⊹mois de septemrbe le forum arbore maintenant sa seizième version, le forum est la folie incarnée ! Il ne faut pas se perdre dans la tête des autres, pourtant, c'est si facile ! Nous avons droit à -cajou. (andie) l'énervée qui nous offre une version plutôt automnale ! Les codes sont toujours offert par ce diable en personne et vous offre même quelques nouveautés sur le plan visuel! Dévoré les nouveautés avec appétit et ayez le ventre plein !
⊹ C'est la rentrée Septembre ! Les jeunes sont de retour en classe et il faut le dire, certains sont assez cinglé pour déjà se lancer dans la fête ! En même temps, ce n'est pas encore le temps des examens ! Profitez de la rentrée les jeunes ! Qui sait, avec tout ce qui se passe ce qui pourrait arriver!
Je suis de nuit aujourd'hui en principe, mais je suis arrivé plutôt comme toujours, pour revoir certains patients, voir où ils en sont et pour voir le responsable des internes aussi, avec qui je sors vaguement. On couche surtout ensemble. Il fini sa journée, je commence la mienne, on s'est croisé dans les vestiaires, on est allé dans son bureau, je ne vous fait pas de dessins. J'évite encore Clara, je n'ai pas envie que son petit ami me tombe dessus, je devrais peut-être lui dire que je suis avec quelqu'un, il ne serait pas aussi parano. Je suis sorti du bureau du chef des interne et j'ai vu le dossier sur sa table. O'Malley, O'Malley ... j'ai regardé le prénom et ce n'est pas Clara c'est sa petite soeur que je connais bien, alors je lui demande si je peux être sur ce cas là, il me dit oui, mais il me connait et me met avec le chef de neuro. Je lève les yeux au ciel, mais je sais pourquoi il fait ça. Il me trouve trop sensible et trop proche des gens. Je ne lui dis pas que je connais Leyla, sinon il ne me laisserait pas m'occuper d'elle. Il m'accompagne jusqu'à la pièce ou elle attends. Je lui fais un sourire quand je la vois. Il lui annonce que c'est moi qui lui ferait faire plus d'examens et qu'elle est entre de bonne main. Je me pince la lèvre, ne dit rien et je le laisse partir essayant de cacher le regard que je lui lance, mais ce n'était pas discret.
"Salut Leyla. Alors raconte moi, tu as eu un malaise à ce que j'ai lu, j'ai vu qu'ils avaient déjà fait quelques examens, si ça ne t'ennuis pas, je voudrais vérifier quelque chose. Tu as prévenu Clara et ton père?"
Je connais bien Leyla, un peu moins que Clara, mais elle m'en parle beaucoup et elle a fait partie des personnes enlevées cet été. Je ne suis pas encore remis réellement de la mort d'Aubrey. Je suis content qu'elle s'en soit sorti mais vu ses antécédents je préfère vérifier que ce n'est pas ce que je crois.
J'en voulais un peu à mes amis, à cause d'eux je me retrouvais coincée aux urgences pour une broutille. Oui j'avais fait un petit malaise mais ça pouvait arriver non? Ils avaient paniqué pour rien et appelé les pompiers pour ça. J'étais vraiment persuadé qu'ils s'étaient affolés pour rien, mais à vrai dire je ne parvenais pas à convaincre grand monde. Je n'avais aucun souvenir de ce qu'on m'avait raconté. Je me souvenais juste de discuter avec eux, de leur présenter ma boule de poil adorée et puis d'Occamy qui grognait. Puis plus rien du tout. Aucun souvenir de cette chute et encore moins de ces tremblements dont on m'avait parlé dans l'ambulance. Alors je devais attendre dans cette chambre pour faire encore des examens, comme si je n'avais pas eu assez d'examen après mon kidnapping. J'avoue que je détestait vraiment les hôpitaux à présent. En plus j'étais seule, enfin plus pour longtemps, j'avais avertit Clara, puis papa aussi même si j'avais eu un peu plus de mal à le faire. Je ne voulais pas qu'on s'affole pour rien et je connaissais bien papa, il allait s'affoler, je le savais. La porte s'ouvre, je regarde avec espoir que ce soit Clara mais ce n'est pas le cas. Je reconnait Gabriel, je lui souris et hoche la tête en écoutant son collègue. Puis on se retrouve seul et il me questionne sur ce qu'il s'est passé « Salut Gabriel, oui apparemment j'ai fait un malaise, mais mes amis ont franchement exagéré... je suis certaine que c'est rien, on s'amusait avec mon chiot et puis je me souvient juste que j'ai tenté de la calmer car elle grognait sans raison sur mes amis et puis je me suis réveillé dans l'ambulance. » Je soupire « J'ai déjà eu plein d'examen cet été ... alors en refaire juste pour un petit malaise et des tremblements franchement... Je peux pas juste sortir ? »
J'ai conscience que ça doit être compliqué et contraignant pour elle de se retrouver-là de nouveau, mais justement je dois prendre en considération le fait qu'elle ait eu un traumatisme la dernière fois. Ce n'est pas rien. Je suis persuadé que ça cache quelque chose.
