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 say something i'm giving up on you - juniper/vince/kaj


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Silas Moretti

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MessageSujet: say something i'm giving up on you - juniper/vince/kaj   say something i'm giving up on you - juniper/vince/kaj Empty2020-09-14, 17:48




J'ai le cœur et la tête en vrac. Je ne sais plus vraiment ou j'en suis, qui je suis ? Tout ce qu'on m'a raconté c'est des foutus mensonges. J'ai une vie qui n'est pas la mienne, rien n'est à moi. Tout ce en quoi je croyais à disparu. Je ne sais plus ce que je suis sensé faire. Je sort seulement pour bosser, je ne veux pas perdre mon job, mais j'y vais à chaque fois à moitié soul, parce que je n'ai pas décuvé de la veille. Trois jours que je bois sans arrêt dans l'espoir d'oublier toute cette merde. Juniper n'est pas rentrée depuis qu'on s'est galoché. Quel con. Je devrais faire comme Vince et me contenter de cul, c'est finalement ce que j'ai fait avant hier. J'ai été prendre mon pied, avec une nana que je n'ai jamais vu. Comme la fois où je suis arrivé ici. Elle n'a pas posé de questions, elle m'a dit qu'elle avait envie alors finalement on a baisé. J'ai pris mon pied, c'est vrai, mais ce n'était pas non plus le meilleur de ma vie. Je suis rentré après le travail, il doit être sept heures du matin. J'ai la tête dans le cul, je termine ma clope et l'écrase dans le cendrier avec de finir le reste de tequila que j'ai entamé hier. Je regarde ce qu'il me reste comme bouteille, plus grand chose, comme le reste du frigo tout est vide. Il reste un fond de repas chinois sur la table, je ne me suis pas fait chier à cuisiner j'ai commandé hier soir. Je n'ai pas faim. J'ai soif. Je n'en ai sans doute pas eu assez. Je n'ai pas assez oublié alors je bois la bouteille et entame la dernière bouteille que j'ai, du rhum blanc. J'ai nettoyé les traces de sang, mais il y en a encore un peu. Je m'endors sur le canapé et je me réveil un peu avant dix huit heure. Je passe ma main sur mon visage, je grimace parce que j'ai encore mal quand on bras blessé est solicité. J'envoie des messages à Juniper et je m'énerve un peu. Je lui envoie un message vocal et d'autre messages sortis de nulle part. Jelaisse mon téléphone sur la table basse et je me dirige vers la chambre, je pars me changer, seulement j'ai trop bu, tout tourne autour de moi. Je ne me sens pas bien. J'ai le cœur qui me serre, j'ai la bouteille dans ma main, il n'en reste plus grand chose, je la lâche, sentant que je fais un malaise et mon téléphone et trop loin pour que je prévienne quelque, de toute manière je suis déjà inconscient à terre, je gis là entre la porte de la chambre et le salon, je ne sens pas tellement que je suis tombé sur mon bras déjà blessé. Je n'irai pas travaillé ce soir, que je le veuille ou non.


Dernière édition par Silas Moretti le 2020-09-22, 12:44, édité 2 fois
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Juniper Richards

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MessageSujet: Re: say something i'm giving up on you - juniper/vince/kaj   say something i'm giving up on you - juniper/vince/kaj Empty2020-09-14, 20:35

