Qu'est-ce que t'en as à faire que Maddox soit avec une meuf qui était plus jeune et sans aucun expérience ? allais-tu pleurer parce qu'il passait un bon moment avec une femme dans son lit, non, tu t'en fiches à l'extérieur sauf que ce qui se passe à l'intérieur tu t'en moques un peu moins. Pourquoi devais-tu t'apitoyer sur ton sort alors que tu t'es jurée de te foutre de tous les hommes qui se mettaient sur ton chemin. Disons que ça te faisait quelque chose mais qu'est-ce que tu en avais à foutre, tu t'es dis que jamais t'allais tomber dans les bras d'un homme et disons que ton patron c'est aucunement l'homme avec qui tu te voyais en couple ou même d'aller plus loin. Ton père et tes frères avaient malheureusement oser s'en prendre à ta petite personne et ils avaient subit les conséquences de leurs actes, ils avaient osés s'en prendre à ta petite personne et disons que tu pourrais les tuer n'importe quand. Bref, alors que t'étais dans ton bureau voilà qu'un mec fort aimable et mignon s'approche de ta petite personne, toi qui repousses du bout des doigts ton téléphone pour ne pas perdre ton temps avec Maddox qui semblait beaucoup trop pris dans ses ébats avec cette meuf. T'as besoin de te changer les idées, de ne plus revoir son visage de con dans ton esprit et dès qu'il s'est rapprocher de toi, t'as esquisser un sourire avant de te redresser sur tes jambes avant de t'approcher de lui, tes lippes caressant les siennes et ton corps se pressant au sien. Est-ce que t'avais envie d'oublier le mec qui te faisait tourner la tête ? oui, sans doute mais ça, personne ne devait être au courant car ça allait être une catastrophe. Vos mains vaguaient contre le corps de l'autre, les battements de ton coeur devenaient encore plus intenses et voilà que tu le plaques sans légèreté contre le mur, mélangeant ta langue à la sienne. T'as envie de lui, ça pouvait se décrire et pourtant on vient à donner un énorme coup de pied ce qui faisait valser la porte contre le sol, ta tête se retournant rapidement vers la porte alors que t'étais à moitié à poil, toi en sous-vêtements. Putain Maddox qu'est-ce que tu fous ici ! hurles-tu, grinçant tes dents alors que ton prétendant vient à se redresser, toi qui avait un mouvement de recul et ne sachant pas comment prendre la situation sauf qu'il tente de s'en aller et disons que ton patron ne semblait pas trop à l'aise de ce qu'il voyait. Roulant les yeux, tu croises tes bras contre ta poitrine en te fichant carrément que tu sois dans cette position. N'ayant aucunement le temps de rien dire, voilà qu'il l'empoigne pour l'emporter jusqu'à la baignoire, posant sa tête contre l'eau qui montait de plus en plus et toi, ce regard sans aucun scrupule, se fichant carrément de ce que cet inconnu pouvait penser, qu'il meurt ou non t'en avais rien à foutre. Quand Maddox allait-il se rendre compte que ça le tuait de te voir avec un autre mec ? Bref, tu restes silencieuse sans le quitter du regard alors que l'eau monte de plus en plus, sa tête se retournant vers ta petite personne et toi qui grinces des dents. Alors lâches-le bordel, c'est moi qu'tu veux ? bah laisses-le partir et viens m'prendre. souffles-tu, décroisant tes bras afin de lui faire face, ce regard plongé dans ses océans qui voulaient tout dire. Maddox t'avais toujours attiré, en fait tu le trouvais encore plus attirant lorsqu'il agissait de la sorte, possessif, jaloux... bref, de tous les défauts possibles. @maddox fringe

Il a toujours été très différent de tous les mecs que t'as rencontré par le passé, Maddox il ne se laisse aucunement marcher sur les pieds, il n'aime pas non plus quand un homme s'approche d'un peu trop près de ta petite personne et disons que tu t'es jamais posé la question. Ce qui n'est pas normal c'est que ce dernier soit aussi peu partageur, il n'aime pas quand un mec se pose près de toi, qu'il ose te toucher et inversement, comme si tu lui appartenais par contre toi Adriana, t'aimes pas voir une pute s'approcher de lui. Tu ne peux t'empêcher de serrer les dents quand il ose avoir les mains sur une femme, tu peux pas t'en empêcher et jamais ça n'allait changer. Certains disaient presque que vous avez l'air d'un couple sauf que c'est pas