Tu n’en avais fait qu’à ta tête une seconde fois, t’es au courant que Maddox n’allait pas apprécier que tu décides de te rendre proche de l’ennemi, que votre soit disant chef s’en était pris à ces victimes alors que vous n’en aviez pas l’air d’être au courant. Tu en savais des choses sauf qu’elle t’as aucunement dit à Vincenzo ce qui se passait derrière tout ça, sans doute le coup de l’émotion et de l’adrénaline qui sait. Après ces nombreux messages que tu envoyais au chef de la mafia, t’avais ce même petit sourire sur le coin de tes lippes, toi qui était au club ce moment présent et t’en profites pour dire à quelques uns de tes hommes que tu allais au lieu de rendez vous, que si t’étais pas rentrée d’ici une heure de le dire à Maddox. Enfilant ta veste de cuir rouge, tu montes sur ta moto avant de rouler jusqu’au lieu de rendez vous, n’ayant peur de rien et sachant pertinemment qu’il n’aurait jamais pris la peine de se déplacer seul, sauf que t’es maligne, t’avais ton arme à portée de la main si ça venait à dérailler. Roulant de plus en plus vite, te faufilant entre les voitures, tu viens finalement à arriver et tu stationnes ta moto, retirant ton casque et le déposant contre le siège de cette dernière. Le bruit de tes talons hauts raisonnaient contre le sol jusqu’à ce que tu remarques Vincenzo, t’as ce petit sourire amusé contre tes lippes en plongeant tes prunelles ébènes dans les siennes. « Alors, j’espère que je ne t’ai pas trop fait attendre... »

Tu es sûr qu’ils sont responsables de tout ce qu’il se passe en ce moment. Ces disparitions ont eu lieues peu de temps après leur arrivée en ville et les victimes ont entendu parler espagnol. Coïncidence ? Tu n’y crois pas. Tu les avais déjà soupçonnés au début, mais tu t’étais dit qu’ils ne seraient pas assez stupides pour s’en prendre à certaines des plus grosses puissances de la ville. Au final, il semblerait que si, ils sont assez cons pour le faire. Tu devais tirer cette histoire-là au clair, tu devais savoir ce qu’il en était réellement. Pour ça, tu avais repris contact avec Adriana. Pour ça ou pour t’amuser ? Peut-être un peu des deux … après tout le jeu en vaut la chandelle.

Arrivé sur place, tu jettes un œil vers tes hommes cachés plus loin. T’étais venu avec deux gars juste au cas où, mais ils n’interviendraient que si elle montre un geste d’hostilité en ton égard. Quelques minutes après ton arrivée, tu entends le bruit d’un moteur de moto. La voilà. Tu ne bouges pas et tu la regardes s’approcher de toi. « Oh mais l’attente n’est rien comparé à la vue que tu m’offres » Faut avouer qu’elle avait un physique très avantageux.

@Adriana Muñoz

Tu sais que Maddox allait t'en vouloir, qu'il allait tout de même montrer une certaine jalousie comme tu te rapprochais de Vincenzo sauf que qu'importe, vous n'étiez pas en couple et tu pouvais faire ce dont tu as envie, t'es assez grande pour te protéger toi-même. Bref, alors que tu venais à arriver sur le lieux de rencontrer, tu descendais de ta moto en retirant ton casques, laissant tomber ta longue chevelure brune contre ta chute de reins et de pouvoir finalement t'approcher du beau brun. Le connaissant, il avait sans doute demander à quelques uns de ses hommes pour l'aider, si tu venais à lui faire du tord sauf que c'est aucunement ton genre à sortir tes armes si Vincenzo n'a rien fait. Tu te souvenais la dernière fois qu'un mec avait toucher à ta bécane, tu lui avais entrer une fourchette dans la main et depuis tu ne l'as pas revu. Dès qu'il venait à ouvrir la bouche, tu ne peux t'empêcher de pousser un rire et de positionner tes bras contre ta poitrine, arrivant à sa hauteur et tes prunelles plongées dans les siennes. T'as de la chance, j'me suis mise belle rien que pour toi. tu positionnes ton doigt contre son torse et relevant la tête pour mieux l'observer. Alors, dis moi... à quel endroit sont tes gentils petits toutous ? aurais-tu peur que j'oses te faire du mal De Luca ? @vincenzo de luca