"Non, je préfère que tu reste pour le moment. Tu as eu un traumatisme la dernière fois, ils engendre parfois des complications et je veux savoir si ça cache autre chose. On n'a peut-être manqué quelque chose. Je préfère qu'on soit sur avant de te laisser partir."
Elle va pas être contente, mais peu importe, c'est ça santé qui est plus importante que tout. Je ne veux pas prendre le risque de la faire sortir. Je veux m'assurer qu'elle va bien.
"Tu veux que j'aille chercher Clara? Je vais te faire passer un IRM. Je vais m'arranger pour que tu passes en priorité."
Je ne veux pas qu'elle s'inquiète, elle veut retourner chez elle, je le comprends et je peux sans doute faire en sorte qu'elle passe l'examen médicale plus vite.
Evidemment que je ne peux pas partir, je savais qu'il refuserait de me laisser partir mais comme on dit qui ne tente rien, n'as rien. J'aimerais tant fuir cet endroit qui m'angoisse. Mais je n'ai pas le choix que d'attendre son autorisation. Il me dit qu'il veut s'assurer que je n'ai pas de séquelle de cet été, arguant qu'ils peuvent être passé à côté de quelque chose la première fois. Je ne sais pas pourquoi mais je sens qu'il a déjà une idée de ce que ça peut être en tête. Et je sens aussi que ça risque de ne pas être une bonne nouvelle, il suffit de voir sa tête. Je sais que je ne vais donc pas y couper, je vais devoir subir un tas d'examen. Je soupire d'avance face à cette idée. Je ne supporte pas les hôpitaux. Il me propose d'allez chercher Clara, puis me parle d'une IRM, me promettant de me faire passer rapidement. « J'ai eu Clara et mon père, ils vont arriver, mais pas tout de suite... alors fait moi cette maudite IRM avant qu'ils arrivent » Comme ça avec un peu de chance je pourrais filer avec le premier qui arriveras. Je sais que ce ne seras pas le cas, je suis mineure alors il faudra discuter avec mon père des résultats. Je me redresse pour planter mon regard dans celui de Gabriel, je ne le connais pas très bien mais je sens qu'il y a un truc qu'il ne me dit pas. Alors je lui demande « Et si en attendant tu me disait à quoi tu penses ? » Je n'avais pas la patience d'attendre cet examen, je me doutait qu'il avait déjà une bonne idée de ce qui pouvait m'arriver. Même si pour moi ce n'était rien qu'un petit malaise stupide, j'aurais du manger un peu plus ce matin, voilà tout.
J'acquiesce, elle a contacté sa famille c'est une bonne chose. Je ne vois pas qu'elle soit toute seule. Elle a besoin d'être entouré, tout le monde à besoin de ça. Clara n'est pas à mais l'idée qu'elle vienne ici me met un peu mal à l'aise, je l'évite depuis mon altercation avec Enzo, elle ne travaillait pas aujourd'hui. Je préfère autant qu'on ne se croise plus, qu'on ne soit plus aussi proche qu'avant. Je ne veux pas qu'il me refasse une scène et je ne veux surement pas me mettre entre eux. Ce n'est pas mon rôle.
