⊹mois de septemrbe le forum arbore maintenant sa seizième version, le forum est la folie incarnée ! Il ne faut pas se perdre dans la tête des autres, pourtant, c'est si facile ! Nous avons droit à -cajou. (andie) l'énervée qui nous offre une version plutôt automnale ! Les codes sont toujours offert par ce diable en personne et vous offre même quelques nouveautés sur le plan visuel! Dévoré les nouveautés avec appétit et ayez le ventre plein !
⊹ C'est la rentrée Septembre ! Les jeunes sont de retour en classe et il faut le dire, certains sont assez cinglé pour déjà se lancer dans la fête ! En même temps, ce n'est pas encore le temps des examens ! Profitez de la rentrée les jeunes ! Qui sait, avec tout ce qui se passe ce qui pourrait arriver!
J'ai travaillé tard aujourd'hui et j'étais de fermeture. Reprendre le travail à été difficile mais je tiens le coup, mes nouveaux collègues sont sympas, les clients ça dépends. Je suis tombé sur un type il y a quelques jours, il voulait qu'on aille boire un verre. Je lui ai dis non. Il est revenu plusieurs fois me voir et me parler pendant mes heures de travail. Il insiste et il commence à me faire un peu flipper. Il semble tenace. Je l'ai vu arrivé après que tout le monde soit parti ce soir. Il est plu de minuit et je l'ai vu arriver se garer sur le parking et sortir de sa voiture, l'air énervé. J'ai fermé la porte à clé et les lumières. Il m'a vu faire et me cris que je ne pourrais pas toujours lui échapper. Il a l'air d'avoir un peu bu. Je fonce me cacher dans le fond du restaurant, dans la réserve et j'envoie un message à Nazz que je n'ai pas contacté depuis deux mois. Il saura quoi faire. Je lui explique et il me dit de garder mon téléphone qu'il arrive. D'ici jusqu'au ranch je ne sais pas combien de temps il y a, mais il a sans doute assez de temps pour que ce cinglé me trouve. Je me lève, mets un balais pour bloquer la poignée, et des étagères devant pour l'empêcher d'entrer avant d'aller me planquer dans la chambre froide que je ferme. Je peux toujours l'ouvrir de l'intérieur. J'ai la trouille. Je continue d'envoyer des message à Nazz en espérant qu'il arrive vite. J'entends l'autre hurler de l'autre côté de la porte qu'il n'arrive pas à ouvrir. Je suis coincé, faite comme un rat. Il va me trouver. J'en suis sure. Je me recroqueville sur moi même, en boule comme si ça pouvait me protéger. J'entends des coups sur la porte. Je sursaute à chacun des coups, et j'envoie un message à Nazz complètement paniqué, si bien que mes mains tremblent quand je l'envoie.
Les jointures toujours écorchées, les mains tremblantes d'une soif insassiable. Tu ne sais plus quoi faire pour calmer ce torrent dans ta tête. Une vraie tempête qui fait des ravages. Ça te tue à petit feu, de l'intérieur depuis des mois. C'est pire depuis deux mois. Depuis que Ava joue du silence avec toi. Tu quittais la ville et par pur hasard, ton portable afficha son nom accompagné d'un message que tu n'as pas pris le temps de lire. Tu t'es arrêtés net sur le côté de la grande route pour prendre conscience de ce qu'elle voulait. Après deux mois... Deux putain de mois... Pourquoi est-ce que c'était aussi difficile à encaisser que la première fois que vous avez été séparés ? Plus elle te parle, plus cette rage, que tu tentais de calmer, reprennait le dessus. Portable en main, tu as repris la route à vitesse folle. Elle a raison, tu sais très bien ou se trouve le restaurant et tu t'y rends aussi vite que tu le peux. Une fois sur place, tu te garres derrière une voiture, tu ne la connais pas. C'est sûrement celle de ce client. Tu cours jusqu'à la porte d'entrée qui se trouve défoncé. Il est à l'intérieur. Tu pris pour qu'il ne l'ait pas trouvée. Tu traverses la salle, tes talons résonnant sur le parquet. Soudainement, tu entends quelqu'un frapper sur du métal et cette voix vient même te dresser les cheveux à la base de la nuque. Il l'a trouvée. Tu te rues dans l'arrière boutique et tu le vois marteler la porte de la chambre froide. « HEY! » Tu attires son attention et une fois à sa hauteur, tu viens lui fracasser la tête contre cette même porte à plusieurs reprises. Une fois bien sonné, tu lui donne un dernier coup de pied pour l'éloigner avant de revenir vers la porte. Tu viens y poser ton front et tu te râcles la gorge en fermant les yeux. « Mon coeur... » Tu grimaces et te mords l'intérieur des joues avant de reprendre. « Ava, c'est moi... Tu peux sortir. »
