C'est par  une soirée de juillet que tout commença. À vingt-trois heures et sept minutes, je fixe le vieux motel au bord de l'autoroute. Mon regard se rempli d'appréhension en vus de ce panneau clignotant annonçant la disponibilité des chambres. Examinant son revêtement de brique délabrer, la couleur brune tournant vers le gris et ses fenêtres sales, j'ai envie de retrousser le chemin. Ce n'est pas une Queen Elizabeth ni un Germain, c'est sûr. Mais, je dois rester ici quelques jours. L'argent ne me manque pas ! Hélasse, mes priorités sont ailleurs ! J'ai l'habitude de dormir sur la terre ou encore en plein coeur de l'Amazonie. Alors un bâtiment délabré comme celui-ci allait le faire. Les cafards me dégoûtent et pourtant les araignées et les serpents me passionnent. M'apitoyer sur ma situation ne fait pas partie de moi. Je laisse ce concept à ma soeur. Détrompez-vous, Cathrine est une femme admirable que je considérer merveilleuse ! Toutefois, il y a un manque chez elle qui m'énerve. Elle a un bel avenir ! Elle a réussi dans tout les plans contrairement à moi. J'ai choisi ma carrière et elle l'amour. J'ai beaucoup de volonté ! Je suis une aventureuse ! Je veux vivre sans barrière ! À vrai dire, je ne mâche pas mes mots et je ne recule devant rien. Pour moins de 75 $, j'ai été bien surprise. Je m'attendais à beaucoup plus. Après tout, les Américains sont assez spéciaux. Je m'inscris à la réception, je paie pour quinze nuits et j'essaie de ne pas trop regarder la moisissure sur les murs. L'air se fait las, l'homme derrière le comptoir me tend la clé avec ce large sourire dégoutant. Une perversion détournant la beauté d'un sourire classique. Je me traîne jusqu'à ma chambre, m'emportant de mes bagages. Après avoir déverrouillé la porte, j'entre et examine la pièce. Je laisse mes valises contre le mur et prends mon téléphone. J'envoie un cours message au père d'Evan -Bien qu'il ne s’agit pas du père, mais elle l'ignore-. Après quelques messages échangés, je lui propose de me rejoindre afin de discuter du manque de nouvelle de ma princesse. J'en profite pour prendre une longue douche, puis je m'enduire soigneusement de lotion à l'argan pour hydrater ma peau. Une odeur de vanille et de lavande. L'odeur me réconforte sans réellement me relaxer parfaite. Une fois ma toilette complète. J'enfile un short noir de sport et soutif de sport en attendant cet inconnu. Je grogne un peu en entendant quelqu'un f rapper doucement à la porte. Je venais juste de m'installer sur mon lit et ouvrir mes dossiers de recherche. Il était confortable. Il avait cela de bien. Je m'oblige à me lever, m'attendant à ce que ce soit l'inconnu dont Cat m’a refilé le numéro. J'entrouvre la porte juste assez pour voir de qui il s'agit. Son visage me disait quelques choses, mais quoi. Ce n'était pas l'homme que je pensais. "Ah ! Je croyais voir le père de Evan... Vous êtes Monsieur Wick, je présume. Rentrer." Dis-je en me tassant sur le coter pour le laisser rentrer. Je referme la porte derrière nous et le regarde.