"D'accord, est-ce que tu en a déjà passé un?"
Je veux lui expliquer comment ça se passe, qu'elle ne s'inquiète pas trop. Ca peut paraître impressionnant quand on ne connait pas, alors j'espère qu'elle n'est pas claustrophobe. Je croise les bras et je la regarde. Je ne devrais pas lui dire ce que je pense, si ce n'est pas ça j'aurais l'air idiot, mais je ne veux pas qu'elle s'inquiète te trop alors je lui dit:
"Et bien je pensais à des crises d'épilepsie ça arrive après un choc comme tu as eu et tous les signaux semblent correspondre, mais si ça peut te rassurer il y a des traitements qui existent pour éviter les crises."
Je ne veux pas l'effrayer de trop. Je sais pourtant que j'en ai déjà trop dit et je m'en veux d'être l'oiseau de mauvais augure.
Je veux en finir au plus vite. Je n'aime pas les hôpitaux. Mais je sais bien qu'on ne me laisseras pas partir tranquillement. De toute façon il faudra attendre mon père, je suis encore mineure. Mais si au moins on pouvait faire ces maudits examen avant, histoire de partir au plus vite une fois mon père arrivé. Gabriel me parle de passer un scanner et je grimace un peu à cette idée. « Non j'en ai jamais eu » Mais je ne sais pas pourquoi je sens que ça ne vas pas me plaire, d'ailleurs rien que le nom ne me met pas en confiance. Mais s'il faut le faire, je vais bien devoir m'y plier, pas de bonne grâce mais on fait ce qu'il faut pour sortir de là au plus vite. Je sens qu'il a déjà une bonne idée de ce que je pourrais avoir alors franche comme toujours je lui demande ce qu'il pense. Sa réponse m'effraye. Epilepsie. Je sais très bien ce que c'est. En effet ça peut coller avec ce qu'on m'a raconté. Il tente de me rassurer en me disant qu'il y a des traitements. Mais ce n'est pas ce que je vois « Tu veux dire que je devrais prendre des médicaments toute ma vie... comme si ces kidnappeurs ne m'avaient pas assez pourris la vie comme ça » Je repense a la réaction d'Occa et ce que ma soeur m'avait dit par sms peu de temps avant. « Est ce que les animaux peuvent ressentir les crises ? »
Je sais que ce n'est pas évident pour elle d'être là encore après tout ce qu'elle a vécu et j'aimerai vraiment faire quelque chose pour elle, pour l'aider à ne pas avoir peur, à ne pas se sentir mal, mais je n'ai pas ce pouvoir. Je ne peux faire que l'accompagner, lui dire qu'on trouvera ce qu'elle a, la rassurer. C'est tout ce que je peux faire.
"Ok, alors tu verra, c'est plus impressionnant que ça en a l'air, ça fait surtout beaucoup de bruit."
Ca va vite en général, enfin vite, tout est relatif, mais j'ai besoin qu'elle se détende un peu et je sais que c'est loin d'être évident. "Oui si ça peut t'aider à ne plus avoir de crises, il faudra en prise si évidement il s'avère que c'est de l'épilepsie. Je sais ce n'est pas réjouissant, mais c'est quand même une bonne chose qu'on sache les arrêter."
On peut stopper les crises, même si le chemin est long avant de trouver le bon médicaments, la bonne dose. Je préfère me taire sur ça, ne pas lui dire tout de suite que ça sera long pour la ménager un peu. Ce n'est pas simple pour elle, elle n'a que seize ans. Elle n'avait pas besoin de ça après ce qui lui ai arrivé cet été. C'était assez compliqué comme ça. Je comprends qu'elle veut s'en aller au plus vite. Qu'elle ne veut pas de ça. Je fronce les sourcils quand elle me demande si les animaux peuvent ressentir les crises et il me semble me souvenir que avoir entendu parler de ça.
"Oui je pense que certains animaux peuvent le sentir. Ca ne m'étonnerais pas. Certains sentent bien le diabète."
Je ne lui demande pas pourquoi je le devine. Son chien à du sentir sa crise arriver et c'est une chance qu'il soit là, qu'elle ait déjà un animal.
Accueil