C'était la cinquième fois au moins que je lisais nos échanges.
Un truc dont je n'ai pas l'habitude de faire. Peut-être que la responsabilité me pesait lourd sur les épaules alors que mes pensées se tournaient toujours vers lui. Ça n'aurait pas dû me faire aussi mal. Il ne pas m'intéresser à lui m'était impossible. Je me pose activement la question de ce lancement. Au fond de moi, il a ce besoin de savoir chaque fois. Ce désire irréprochable de connaitre la vérité. Ce qui fuyait. La sueur me dégoulinait sur le visage, je m'efforçais de contrôler ma respiration. Je me trouvais une position inconfortable, collée à un mur de béton. Le parquet ciré me rappelant que la clim est fonctionnelle. Je plisse mes jambes devant moi et ferme les paupières. Mon front vient toucher mes genoux et la sueur s'évanouit sur ma peau. J'inspire et expire longuement, prenant conscience de la chance que j'ai. Mon patron n'est pas un salopard de première. Son assistante est une amie à moi. Une femme que je connais depuis des années. Sauf que je supporte mal la pression. J'avais dansé sans retenues sorties comme escorte pour oublier ma douleur. L'épuisement sentimental est présent. Je venais de terminer mon quart au club. J'étais morte non épuisée par l'intensité de la demande. Peut-être que mon apparence est trompeuse. Est-ce que l'image de la soumission est si payante ? Une goutte de transpiration me chatouille quand elle glisse au centre de ma poitrine. Je respire difficilement. L'air contenu dans mes poumons se rend difficilement à son bout. Les jours qui se sont écoulés ont été intenses. J'avais peu dormir. Trop occuper à côtoyer des hommes. Jounant le rôle de compagne en échange de quelques billets pour ma firme. Rien n'avait mieux été. Je fermai les yeux dans la tentative d'arrêter les tremblements de mon corps. Si je respirais top fort ou bougeais ne serait que d'un pouce, je craignais de tomber au sol. Je ne suis pas forte pas lorsqu'il s'agit de lui. Nous étions des inconnus. Deux personnes s'échangeant des lettres. Un prisonnier et une femme cherchant à détourner de son ancienne vie.Je voulais une oreille à qui parler et j'avais obtenu un correspondant. Un ami à devenir. J'ouvris les yeux en observant le plafond du vestiaire. Mes doigts viennent se glisser sur mes lèvres. Punaise qu'est-ce que j'avais fais. J'attendis les bruits de pas. Un claquement venant vers moi. Ma collègue ce pli sur elle même. Un doux sourire se dessinant sur son visage enfantin.Elle me dit de rentrer. Qu’elle allait prendre le restant de mon chiffre. Avais-je l'air si épuisée? Je me soulève doucement avec cette pression à la poitrine. Trois jours de perdus. Avait-il trouvé compagnie dans les bras d'une autre ? Avait-il encore joué avec sa vie pour oublier, non. Peut-on être jalouse d'un homme dont notre relation s'arrête à l'amitié ? C'est la seule question qui me turlupine. Celle de la jalousie. J'imagine le pire. Je me change. Délaisse cette culotte dégoutante et ce soutif trop brillant pour mes yeux. Je m'habille, enfilant mon string, un soutif de coton noir, un jean et un haut en manche longue