Je n'aurais pas cru voir le ciel s'assombrir sans l'apercevoir. Une autre nuit, dont l'espoir de voir ce reflet réel apparaitre devant moi. M'avoir dirigée plus loin vers le nord de la ville avait remis en question ma relation avec ma soeur. J'adore conduire, mais ce n'était pas moins derrière le volant. Il s'agissait d'un homme à l'origine indienne. L'odeur du carry me ramenait des souvenirs de mon voyage en Inde. Je lui avais suggéré de finir son repas avant de prendre la route vers le motel. Il ne voulait, mais je lui expliquer. Mon hindi n'est pas parfait, il se compare à un enfant du primaire. Ce qui l'avait bien fait rire. Nous avons parlé une dizaine de minutes avant de partir vers ce futur logement temporaire. J'espère. En arrivant ici, je ne pensais aucunement faire l'usage du numéro offert par Cat. Comment expliquer l'irresponsabilité de ma soeur et ma venue. D'ailleurs, la porte avait à peine toqué que j'ouvrais la porte. Ma mâchoire se décroche et mon oeil qui observe dans'l'oeil' de la porte est impressionné par celui se tenant derrière la porte. Est-ce que je devrais paniquer ? Ce n'est pas l'homme âgé que je croyais avoir face. Loin de là ! Il est jeune...d'accord dans la quarantaine. Avant d'ouvrir, j'aurais dû sortir mon âme déposer sur la table d'entrée, mais non. Il est dans son boitier bien serrer. Il faut me pardonner ! J'ai l'habitude de me faire suivre lors de mes missions pour des pièces de collection. Il y a trop de chasseurs de trésor qui ont les mains baladeuses. Je lève un sourcil. Il me prenait pour ma soeur. Être offusqué serait idiot. C'est une habitude qui va revenir à la normale avec le temps. Revenir dans ce coin perdu des États-Unis ne m'apporte pas que du bien. Ma jumelle restera toujours la plus connue. Je suis son ombre. Sa voix fut si basse, un murmure étonnant. Le silence du lieu m'a permis d'entendre sa voix grave. Oh ! Putain, je suis sûre qu'elle est chaude et sensuelle. Il commence à parler. Bon Dieu de merde ! D'accord que ce mec donne sa voix pour lire des romans érotiques ! Je crois que les maisons d'édition vont augmenter leurs ventes. Je tousse un peu par la surprise. "J'ai cru bien remarquer, vous n’êtes pas aussi vieux... Alors vous êtes son frère ? Ah bon." C'était un peu froid. Je ne suis pas aveugle. Il n'a pas le ventre, les cheveux blancs - bon un ou deux surement- et il a des cheveux... une épaisseur plutôt. Mes pupilles viennent rejoindre les siennes. Plongeant dans la lueur de son âme. Le soutenir est facile, je reste froide. Voir peut-être non impressionner. Il n'est pas aussi intimidant que je croyais avec le soi-disant emploi que les frères Wicks pratiquaient. Sérieusement Cat ! C'est un pousseux de crayon ! Je recule de quelques pas pour le laisser passer, une fois la porte ouverte. "Heu...Non, Monsieur Wick. Je suis ma soeur, Neptune Goldstein." Ma langue claque sous la tonalité de mon accent français et mon anglais sans tache. Dis-je une fois qu'il rentre. Merde ! Il fait une chaleur à l'extérieur ! J'aime bien mon a/c moi. ''Je suis sa jumelle." Dis-je en fermant la porte. "Je vois qu'elle ne vous a jamais avisé qu'elle avait une soeur...autre que les autres..." Voilà ! Je suis choquée. Même blesser ! J'ai envie de lui gueuler après si elle serait là. Elle est encore choquée que je sois partie pendant 10 ans. La vache ! Qu'elle en revienne ! Je croise les bras sous ma poitrine, les remontant un peu.Je soupire et lui fais signe de s'assoir sur le canapé aux apparences louche. Il venait d'ajuster son veston et il va devoir surement mettre son joli cul sur un fauteuil louche. "Assoyez-vous.'' C'est un homme qui empeste la luxure. C'est un peu... dégoutant.

Je ne pourrais jamais expliquer ce que je ressens.
