⊹mois de septemrbe le forum arbore maintenant sa seizième version, le forum est la folie incarnée ! Il ne faut pas se perdre dans la tête des autres, pourtant, c'est si facile ! Nous avons droit à -cajou. (andie) l'énervée qui nous offre une version plutôt automnale ! Les codes sont toujours offert par ce diable en personne et vous offre même quelques nouveautés sur le plan visuel! Dévoré les nouveautés avec appétit et ayez le ventre plein !
⊹ C'est la rentrée Septembre ! Les jeunes sont de retour en classe et il faut le dire, certains sont assez cinglé pour déjà se lancer dans la fête ! En même temps, ce n'est pas encore le temps des examens ! Profitez de la rentrée les jeunes ! Qui sait, avec tout ce qui se passe ce qui pourrait arriver!
dix-neuf décembre mille neuf cent quatre-vingt-trois
Atlanta, Georgie, États-Unis
Américain
Américain
Anglais, espagnol
Lieutenant de police
$$$
Hétérosexuel
Veuf
Un frère plus jeune
Mon enfance et mon adolescence ne valent pas la peine d’être racontés en long et en large. Je viens d’une famille conservatrice du Texas. Enfant unique, dernier d’une longue génération de militaires, mon destin était presque écrit en entier. Inutile de décrire la déception de mon paternel lorsqu’il a compris que je ne porterais jamais l’uniforme tant aimé et admiré chez moi et mon frère non plus. Intellectuel, il avait été rapidement attiré vers la médecine. △ J’étais destiné à aller à l’université avec une bourse d’études pour jouer au football, avoir probablement une carrière dans les ligues professionnelles. Mais une mauvaise chute, une blessure et le recrutement n’était plus possible. L’académie militaire ? Bien que j’étais arrivé à m’en remettre avec de la rééducation, n’était plus une option. △ Mon choix s’arrêta à l’académie de police lorsque je terminai le lycée. Pourquoi ? Parce que ça me semblait le plus simple, le plus approprié. Je ne savais pas à quoi m’attendre, je ne savais pas ce que je deviendrais. Je ne saurais pas choisir, et au final, on choisit pour moi; l’académie de police m’emmena plus haut, vu mes résultats, vu mon travail, et je me retrouvai comme agent fédéral sous couverture pour l’ICE. △ Mes assignations n’ayant pas grand-chose de complexe dans un premier temps, je parvins à balancer ma vie professionnelle et ma vie personnelle plutôt bien, à un tel point que je parvenais à sortir, et je rencontrai quelqu’un, une femme, à qui je m’attachai, avec qui je commençai à faire ma vie, que je finis par épouser. C’était il y a huit ans de cela, en automne, dans une cérémonie intime, simple, mais charmante. △ Jaime était parfaite. Elle était charmante, compréhensive et surtout, elle m’aimait pour la personne que j’étais. Lorsque le travail a commencé à devenir plus exigeant, elle ne m’en a jamais tenu rancune. Elle a accepté mon emploi du temps compliqué. Toujours optimiste, elle me disait toujours que si on ne pouvait pas passer du temps ensemble, c’était pour mieux se retrouver. Par conséquent, lorsqu’elle m’a annoncé qu’elle était enceinte, pendant un rare week-end où nous pouvions finalement passer du temps juste nous deux, je savais que notre enfant serait aimé, et ne manquerait de rien, grâce à elle, bien que je ferais tout pour faire ce que j’étais capable de faire pour elle, pour eux deux. △ Maelia a vu le jour le 12 octobre 2013. Lorsque je l’ai vue pour la première fois, j’ai ressenti une incompréhension. Incompréhension sur le fait que mon père ne parvenait jamais à montrer ses émotions avec moi alors que dès le moment où je l’avais prise pour la première fois, Maelia me rendait faible, plus que quiconque ou quoi que ce soit. Je n’avais jamais été le genre à montrer mes émotions ou être expressif et pourtant, avec elle, tout était différent, tout était juste parfait. △ La première année de la vie de Maelia furent simples malgré la réalité complexe dans laquelle nous étions. Mes absences, mes longues heures de travail, le manque de présence de ma part que Jaime ne me reprochait jamais, me rassurant que lorsque j’étais là, j’en faisais tant que je compensais. Et pourtant, avoir su la suite, j’aurais voulu tu changer, abandonner ce travail que j’avais pourtant appris à aimer. En effet, il y a quatre ans, tout bascula; Jaime fut impliquée dans un accident de voiture et ne survécut pas. △ Le traumatisme de perdre ma femme fut douloureux, terrible. Mais comme si ce n’était pas suffisant, il fallut que tout s’empire; mes beaux-parents, alors que leur fille était à peine mise en terre, choisirent de se battre pour obtenir la garde de leur petite-fille, me reprochant ces absences, affirmant que je n’étais pas apte à m’occuper de ma propre fille. Impuissant, brisé, ils ont gagné, l’emmenant avec eux à Bishopville. △ Refusant de rester à Atlanta alors que Maelia, la seule personne qui me restait, n’y était plus, je quittai l’ICE, demandant à joindre les forces de l’ordre de la ville. Au vu de mon passé, on me plaça dans la division d’intervention anti-drogue, exigeant encore de longues heures de travail, des opérations dangereuses sous couverture. Rien de quoi voir ma fille qui me manquait chaque jour, comme sa mère. Et pourtant, c’était ce qui me gardait un minimum en vie. Par orgueil, je n’osais pas parler de ce qui s’était passé, préférant me renfermer dans ce que je faisais bien plutôt que de songer à ce que j’avais pu faire de mal, penser que j’avais été un mauvais époux, que j’étais un mauvais père. △ Distrait, brisé, fatigué, j’arrivai au point de non-retour; pendant une opération, j’eus une maladresse, et je fus blessé. Une balle à l’épaule, pas de quoi me faire mourir et pourtant, allongé sur le sol après le coup, je songeai un instant à vouloir fermer les yeux pour ne pas les rouvrir. Mais quand je me réveillai à l’hôpital et que je vis ma fille, de maintenant quatre ans, apeurée, triste, je compris que je me devais d’essayer de lutter, pour elle, pour faire honneur à la mémoire de sa mère. △ Voilà maintenant un an et demi que je suis simple lieutenant et encore aujourd’hui, peu de gens comprennent pourquoi j’ai fait ce changement, dégradant au vu de ma carrière, de mes accomplissements. Peu savent pour qui, pour quoi je l’ai fait. La blessure ? Rien à voir. Une cicatrice ne change rien. Je le fais pour pouvoir voir Maelia plus souvent, prouver que je peux avoir une vie stable et éventuellement, obtenir sa garde à temps plein. Je sens que je pourrais y arriver, sous peu. Je l’espère, puisqu’autrement, le quotidien est bien vide, dénué de sens. Ou est-ce parce que j’ai encore du mal à aller de l’avant ? C’est possible aussi, à voir l’alliance qui se trouve encore et toujours autour de mon doigt, que je n’ai toujours pas réussi à retirer.
Sujet: Re: jonas △ show me a piece of your heart 2020-07-21, 20:46
reeeee parmi nous
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Sujet: Re: jonas △ show me a piece of your heart 2020-07-22, 11:01
TU ES VALIDÉ(E)!
Déjà j'en profite pour te souhaiter à nouveau la bienvenue Son histoire est tellement triste depuis la perte de sa femme et depuis qu'il n'a plus la garde de sa fille Je suis impatiente de voir ce que tu lui réserves sur le fofo Bon jeu avec lui
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