Les coups retentissent les uns après les autres, je tremble derrière la porte de la chambre de la chambre froide, pas de froid, mais de peur. J'envoie un message à Nazz pour lui dire qu'il est rentré et les coups semblent s'arrêter un instant. Je me lève et j'écoute derrière la porte. J'entends d'autre pas et j'ai envie d'ouvrir pour voir ce qu'il se passe, mais je reste là sans savoir quoi faire trop apeurée pour ouvrir. Ce n'est que lorsque j'entends la voix de Nazz qui me demande d'ouvrir que j'ouvre la porte. Il a dit mon cœur et c'est la première que j'entends ça de sa bouche. Enfin peut-être pas, mais la première fois ou je me souviendrais. Sans hésiter j'ouvre, je remarque le type défiguré à terre et pendant un instant je le regarde lui me disant que s'il est capable de faire ça, ça ne doit pas être la première fois. Je vois ses mais égratignées. Je le regarde et je fini par me jeter dans ses bras, trop heureuse de le revoir alors qu'il aurait pu me dire d'aller me faire voir. Je n'ai pas rappelé depuis que j'ai vu ses fils, depuis que je suis partie comme une voleuse. Je le sers dans mes bras, posant ma tête contre son torse.
Dire que tu aurais bien pu ne rien faire. Que tu aurais du ne rien faire, rester dans ton coin, ou continuer ton chemin... Mais c'était Ava... En danger... Ce n'était pas Vincenzo installer bien confortable dans sa cellule au poste de police. Tu savais au moins ou il était. C'était déjà ça. Personne n'oserait s'en prendre à lui là-bas. Mais Ava... Ta Ava... Elle avait des problèmes et tu ne pouvais qu'accourir à elle parce qu'elle te l'avait demandé. C'était plus fort que toi. Tu te jettais dans les bras de ton enfer. Tes fils allaient sûrement encore foutre la merde. Tu avais fini par mettre l'homme K.O. et assez rapidement, disons-la. La rage baignait déjà dans tes veines et franchement, tu aurais bien aimé le tuer. Tu n'oserais jamais devant elle. Il est simplement inconscient au sol lorsque la porte s'ouvre. Tu baisses la tête sans oser la regarder. Dès que tu sens son corps se presser contre le tient, ton coeur s'emballe dans ta poitrine et une main se glisse au creux de son dos. Tu n'as pas su freiner la seconde qui se glisse contre sa nuque et remonte en douceur à travers ses cheveux pour la garder bien appuyé contre toi. Tes bras se referment en étreinte et ton nez s'enfouis dans ses cheveux. Tu restes silencieux, ton corps se détendant de toute rudesse, de toute trace de rage et de violence accumulé. Merde qu'elle te fait un bien fou.
Il est là devant moi. Il est là et je me demande comment j'ai pu faire pour être si loin de lui aussi longtemps. Il m'a manqué. J'enfouis ma tête contre son torse appréciant ses bras musclés autour de moi. Je suis soulagée qu'il est arrivé, même si je regarde le type à terre. Il l'a frappé, mais c'était pour me protéger alors il y a prescription. Je lève les yeux vers lui, ses yeux me frappe comme à chaque fois que je le regarde. Il est beau. Mon coeur manque un battement tant il me fait chavirer.
"Tu va faire quoi de ce type? On ne peut pas le laisser là, je vais avoir des problèmes avec la direction s'ils le découvrent demain matin et la porte qu'est-ce que je vais leur dire?"
Je panique alors qu'il n'y a pas de raison, ils auront la vidéo surveillance, je devrais les appeler tout de suite pour prévenir. Je ne devrais même pas m'en soucier. Je ne devrais pas parce que ce qui importe c'est qu'il m'a aidé, que sans lui ce type m'aurait sans doute agressé. "Merci d'être venu. Tu m'as tellement manqué."
Je me glisse à nouveau contre lui, dans ses bras et je m'en veux d'être partie comme une voleuse, mais j'ai eu peur, peur de me rendre compte de notre différence d'âge, de me dire que ses fils avaient mon âge et que ce n'était pas normal, mais je l'aime. Je ne peux pas aller contre ce que je ressens.
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