Il y a en moi ce vide qui ne cesse de me détruire peu à peu. Laissant une curiosité émotionnelle, me perturber depuis mon arrivée et un peu avant. J'avais peut-être cette peur qui me dévore les entrailles. Elle cherche à troubler celle que je suis. Il faut comprendre que je revenais sans prévenir dans mon chez-moi. Ce lieu qui m'a permis de grandir avec les rires et les pleure. Je suis venue et je suis partie. Jamais au grand jamais, je n'aurais pensé revenir dans ce village. Ce petit lieu anodin que les citoyens apprécient. Pour moi, je revenais vers les portes de l'enfer. Au fond, j'avais tout quitté pour fuir la réalité. Je voulais vivre de mes propres ailes. Abandonnée violemment ceux que j'aime afin de ne jamais les revoir. Et, ma jumelle ? Je ne voulais pas la perdre. Loin de là. Mais, je sais qu'au fond...les gens ne voyaient qu'elle. Alors, une Goldstein de moi n'allait pas être grave. C'était une bénédiction. Chandler et moi, nous sommes les mal-aimés. Les moutons noirs. Le problème, j'avais le visage Catherine. L'enfant modèle vs l'enfant rebelle. Je l'adore ! Je l'aime, mais être son double n'est pas facile...
Avant son arrivée, l'ambiance est tamisée et tout autour de moi, était calme. J'adore ce genre d'atmosphère paisible. Il avait cette lumière au plafond qui clignotait comme dans un film d'horreur, mais il m'en fallait plus pour m'effrayer. Son regard posé sur moi fit monter le long de ma colonne, un long frisson perturbateur. Devrais-je le craindre tel un serpent venimeux ? Non ! Son imposante carrure, sa mâchoire carrée, ses iris brillant sous la lumière du couloir ne me perturbaient guère. Sa personne laissait entrevoir une force. Une présence imposante dont la rigueur n'est pas à prendre avec légèreté. Je le soutiens. Son roulement de ses yeux provoque en moi, un rire moqueur. Une petite fossette apparente sur le coin de mes lèvres. C'est une réaction bien gamine. Mes sourcils se froissent en le jugent. « J'ai compris. Je ne vois pas vraiment de ressemblance avec votre frère. » Dis-je sèchement par réflexe. Je n'ai pas de filtre. Je dis ce que je pense. Je ne pourrais compter combien de fois cela ma créer des problèmes. Cette langue est bien active. Elle ne comprend le sens de la responsabilité des mots qui vient avec. Ne disons-nous pas qu'une personne qui parle est moins dangereuse qu'une personne qui ne parle pas. Ce qui fait de moi...une femme moins dangereuse ? Je devrais le prendre en note. Sans prévenir, sa voix revient à la surface. Brisant ce long silence que nous avons provoqué. Je ne peux retenir ce rire sarcastique. Un petit rien de mal, mais le voilà. Je glisse une mèche derrière mon oreille. « Vous avez trouvé cette phrase de drague à deux balles dans un live ? » Aie ! J'ai envie de me gifler. Je ne demande pas pourtant pardon à mon commentaire déplacer. Je venais de commettre une erreur. Cet homme est venu à ma rencontre afin de trouver Cat. Plutôt m'éclairer sur le sujet.