noir. J'attache mes cheveux rapidement en queue de cheval et prends le large. J'attrape mon portable et parcours les messages. Tien !Il m'avait écrit. Je réponds. Il est tôt ! Trop tôt pour que l'alcool se mélange à son sang. Je glisse l'appareil dans ma poche arrière pour m'allumer une clope. Cachant le bout de la flamme avec ma main et la cigarette, entre mes lèvres. Je commence à marcher en répondant à cet idiot. Je ne comprends pas toujours. Et, si je rentrais ? Je dois me détacher de lui pourtant ma tête ne cesse de me remémorer nos bons souvenirs.Cette haine n'était pas pour lui, mais pour moi. J'ai peur d'être aimée.Je ne mérite aucunement ce sentiment. Je suis un déchet, une femme souillée par les mains des hommes. J'avais aimé une fois. Il m'avait manipulée. Il m'avait tout promis et je m'étais laissé enjôler. Mon corps ne m'avait plus appartenu. Il était le sien. Un objet sexuel qu'on revend au plus offrant et qu'on récupère quand la semence coule entre les cuisses ou sur sa peau nue. Je soupire en arrivant devant les portes de l'autobus ouvertes.Je m'assois loin des gens. Sentant leurs regards sur moi. Je me cache. Cache ce visage peiné. Je sors de mon sac mes écouteurs et commence à écouter : Say Something de A Great Big World. Ma tête se dépose contre la fenêtre et mes yeux se ferment. Mes paupières refermer, mon sac se serrent contre moi et je m'évade de cet univers que je déteste. En général, les danseuses ne font pas de cadeau à leurs compagnons. Rares sont les mecs approuvant un métier de débauche. Rapidement, je me suis mise à l'écart. Ignorant tous les aventures et mes partenaires. Devenant une caricature. Une femme sans lendemain. Pourtant, Silas es ancré dans ma mémoire. Il m'obsède. Rien de bien compliqué, je suis amoureuse et je refuse d'y croire. Je m'en fiche d'être seule, je dois gagner ce combat. Ce désire alarmant de posséder cet homme pour moi. Qu'il m'appartient et que je lui appartienne. Il paraît que quand on veut, on peut. Mais lorsque l'on commence sa nouvelle vie avec un coup de foudre, il y a que la force qui pourrait me sauver. Le laisser derrière moi serait plus difficile que prévu. J'ouvris les yeux en regardant les numéros de station. C'était ma prochaine. Je lève le bras et tire sur le fil jaune. La lumière s'allume et je me lève. J'avais perdu mon innocence dans une chambre de motel avec un homme plus vieux. Bien trop vieux pour une adolescente. On est avec un pour que les autres nous laissent tranquille me disait mes amis. Moi, je voulais vivre une romance digne d'un conte de fées. J'avais opté pour le pire. Un caïd redoutable et redouté. À seize ans, on ne m'appelait plus par mon prénom. J'étais la salope du lycée. Une pute courant après les sugar daddy. Pourtant, il m'avait détournée d'une route toute tracer. J'étais si facile à manipuler. Le trafic humain ou la prostitution involontaire m'avait prise de force. Baisse ta culotte ou je tue ta famille. Je n'arrivais pas à y croire... La facilité qu'un manipulateur peut avoir. Tous les efforts de mes parents et mon entourage n'avaient été en vain. Ils ont perçu ma chute.

