Tu l'avais laissé une heure plus tôt avant qu'elle te bombarde de messages. Tu t'étais enfermé dans le bureau pour lui répondre sans avoir un vautour au dessus de ton épaule. Tu soupires lorsqu'elle s'emporte. Tu ne sais pas ce qui te prends. Tu la laisses parler comme ça quand personne n'y a droit. Tu te ramollis avec elle et tu ne sais pas pourquoi. Ça te fait ni chaud, ni froid qu'elle te parle comme ça. Tu as finis par le ranger avant de faire ta tourner auprès des filles. Tu repousses brusquement leur main en serrant les dents à chaque fois. Une heure de plus, te voilà devant chez toi et tu émets un sifflement pour attirer tes chiens. Ils te saluent en se frottant sur toi et refermant le portail derrière toi. Tu te rends jusqu'à ta chambre l'y trouvant. Tu t'approches et te laisse tomber sur ton lit à ses côtés sans dire un mot.

Tu étais réellement mal au point que tu n’osais même pas bouger du lit de Maddox, les messages envoyés au beau brun étaient des pensées tête en l’air, jouant les femmes fortes comme tu en as l’habitude. Tes muscles te faisaient mal, tu n’oses même pas bouger le petit doigt pour te tourner dans les couvertures, Vincenzo ne t’as pas donner de moment de répits, toi qui sait que ce dernier risque de le regretter. Tu grimaces de douleur et quand la porte venait à s’ouvrir dans la chambre, tu tournes doucement le regard vers Maddox qui se laisse tomber contre le lit. La dernière conversation que vous aviez eu tous les deux concernant des conquêtes ne t’avais pas laisser indifférente, t’étant renseignée sur Camila qui t’as assurée qu’elle n’avait pas été dans son lit depuis longtemps. Tu lèves les yeux vers lui, restant silencieuse jusqu’à ce que ta main blessée se pose sur son torse, tu n’avais pas besoin de parler car rien que ton regard, voulait dire qu’il t’avais manqué.