Il s'approche et je sens son parfum de mon dos lorsqu'il passe à mes coter.  Il est grand, en costume -du moins presque- et ses cheveux courts glisser vers l'arrière. Le gel faisant briller cette chevelure brunâtre. Enfin, sous ses airs de gendre idéal, je devais croire les affabulations de Catherine. Il s'agit d'un démon qui se cache. Je devrais peut-être me méfier ou aimer. En fait, je ne comprends pas ce que ma soeur trouve de charmant à cette idiotie prise par l'illusion de menterie. Une fiction qu'elle se créer encore. Devrais-je dire : j'adore ? Non ! Comment pourrais-je apprécier cette vie qu'elle s'invente. Pire qu'un baiser de Judas. Bon, je ne cacherais pas que ma curiosité l'avait examiné. Cherchant un défaut ou une caractéristique troublante, mais rien. De part et d'autre de ses yeux, de petites rides prouvent qu'il a eu la vie dure. Que le sommeil lui manque d'ailleurs. J'avais glissé mon regard vers ses lèvres. Elles sont pleines, fermes et absolument irrésistibles. Kaj a un air encore plus grincheux que son frère. Si une telle chose est possible. Je n'imagine pas le reste de sa famille. Qu'est-ce qui peut bien le rendre morose ? Ce mec doit avoir ses menstruations à temps plein. « Ah ! Vous êtes moins con que je pensais. » Une autre claque ! Neptune apprend à parler correctement. Passer des années avec des cadavres et des objets historiques t'ont fait oublier les bonnes manières ou comment entretenir une relation avec des gens. Bien que, présentement, c'est de créer une relation avec le beau frère de ta soeur. « Effectivement, c'est plutôt à votre frère d'apprendre plus sur sa belle-famille. Vous êtes que le beau frère de Cat. » Mes mains se glissent dans ma chevelure en les repoussant vers l'arrière. D'un mouvement maladroit, je viens créer une queue de cheval pour dégager mon visage. Je glisse l'élastique de mon poignet à mon cran. « Vous avez une bonne oreille. J'ai vécu longtemps en France. » D'une invitation plutôt polie, je lui propose de prendre place sur ce vieux truc. Il refuse. Est-ce que mon pauvre logement le dégoute ? Les maudits riches. Je lève le sourcil en le regardant. « M'asseoir pour ? Vous n’allez tout de même pas dire qu'elle est morte ? » dis-je en riant nerveusement. Je n'allais pas m'assoir. J'ai le vol dans le corps et mon postérieur ne veut pas. Je croise alors les bras sous ma poitrine et l'observe. « Je préfère rester debout. Dite ! Ne tournez pas autour du pot. » Dis-je un peu froidement. Aie ! J'ai le coeur qui s'active. Il s'imagine le pire. Qu'est-ce qu'il allait m'annoncer.

Au fond de moi, je craignais le pire sous son manque de ponctualité.
Catherine n'était pas une femme manquant à son devoir. Lorsqu'elle s'offre pour vous tendre la main, elle ne défile pas sans prévenir. Je sais, je savais que la présence de cet homme devant moi n'annonçait rien de bon. Je voulais fuir la réalité qu'il allait m'annoncer. Mon corps vibre sous la crainte d'une nouvelle regrettable. Contrairement à elle, ma nervosité ne se laisse pas apercevoir. Cette femme délicate prise souvent au dépourvu n'est pas celle que je suis. Toutes mes gestes et mes actions sont calculés à la seconde. Il est mal vu qu'une faute vienne à porter mon nom. Lui, son beau-frère avait bien cru apercevoir cette fleur fragile ouvrir la porte. L'évidence est bien là ! Je ne suis pas elle et je ne serais jamais elle. Nous avons le même corps, le même visage, mais la personnalité est éloignée.

Il s'approche. Trop proche ! Je l'observe en l'écoutant blasphémer sur une technique de drague manquant de jugement. Je roule les yeux. Une mauvaise habitude que j'ai gardée de mon enfance. Il a vingt cons centimètre de plus que moi. Je ne me suis jamais sentie aussi petite qu’à cet instant. Je ne bronche pas  alors que son doigt soulève mon menton. Ses iris sont chauds. Brûlante telles les flemmes de l'enfer. Elles me disent de garder ma bouche bien fermer. Que je dois cesser d'entrouvrir les lèvres pour laisser des paroles plus tranchantes une que l'autre sortir. Lorsqu'il me relâche brusquement, mon visage se tourne vers la droite pour retourner vers son regard glacial. Empruntant la même noirceur qu'il me portait. La colère me narguait. J'avais envie de lui claquer ma main contre sa joue. Je déteste qu'on se permette de déposer un doigt, une main sur moi. "Ne me touchez plus...Monsieur Wick". Dis-je en laissant son nom vibrer derrière le mécontentement que je ressentais au plus profond de mon corps. Ce grand-père se n prenait pour qui ? Le roi ? Je restais là. Les bras croiser voulant détruire cette carapace qui le protège de moi. "Ah, bien ! Il parle français." Aucun accent. Aucune fausse lettre fourchant sa langue. Ma tête se tourne et observe la fenêtre donnant sur l'extérieur. Je n’aurais peut-être pas dû lui ouvrir la porte. Je lui jette un coup d'oeil. Il n'a pas bougé et me fixe d'un regard noir, furieux. Fais chier ! Tout ce cirque pour mon manque de délicatesse. Je cligne des yeux rapidement tout en soupirant de nouveau. Je crois avoir fait une erreur fatale. Sinon, un manque de jument.