le cas, jamais t'allais oser te poser dans ses bras et de mentionner que t'es amoureuse de quelqu'un parce que non, tu t'attaches jamais à personne. T'as bien tuer ton père ainsi que tes deux frères car ils étaient que des connards, les hommes c'est surtout pas fait pour toi, t'es assez jeune pour t'amuser un peu avec eux, de jouer les séductrices comme tu ne cesses de le faire et de ne pas penser à l'avenir. T'es indomptable, certains diront que tu ne fonctionneras jamais comme ceux-ci, c'est normal parce qu'on t'as jamais élevée, tout ce que tu fais c'est montrer ta loi dans le cartel et tes hommes sont au courant qu'il faut pas te contrarier. Les hommes ne sont que de gros pervers, se fichant de ce que l'on peut bien penser et malgré le fait que tu prends toujours ton pied, tu n'allais pas céder aussi facilement. Dès que ton regard se pose vers Maddox, t'as ce mouvement de recul, le connaissant mieux que personne car oui, vous vous connaissez depuis tant d'années maintenant que t'es capable de décrire quand il s'amuse ou quand il est colérique. Ces derniers messages envoyés à celui-ci l'ont sans doute virer fou, pour qu'il entre dans la chambre après avoir défoncer la porte, il n'avait pas un mot à dire. Cet homme risquait de ne pas s'en sortir vivant, t'allais tout simplement pas pleurer sur sa carcasse, une chose est sûre c'est pas toi qui va pleurer sur le sort d'un pauvre être. T'as tuer une fois, tu n'allais pas le refaire et en ce qui concerne Maddox, c'est inscrit dans sa peau, il le faisait toujours encore et tu t'es jamais imposée. Poussant un énorme grondement, tu replaces tes longs cheveux ébènes derrière tes oreilles avant de te redresser sur tes jambes, marchant d'un pas décider jusqu'à la salle de bain. Il n'en avait pas fallu beaucoup avant que le beau brun se pose sur le dos de ton invité, la baignoire se remplissant d'eau et cet inconnu qui avait de la difficulté à respirer. Personne n'arrivait à sa cheville, sauf que t'es beaucoup trop fière pour l'avouer, toi qui se rapproche lorsqu'il faisait le signe de t'approcher. Tu sais ce qui risque de se passer dans les prochains instants, c'est inévitable et disons que tu t'en fiches, t'allais pas commencer à pleurer parce que monsieur à rompu cette soirée. Il agrippe férocement ta cuisse, t'incitant à se rapprocher davantage de lui, le corps de l'inconnu qui se tordait dans tous les sens, essayant de s'en aller sauf que malheureusement pour lui, sa mort était déjà comptée. Pinçant ta lippe inférieure, tu penches ta tête sur le côté, fermant tes prunelles et toi qui sentait les battements de ton coeur palpitant dans ta poitrine. J'en suis navrée... dommage, il était pas dégueu à regarder. souffles-tu, les lippes de Maddox contre ta peau balzane, sa langue rejoignant le reste, glissant le long de ton ventre pour aller vers ce petit sous-vêtement de dentelle, de trop maintenant. Tu sais que t'allais devoir supporter ce plaisir, le beau brun n'en avait pas terminer avec ton corps et ce n'est aucunement pour te déplaire, en fait t'as jamais osé contredire la moindre réaction. Ton corps était en constante ébullition, sentant le bras du beau brun se poser derrière tes jambes pour te faire asseoir sur ses cuisses, jambes écartées et tes bras posés, enroulés autour de son cou. T'as pas le temps de rien dire, que ses doigts s'enfilent sous ta culotte de dentelle, son doigt s'activant contre ton clitoris qui était déjà bien excité et tu sais que ça ne faisait que commencer. Tu échappes un long soupir de plaisir, tes lippes frôlées aux siennes, ton souffle chaud se mêlant au sien. T'es prise dans ses bras, l'une de tes mains glissant le long de son torse pour se passer sous cette veste de cuir de trop, ouvrant un peu plus tes jambes afin de bouger doucement ton bassin au sien, voulant malgré tout lui donner cette sensation de plaisir, de sentir cette bosse se former dans son pantalon et cet inconnu sous vous, qui avait pousser son dernier soupir, ne bougeant plus. Hm, comme si c'est pour m'en déplaire... t'sais très bien que mon corps t'appartiens Fringe. souffles-tu, avant de venir mordiller sa lèvre inférieure, tes océans toujours plongés dans les siens... @maddox fringe