois que d'ici quelques instants tu vas monter pour jouer... je devrais te laisser aller. tu embrasses lentement sa joue. @elian davidson

Le sujet était là et nous parlions tous les deux de quitter la ville un petit moment, histoire de s’évader, mais j’étais persuadé qu’on en parlait pour que ce soit fait chacun de notre côté, pas ensemble. Par conséquent, je fus surpris par la proposition de Nora. C’était bien naïf de ma part, au vu de comment la conversation se déroulait, mais ce fut quand même ce qui se produisit. Secouant discrètement la tête, il me fallut quelques instants pour réaliser ce qu’elle me disait. Mais une fois que ce fut fait, je ne tardai pas à lui répondre:  « Pourquoi pas ? Ce serait bien. » Après tout, je n’avais pas vraiment de raisons de refuser. Comme si je ne le savais pas d’emblée, j’avais bien compris que je m’entendais bien avec Nora et que j’étais capable de cohabiter avec elle sans problème. Par conséquent, passer quelques jours à l’extérieur de la ville avec elle, j’étais persuadé que ce serait sans problème. Plus que ça, j’étais même certain que ça pourrait être plus qu’agréable pour le coup. Je n’en dis pas davantage pour le moment, penchant sur un sujet de conversation un peu plus sérieux, sur lequel je n’avais pas tant l’intention de m’attarder. Je ne le fis pas, lui offrant seulement mon soutien, ce qui me valut une gratitude de la part de mon amie. Je souris doucement, ne lui répondant pas pour le coup, non seulement puisque je n’avais pas les mots, mais aussi parce que rapidement, notre attention fut portée vers la scène, ce qui valut à Nora de dire qu’il vaudrait mieux qu’elle me laisse. C’était triste, voire dommage pour elle, mais elle avait raison pour le coup. Bien rapidement, je lui dis:  « Je te retrouve après, sans faute. » Je lui adressai un dernier petit sourire, et je me rendis non loin de la scène, où d’autres personnes qui faisaient apparemment partie du divertissement comme moi s’étaient regroupés en préparation à tout ça.

HJ:

T'avais sortit cela comme ça, lui mentionnant que vous devriez sortir de la ville quelques temps puisque connaissant ton mari il allait sans doute faire quelque chose sauf que tu ne sais pas quand il allait frapper. Elian est très important pour ta petite personne, un homme que tu avais laisser entrer dans ta vie et dont tu n'as aucunement envie qu'il puisse sortir en un claquement de doigts, quelque chose qui est très intense. Bref, tu ne sais pas si le beau blond allait accepter ton invitation mais quand il t'affirmes que cela pourrait être une bonne idée, tu ne peux t'empêcher de sourire tout doucement. Mais bon si tu n'as pas envie, je comprendrais hein. je ne te forces aucunement pas. tu esquisses un petit sourire sur tes lippes sauf que le sujet de conversation venait à tourner autour de ton violent mari, tu n'aimais pas la tournure des paroles sauf que tu sais que Elian serait toujours présent pour t'aider. Tu t'en veux de l'impliquer dans ce genre de chose, ça te faisait du mal de l'admettre sauf qu'il sait ce que tu pouvais penser et que ça te rendait vraiment mal à l'aise. Le remerciant d'être là pour ta petite personne, voilà qu'on commençait à parler sur la scène, tes prunelles se posent lentement vers l'homme qui avait le micro dans sa main et tu sais très bien que Elian allait devoir se poser en face de tout le monde, pour jouer de son instrument. Dès qu'il te disait qu'il allait revenir plus tard, tu ne peux t'empêcher de sourire en approuvant d'un signe de la tête et de finalement pouvoir le laisser s'en aller, et tu observes la scène en croisant tes bras contre ta poitrine. Les minutes passèrent rapidement, voilà que tu esquisses un sourire quand tu voyais le beau blond se poser sur cette dernière et de commencer à jouer, en fait tu ne sais pas comment il fait pour jouer devant certaines personnes et pourtant ça t'émerveillait de le voir jouer comme cela. Te laissant bercer pendant quelques minutes, voilà que tu te mets à applaudir en même temps que tout le monde quand la pièce venait à se terminer et tu t'approches de l'arrière scène avant de jeter un coup d'oeil vers Elian. Wow, c'était vraiment magnifique... @elian davidson

 « Ah non, au contraire ! Ce serait bien je crois ! » fut ce que je dis à Nora lorsqu’elle sembla hésiter à son idée d’aller en vacances ensemble. Ce qui m’avait fait légèrement hésiter, c’était que je ne m’y en attendais pas. C’était un peu idiot de ma part, considérant que nous avions abordé le sujet, mais je n’avais pas d’autre façon d’expliquer ma réaction. J’espérais juste pour le coup que mon propos venait de la rassurer, parce que je manquai un peu de temps pour développer davantage, entre la nécessité de la rassurer, puis les numéros qui vinrent à débuter. Sachant que mon tour approchait, je me rendis non loin de la scène, où je fus bien rapidement pris en charge. Enfin, je fus plutôt accueilli, on me signifia à quel moment je serais appelé sur scène. À défaut d’avoir eu le temps de le faire comme j’en avais l’habitude avant un concert, je pris quand même un petit moment pour ouvrir mon instrument, m’assurer que tout était en place, même si je l’avais fait avant de quitter ma demeure. C’était plutôt fort que moi, il fallait que je le fasse. Finalement prêt, mon tour arriva. Présentations, applaudissements, je m’installai sur la scène, remerciant la foule d’un petit salut. Puis, je me mis à jouer. Il ne fallut pas beaucoup de temps pour que je me sente dans mon élément. Nora ne cessait de me demander comment je faisais; en fait, j’oubliais le public. Je jouais pour mon plaisir. C’était que moi, mon violon et la musique. La foule, elle réapparut seulement lorsque le morceau prit fin. Les applaudissements se firent entendre. Je remerciai le public, et je quittai la scène. Voilà, c’était chose faite, et tout s’était passé pour le mieux. Je rangeai soigneusement mon violon, que je ne comptais pas garder ou laisser où que ce soit, sauf en sécurité, dans ma voiture. Mais je ne pouvais pas aller le laisser si je n’étais pas en compagnie de Nora, ce ne serait pas correct pour elle. Je voulus donc retourner à sa rencontre, mais ce fut elle qui arriva en premier. Son commentaire m’arracha un large sourire, de même qu’un:  « Merci. » Ce dernier se voulait sincère, surtout venant d’elle. Terminant de ranger mon violon dans son étui, je le pris dans ma main, et je dis:  « Ça te dit d’aller prendre l’air un peu ? Je vais aller déposer ça dans ma voiture. » Et fumer une cigarette au passage, pour faire descendre la petite poussée d’adrénaline que j’avais eue, pas suffisante pour me satisfaire. Après, si elle préférait attendre un peu, j’allais le faire, mais j’avais l’impression que mon instrument serait bien encombrant si je ne le laissais pas en sûreté bientôt.