Tu te l’étais tapée lors d’un voyage à Los-Angeles. Si tu ne savais rien de son statut en premier lieu, tu avais vite appris qu’elle faisait partie du Cartel. A ce moment-là, tu n’en avais pas grand-chose à foutre, mais aujourd’hui c’était différent. Aujourd’hui, ils étaient dans ta ville et tu les soupçonnais d’avoir kidnappé toutes ces personnes innocentes. T’es persuadé que c’est eux les responsables, ils étaient les coupables tout désignés. Qui d’autre aurait été assez stupide pour s’attaquer à ton organisation et celle de Kaj en même temps ? Il n’y avait qu’eux et leurs cerveaux défoncé par leur drogue pour oser le faire. C’est avec la ferme intention de leur faire cracher le morceau que tu avais donné rendez-vous à Adriana, celle là-même que tu avais eu dans tes drapes à L.A. « Quelle chance en effet. Je n’en attendais pas tant de ta part. Un régal pour les yeux » Tu lui fais un sourire en coin alors que ton regard ne quitte pas le sien, même lorsqu’elle pose son doigt sur ton torse. « Je sais que les vipères dans ton genre peuvent mordre au moment où on s’y attend le moins » Tu lui fais un clin d’œil en mettant une mèche de ses cheveux derrière son oreille « On est jamais trop prudent » Dis-tu en venant murmurer ses mots à son oreille comme s’il s’agissait de mots doux.

@Adriana Muñoz

T'es au courant de toutes ces choses qui se sont passées au sujet de ces disparitions, Maddox s'était chargé de votre supérieur immédiat, disons que tu t'es fais repousser par le beau brun, ce dernier qui ne t'avais jamais affirmé toutes ces choses qui se sont passées et en fait tu l'avais envoyer promener. C'est la toute première fois que tu t'en faisais pour quelqu'un, pour un homme surtout et disons que tout le monde est au courant que tu es proches, très proche de ce dernier. Bref, alors que tu t'approches doucement de Vincenzo qui était en face de ta petite personne, le bruit de tes talons venaient à se faire entendre et tu esquisses un sourire. Tu te positionnais en face du beau brun, tes prunelles plongées dans les siennes et ce regard ravageur surtout. J'suis prête à parier que tu meurs d'envie de toucher à nouveau la marchandise... c'est toi, t'as toujours user de tes charmes pour arriver à tes fins et disons que les choses sont pareilles depuis quelques années. L'un de tes doigts se pose contre son torse, remontant graduellement jusqu'à sa nuque, gardant cette proximité avec le beau brun et parlant d'une vipère, tu pousses un rire. Oh Vincenzo, une vipère utilise son venin sans réfléchir en face de son ennemi mais.. pour le moment, tu n'es pas dans cette phase. est-ce que tu avais peur que ses hommes de main puissent s'en prendre à toi ? Non aucunement, tu sais te défendre et disons que t'es impitoyable quand tu t'y mettais. Le laissant remettre l'une de tes mèches derrière ton oreille, tu pinces ta lippe inférieure tout en approchant ton visage du sien, ton souffle s'échappant contre le sien. Dommage que tu n'ais pas confiance en moi. tes lippes frôlaient les siennes jusqu'à ce que tu te recules automatiquement, sans le quitter du regard. Alors, poses-moi les questions qui te tracassent... tu ne m'as pas fais venir ici pour me mater. @vincenzo de luca