En dépit de cette étape perturbante. Anna a tout fait pour que je vive de nouveau correctement. Ma fascination envers Silas n'avait apparu que lorsque je l'avais visité en prison. J'étais encore plus fascinée par le un mètre quatre-vingt-deux de solidité mâle qui avait eu la courtoisie de répondre à mes lettres. Il était, comment dire, séduisant. Sexy à vous faire tourner la tête. Du genre à accélérer votre rythme cardiaque. Ou à vous laisser perturber par sa voix. Cet accent qui prenait alors que l'italien franchissait ses lèvres. Il vous laisse la bouche sèche. D'accord ! Il n'a rien d'un personnage d'un roman érotique. Vous savez la carrure de dieu et la barbe. Sauf qu'il avait ce petit, je ne sais quoi. J'avais été bouche bée en le voyant la première fois. Venir à sa sortis de prison avait empirer la situation. Je me battais avec moi-même. Je ne peux plus penser combien de fois ma main à glisser le long de mon ventre pour rejoindre mon intimité en rêvant de ses doigts. Ce sourire enfantin qu'il affichait ou celui de la provocation... Ses yeux m'avaient tétanisée d'un coup. Ce mec, c'était du sexe, il n'était pas seulement sexy ou canon. C'était un orgasme visuel. L'acte en soi. Je soupire en posant pied contre le trottoir. Je savais que l'un des appartements devant moi allait me blesser. Il fallait que je le quitte. Je m'étais trop attachée à lui. Il croit être dangereux...je le suis. J'ai pris l'habitude de me focaliser sur un détail, un but et de ne plus voir ce qui m'entoure. Et je ne m'explique pas pourquoi, ce soir j'en suis incapable. Comme plusieurs jours. Une sensation de brûlure me traverse. Je recule d'un pas voulant fuir. Déguerpir loin de chez lui, mais j'avance. Un pied à la fois. Glissant ma clef, montant les marches et insérant la clef dans la serrure de l'appartement. Je pose la main sur la porte et la pousse. Mon regard est perturbé. Mon pied cogne une bouteille. Il avait bu. L'odeur des joints accumuler était le nouveau parfum du lieu. J'avance froidement. Faisant mine de ne rien fixer. J'approche de la chambre pour faire mes valises. Il est là ! Étendu au sol. Je m'approche de lui. La panique me traverse l'esprit, mais je reste de marbre. Il avait cherché cette situation déplaisante. "Hey ! Silas réveille !'' Je tente de l'interpeller d'une voix calme. Je dépose mon majeur et mon index contre sa nuque. Son battement est lent, mais normal. Je m'approche de lui et le gifle. "Réveille gamin ! Tu ne me laisses pas !" Mon pied pousse sa bouteille de sa main. Je passe par dessus et glisse mes bras sous ses épaules en le trainant vers le lit. Je retire mon sac à main en le déposant au sol. Je reprends ma position et tente de le lever, mais sa lourdeur est trop pour ma personne. Je le laisse là. "Hey ! Gamin ! Tu commences à me faire peur.'' Allait-il me faire un coma éthylique. L'alcool n'est jamais un bon ami. Je me place derrière lui. Entre le lit et sa personne. Je m'assois au sol et soulève sa tête pour le déposer sur mes jambes. ''Allez...'' Je prends mon portable et contacte une amie qui étudie en médecine. Elle m'avise d'appeler les urgences. Sauf que j'allais devoir payer. Je n'ai pas les moyens de payer ses frais. '' Arrête de jouer ! Il mio cuore è tuo...'' Les mots que j'avais appris. Quelques choses que je voulais dire en italien. J'avais appris un peu. Merci, les immigrantes clandestines au club. Mon coeur est à toi. Je m'accote le front contre le sien. ''Je suis là. Réveille.'' La panique me traverse. Il respire lentement, mais il respire. Seigneur ! Si, nous étions au Canada, il n'aurait pas eu les coûts monstrueux. Merci, Trump qui as retiré le Obama Care. Ma vision se brouille. ''Tu es un idiot gamin.'' Je prends mon téléphone de nouveau et appuie sur le 9-1-1. Premier coup, second coup et troisième. "Oui...mon ami ne va pas bien...Non, il respire. Son pouls est lent, mais là...oui...Juniper Richards...Lui ? Silas Moretti, 23 ans. Je crois l'alcool et la drogue...Over quoi? Non, il est intoxiqué depuis trois jours, je crois....L'adresse...'' Je bloque. J'ai peur. Je n'aime pas les ambulanciers ni la police. Je sens mon corps vibrer sous la peur. Merde...Je suis plus capable de répondre. Elle m'interpelle. Elle veut l'adresse pour envoyer les secours. Je ne la connais pas. Je l'ignore. Je connais mon trajet de bus parce qu'il me l'avait montré, mais pas plus. Je glisse mes jambes de sous sa tête. La déposante sur mon sac à main et marche à quatre pattes vers ses poches. Ma main glisse, cherchant son porte-monnaie. ''Fuck ! Silas ! Tu l'as mis où...''Je crie presque. Ma voix vibre sous l'émotion.
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Silas Moretti

