'Arrêtes de parler' ouais c etait définitivement une phrase dont il avait horreur ! Pourtant, on la lui répétait souvent, trop peut-être. Mais cette fois tu décides d'écouter et de la fermer un moment. En fait, c'est surtout parce que ça puise dans tes forces déjà trop faibles. Tu te tais et tu essayes simplement de ne pas te rendormir. Tu te concentrais sur les balles en te disant que tant que ça détonnait, ton père était vivant. Malgré tout, tes paupières sont lourdes et tu peines à rester éveillé. Mais l alcool que Moira te mis sur ta plaie ouverte et infectée te réveilla comme si tu venais d avoir une décharge électrique. Tu grognes sous la douleur"en général .. c .. est le prince qui .. sauve la princesse" t excquisse ce que tu penses être un sourire, mais qui ressemble plutôt à une grimace. "et j ai...même pas tes pizzas" tu la laisse prendre soin de toi. C'était adorable de sa part. Mais tu remarques que les coups de feu ont cessé et ça, c est pas bon. Tu veux faire quelque chose, mais avant de penser à quoi que ce soit, la porte tombe et tu vois Nazzar couvert de sang. La ton cœur s emballe pendant qu il était gravement blessé "faut .. le soigner" et la tu perds connaissance. Le stress avait eu raison de toi. Ton corps n avait plus assez d energie pour supporter cette pression en plus.

Tu regardes ton fils, puis Moïra. La faible voix de Vince te vient aux oreilles et tu le vois tomber inconsient. Tout semble s'effondrer à ce moment là. Tu te regardes et tu vois le sang dégouliner. Ton coeur se serre. En vitesse tu retires le veston, la chemise et la camisolle. Tu fouilles dans le sac pour atrapper le t-shirt que tu y avais fourré. Tu prends ensuite la veste. Tu te jettes sur Vince une seringue à la main. « Allez petit chef... Je te l'ai dit, si tu crève, je crève aussi. » Tu te tournes vers Moïra qui n'a pas bouger et tu regardes à travers la porte ou il y a le carnage. Tu pousses un soupire avant d'enfoncer l'adrénaline, directement dans le coeur de ton fils. Ça l'aidera à tenir le coup au moins... Tu te tournes ensuite vers Moïra pour enfouir sa tête dans ton épaule. « Regardes pas. » Tu baisses les yeux vers Vincenzo et tu attends une réaction.