T’en as marre de toutes ces conneries. T’avais un business à faire tourner et à côté de ça venait s’ajouter ces kidnappings. Ça et plein d’autres merdes encore, mais pour l’heure ton souci était de trouver le responsable qui a envoyé toutes ces personnes à l’hôpital, dont ta sœur et ton frère. Ta famille ! Ils s’en étaient pris à ta putain de famille et ça, tu ne pouvais pas laisser passer. Ce Cartel allait le payer cher. « J’ai déjà ce qu’il faut à la maison » Non c’est faux, tu n’avais plus personne maintenant. Célibataire, libre comme l’air tu aurais pu faire ce que tu voulais avec Adriana, mais tu n’étais pas là pour ça… pas dans un but premier en tout cas « Mais c’est vrai qu’en souvenir du bon vieux temps … » Tes yeux se baissent sur son décolleté pendant qu’elle faisait glisser ses doigts sur ta nuque. Ah ce petit jeu t’amusait, tu ne pouvais pas le nier. « Oh donc je ne suis pas encore dans ta liste noire … intéressant » Tu lui offre un sourire en coin charmeur en relevant ton regard vers le sien. « Mais j’ai pas confiance aux si belles créatures… ce sont les plus dangereuses » Tu n’avais pas peur d’elle, mais tu savais qu’il ne fallait jamais baisser la garde quand tu étais face à un rival. Bien qu’elle toute seule ne représentait pas vraiment une menace. Tu ne bouges pas d’un pouce quand ses lèvres viennent frôler les tiennes, toujours dans ce jeu de séduction que vous aviez depuis le jour de votre rencontre. Ce geste te tire un sourire racoleur. « Non c’est vrai, même si la vue est agréable. Dis-moi plutôt la raison pour laquelle vous avez enlevé ces pauvres innocents »

@Adriana Muñoz

Tu sais que c'étais votre "patron" qui s'en est pris aux personnes qui ont disparues, que Maddox s'est chargé de ce dernier sans que tu puisses en être au courant sauf que évidemment même si tu as su ce que l'homme dont tu es amoureuses avais fais, tu n'allais pas t'imposer en rien. Bien sûr tu as accepté l'invitation de rendes visite à Vincenzo, sauf que jamais tu n'allais mentionner le fait qu'un pauvre crétin s'en est pris à de nombreuses personnes en ville. Sauf que t'as toujours été quelqu'un qui adore montrer que tu as du charme envers la gente masculine, rien qu'en plongeant tes océans dans ceux du beau brun, t'es au courant qu'il ne pourrait pas résister bien longtemps. Oh vraiment... dommage, j'aurais bien recommencer ce qu'on a commencer toi et moi. souffles-tu sans le quitter du regard, remontant ta main jusqu'à sa nuque que tu caresses du bout des doigts, sans retirer ton corps à l'extrémité du sien. Tu sentais très bien le regard de Vincenzo qui se positionnait contre ton décolleté, ouvert à souhait et tu ne peux t'empêcher de sourire amusé, pinçant ta lippe inférieure. Tu pousses un rire, disons qu'il avait raison car tu n'as pas confiance en personne, sauf les personnes qui pouvaient te donner allégeance, qui n'allaient pas te faire du mal car dans un sens tu n'as pas la langue dans ta poche. Je suis vraiment triste, je croyais que t'avais confiance en moi De Luca. souffles-tu avec ce même petit sourire, gardant ton corps près du sien mais surtout ton visage près du chef de la mafia. Tu gardais tes lippes non loin des siennes avant de glisser tes lèvres sur son cou tout en remontant lentement vers son oreille, ce même sourire amusé sur ton visage. Il pensait tellement que vous aviez fait ce genre de chose sauf que même s'il allait te torturer, tu n'allais pas céder sous la pression et Maddox ne va sans doute pas aimer. Tes doigts caressaient doucement son torse du bout des doigts, tu souffles quelques mots dans le creux de son lobe. Pourquoi crois-tu que c'est nous qui auraient fait ça... pourtant, nous avons quand même un coeur, jamais nous n'aurons fait un truc pareil. tu le faisais reculer jusqu'à le plaquer au mur, toi qui plonges tes océans dans les siens. @vincenzo de luca

Tu ne laisseras pas le Cartel s’en sortir comme ça. Ils sont dans ton collimateur ! Tu es sûr qu’ils sont responsables de ce qu’il se passe en ville. S’ils étaient un minimum malin, ils auraient fait en sorte de faire disparaître certains des leurs pour éviter d’éveiller les soupçons sur eux. Mais on ne pouvait pas trop demander à des trafiquants de drogue. Ils avaient sûrement le cerveau déjà bien bousillé avec toutes les substances qu’ils inhalaient toute la journée. A cause de cette erreur, ils étaient les parfaits coupables. Ça plus le fait que les victimes ont entendu parler espagnol autour d’eux, il n’y avait plus aucun doute.