Pourquoi ne pas aller en vacance en la compagnie de Elian ? Disons que tu sais que rien n'allait se passer entre vous deux, tu n'as pas vraiment envie de retomber dans les bras de quelqu'un alors que t'as vraiment la poisse avec les hommes et cela risque de ne pas changer. Vous n'êtes que des amis, jamais vous n'alliez passer le stade de plus et tu ne voulais pas détruire ce que vous êtes tous les deux. Certaines personnes croyaient que vous étiez un couple tous les deux, sauf que vous ne l'êtes pas, bien qu'il faut admettre que le beau brun n'est pas difficile à regarder et en fait, tu n'allais jamais l'admettre. Quand il t'affirmes que ça serait bien, tu ne peux t'empêcher de sourire tout doucement en approuvant d'un signe de la tête. Alors faudra se tenir au courant... souffles-tu avant de de lui faire un clin d'oeil jusqu'à ce que l'homme ne vienne sur cette scène pour commencer à parler, affirmant que le spectacle allait commencer et donc, tu laisses le beau brun monter sur la scène avant de le laisser jouer. Il jouait énormément bien, c'est sans doute encore mieux aujourd'hui que la dernière fois et évidemment, il ne semblait pas avoir un trac devant toute cette foule et tu ne sais pas comment il faisait. Après le premier morceau, tu applaudis en même temps que toutes ces personnes qui étaient non loin de ta petite personne, venant à applaudir toi aussi sans le lâcher du regard. Le temps passait très vite, en fait cela n'en prenait pas énormément avant que le spectacle ne se termine, toi qui observe un peu autour de ta petite personne et de pouvoir t'approcher de la scène, sur laquelle Elian ne se trouvait pas trop loin et de pouvoir lui dire qu'il a très bien jouer. Ce dernier te demandait si tu voulais aller prendre un peu l'air, disons qu'il a raison puisque avec toutes ces personnes qui vous entouraient tous les deux, tu avais légèrement chaud et prendre de l'air allait vous faire le plus grand bien. C'est une bonne idée, on a de la difficulté à respirer ici... dis-tu avec ce même petit sourire sur tes lippes avant de pouvoir le suivre jusqu'à l'extérieur, croisant tes bras contre ta poitrine et de pouvoir se rendre jusqu'à sa voiture. Puis après, ça te dirait d'aller prendre un verre ? @elian davidson

Je devais certainement avoir l’habitude de la chaleur provoquée par des projecteurs et par les foules, parce que personnellement, je n’avais pas chaud et je ne manquais pas nécessairement d’air. Après, je n’allais pas passer un commentaire concernant Nora, parce que je me doutais que ce n’était pas la même chose pour elle et aussi, je serais bien mal placée pour la juger de quelconque façon. Du coup, je me contentai d’acquiescer, sachant que ce serait idiot de faire différent au final, compte tenu que c’était moi qui avais proposé de sortir dans un premier temps, même si ce n’était pas pour les mêmes raisons. Je lui avais déjà mentionné pourquoi d’ailleurs. Enfin, je ne lui avais pas dit que je risquais de m’allumer une cigarette au passage, mais Nora me connaissait, ce n’était qu’un détail. N’attendant pas plus longtemps, nous nous dirigeâmes vers la sortie. Le trajet donna le temps à Nora de me proposer d’aller prendre un verre. Compte tenu que ma présence n’avait pas à être plus longue à cette soirée, je n’y voyais pas de problème, je ne pensais pas m’y opposer, d’autant plus que je n’en avais pas nécessairement envie. Seul, je serais probablement déjà sur le point de repartir chez moi, ou bien j’aurais fait un effort pour rester, mais il aurait été certainement vain. En mon sens, il n’y avait pas mieux que de lui répondre:  « Oui, j’aimerais bien. » J’ajoutai un petit sourire à mon propos tandis que nous étions en train de marcher vers mon véhicule, et je dis:  « Je mangerais peut-être un morceau aussi, si ça te va. » En effet, ce ne serait pas de trop à mon avis. Pas que je mourais de faim mais disons que je n’avais pas pris grand-chose avant cette fameuse soirée, donc manger ne serait-ce que des amuses-gueules proposés dans certains bars me conviendrait, sauf si Nora préférait quelque chose de plus consistant, d’où le fait que je lui avais proposé plutôt que de simplement accepter.