Ce genre d'attaque ? Il se moque de moi. Mes propos ne sont pas offusquant ! J'avais oublié comment les Américains sont plus susceptibles que les Français. Il aurait pu être charmant, ce grand-père. Bien sûr, il a tout foutu en l'air rien qu'en ouvrant la bouche. Connard ! Je souris faiblement. Le sarcasme vient facilement à se lire sur mes lèvres étirer. Devrais-je être désolée ? Non ! Je ne vois pas ce que j'ai dit de mal. Ce type serait parfait. S'il se contentait de garder la bouche bien fermée. Un peu de ruban adhésif ferait surement l'affaire. Dommage que je ne suis pas au bureau."Je crois que vous ne comprenez pas rapidement...Il n'y a eu aucune attaque. Si, le chapeau vous fait. Il est disponible à porter." Je secoue la tête en fermant les yeux. Il commence à m’énerver.

Mes yeux s'écarquillent alors qu'il cherche encore à me convaincre de m'assoir dans le siège derrière moi. Je n'aime pas avoir des ordres.Surtout venant d'un homme. Il s'approche de moi. Je dois me calmer et m'éloigner de lui, non sans siffler un connard entre mes dents. Sauf que je ne fis rien. Je sens mon corps se raidir subitement. Mon regard cherche à soutenir toujours le sien. J'ai l'impression d'être une louve provoquant son alpha. Mon rictus est bien affiché. Son doigt se dépose contre mon sternum. "Aie ! Putain ! Ne me touche pas !" Dis-je sèchement. Je dessus de main le repoussant violemment. Je m'assois en croisant les bras comme un enfant réprimander. Puis sans prendre de gants blancs, il me balance la nouvelle.

Je me voyais devant un train. Les bras ouverts comme pour le serrer contre moi. Le laissant, me percuter en me trainant avec lui. La nouvelle ne pouvait être plus choquante. Ma bouche s'ouvre et se ferme. Les mots me manquent. Mon coeur ne bat plus. Mon monde vient de s'effondrer. Aucun signe de vie. Je me lève rapidement sans réaliser la vitesse de mon geste. Le bruit de ma main contre sa joue brise le silence de ma chambre. J'ai envie de pleurer. J'ai envie de crier. Je ne sais pas comment réagir. "Votre Jet ? Vous ... Vous ne vérifiez pas avant de décoller ! Vous ... C'est une blague ? Vous avez mis des caméras dans la pièce." Ma main tourne, formant un rond dans le vide. Je veux croire à une plaisanterie. Une blague de mauvais goût, mais je le sais. Je m'assois de nouveau dans le canapé. Mes coudes se déposent conte mes cuisses et mon visage s'enfonce dans mes mains. J'ai mal, j'ai mal ! Ma poitrine se resserre. Je veux ma soeur ! Je veux entendre sa voix. Je veux l'entendre rire. Je veux sentir son parfum et sa personne se serrer contre moi. Merde ! Je vois floue. Mais, je ne veux pas que personne ne me voie faible. Les mots: tout le monde à bord sont mort. N'arrête pas. Le disque saute. Si tout le monde sont mort. Elle aussi. Ma respiration se fait douloureuse, je respire avec difficulté. Une larme descend le long de ma joue. Je ne lève pas mon visage. Je viens de frapper un inconnu. Un homme cherchant à retrouver ma soeur. Je ne veux vas pas m' excuser. "Vous avez une piste ?" Doucement, le regard aussi vide que mon âge, je viens croisé ce visage marqué par la rougeur de ma claque.