« Dommage pour toi en effet » Depuis que vous vous connaissez, vous avez cette tendance à flirter. Tu aimais ce petit jeu ! Ça t’amusais, ça t’excitait même, mais tu devais rester professionnel et garder à l’esprit qu’elle était membre de ceux qui s’en étaient pris à ta famille. Peut-être même qu’elle avait participé à ces kidnappings. Peut-être qu’elle avait fait du mal à ta sœur ou ton frère personnellement. « La confiance ça se gagne ma jolie » Tu la laisses faire glisser ses lèvres contre la peau de ton cou puis de ton oreille alors qu’un frisson d’excitation parcours ton dos. Elle avait beau être ton ennemie, tu restais un homme avec des envies. Cependant elle n’avait rien gagné. Tu reculais, poussé par la brune, jusqu’à être plaqué contre le mur derrière toi. Un sourire en coin amusé s’affiche à nouveau sur ton visage. De ta main valide, tu attrapes son cou et tu échanges vos places d’un geste rapide et un peu brusque à la fois. C’est elle qui se retrouve plaqué dos au mur, son cou sous l’emprise de ta main. Tu mets une légère pression. Pas assez pour lui faire manquer d’air, mais juste assez pour qu’elle sente la prise. A ton tour tu murmures ta réponse au creux de son oreille « Un cœur ? J’ai des doutes sur ce que tu affirmes ma belle » Sur ces mots, tu fais glisser ta main blessée sur le dessus de sa poitrine, là où tu pouvais sentir son cœur battre, mais tu lui affirmes le contraire. « Je ne sens rien, si ce n’est peut-être un cœur de pierre qui serait assez bête pour s’en prendre à ma famille » Tes yeux son plongé dans les siens, ton corps est presque contre le sien et tes doigts entourent toujours sa gorge en serrant un peu plus fort, alors que tu lui offre un de tes fameux sourire.


@Adriana muñoz

T'as jamais toucher à de la drogue bien que tu fais partie du cartel de la drogue, en fait t'aimes bien vendre ces choses qui sont totalement importantes pour les dépendants de tout ça. Par contre t'aimes bien prouver que personne n'allait pouvoir te faire du mal, Vincenzo sait très bien que t'es pas du genre à baisser les bras aussi facilement et tu jouais toujours envers lui avec ce même petit sourire sur tes lippes. Tandis que tu restes un peu en face du beau brun, tu avais ce même petit sourire avant de te rapprocher de lui sans le quitter du regard. C'est un petit jeu qui se déroule avec Vincenzo qui faisait quand même partie de la mafia mais ça ne t'as jamais vraiment arrêter. Maddox n'aimerait aucunement pas que tu sois aussi proche d'un homme comme tu l'es en ce moment sauf que tu t'en fiches vraiment, alors tu gardes ce même petit sourire sur tes lippes sans le quitter du regard. Tes lippes viennent à parcourir lentement son cou pour remonter d'une manière sensuelle jusqu'à son oreille. Je sais que t'as confiance en moi De Luca, ne dit pas le contraire. venant à le faire reculer jusqu'au mur le plus près, tu sais très bien que ses hommes sont non loin à regarder ce petit spectacle mais tu t'en fiches vraiment. Sauf qu'en peu de temps voilà que les rôles venaient à s'inverser et tu ne peux t'empêcher d'avoir ce même sourire amusé, sa main positionnée contre ton cou qui se presse un peu plus mais sans t'étouffer. Tu laisses la main de Vincenzo qui se positionne contre ta poitrine, contre ton coeur et ce sans que tu le quittes du regard. Hm, il ne bat que quand t'oses poser tes mains sur moi. Sauf que quand il venait à presser un peu sa main autour de ton cou, t'en profites pour le déstabiliser pour poser ta main a toi contre son entre jambe par dessus son pantalon, venant à déboutonner ton pantalon puisque oui tu sais que tu lui faisais de l'effet. Tu veux jouer à ce petit jeu avec moi c'est ça... j'aime quand c'est sauvage. @vincenzo de luca