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MessageSujet: Re: say something i'm giving up on you - juniper/vince/kaj   say something i'm giving up on you - juniper/vince/kaj Empty2020-09-15, 05:55

Je n'ai pas entendu Juniper rentrée, inconscient à ce moment là. La gifle me stimule un peu, je ne sais plus où je suis, ni ce que j'ai fait, ni pourquoi. Je sens la douleur lancinante dans mon bras attelé, j'ai sans doute du le casser de nouveau en tombant dessus, pas de chance. Je l’entends dire des mots en italien que je comprends et que j'aurais sûrement apprécié si je n'étais pas dans cet état d'inconscience. Je l'entends composer un numéro et sans doute que je comprends plus ou moins inconsciemment qu'elle appelle les urgences. J'ouvre les yeux, un peu paniqué, je fais non de la tête, mon bras valide prend son téléphone qu'elle a laissé là et je me rend à peine compte de ce que je fais, je le balance contre le mur, avant d'avoir un nouveau vertige et d'avoir des convulsions, de perdre de nouveau conscience. Je lui ai parlé de Violet elle devrait la contacter, si je pouvais je lui dirais. Mais je ne peux pas. On est tous seul, ici dans cet appartement miteux. Je n'aurais jamais du venir ici, jamais je n'aurais du m'attacher à elle. Je n'aurais pas dû venir le voir en vrai après ma sortie de prison, je ne suis pas venu tout de suite, j'ai attendu un peu. Elle était venu me voir en prison et chaque fois que je devais aller au parloir j'espérais que ça soit elle, quand c'était mon père, j'étais déçu de ne pas la voir. Elle était la seule personne qui m'était un peu de joie dans ma vie, durant les deux dernières années que j'ai passé-là. J'ai eu de la chance qu'elle soit là, j'aurais pu abandonner, j'aurais pu laisser tomber et me laisser faire. Je me suis toujours défendu quand j'étais agressé à cause de mon père ou à cause de choses que j'avais faite avant, ou encore simplement parce qu'ils étaient dingue. La peur ne me quittait jamais. L'envie de la voir non plus, alors j'ai tenu tout ce temps grâce à elle. Elle était là, même si elle était loin, j'avais ses lettres sous mon oreillers, un jour je m'en suis à celui qui partageait ma cellule parce qu'il avait eu le malheur de trouver les lettres, qu'il avait vu sa photo et qu'il s'était permis de l'insulter et de me provoquer. Je lui ai défoncé la tronche. Je suis rapidement tombé amoureux d'elle et je ne pensais pas qu'on pouvait tomber amoureux aussi vite. Je ne l'avais jamais vraiment été jusque là. Alors quand elle m'a envoyé ses messages l'autre jour, j'ai eu l'impression que mon petit monde s'écroulait, que mes petites illusions s'effondrait comme un château de carte. Ça et la mort de mon père ne m'a pas aidé à y voir clair. Je ne sais pas à qui j'en veux le plus, à elle de m'avoir friendzoné, ou à Jorge qui m'a menti toute ma vie ? A Kaj qui a foutu le bordel dans ma vie et qui a tué Jorge alors que je lui avais demandé de ne pas le faire. Il n'a pas écouté, comme mon père, il n'écoutait pas. Je m'en veux à moi aussi d'avoir été aussi con, d'avoir fouiné alors qu'on me demandait rien. Je voulais savoir, je sais maintenant et la vérité fais bien plus mal que le mensonge. Je suis beaucoup trop idéaliste. Je le sais. J'ai beau être dans la mafia j'ai toujours gardé espoir qu'un jour les choses s'arrangeraient, qu'on faisait ça pour la bonne cause plus ou moins. Je me suis toujours trouvé des excuses pour justifier mes choix et finalement ce n'est que des putains de mensonges, des conneries qui me servent juste à faire ce qu'on me demande, à faire que je ne pose pas trop de questions, même si j'en pose malgré moi, parce que je suis comme ça, j'ai besoin de savoir la vérité, c'est paradoxale quand on travail dans une vie de mensonge, qu'on travail pour la mafia, tout le monde sait très bien que le mensonge est roi. C'est la loi de l'omerta qui prime, on ferme sa gueule quand on sait qu'on mens, quand on en sait trop, on ne dit rien pour protéger l'équipe, tu parles d'une équipe et pourtant c'est ma famille. Je n'ai connu que ça. Je ne peux pas réellement leur en vouloir. Je ne peux m'en prendre qu'à moi même comme d'habitude. C'est ma faute. J'ai merdé.
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MessageSujet: Re: say something i'm giving up on you - juniper/vince/kaj   say something i'm giving up on you - juniper/vince/kaj Empty2020-09-15, 07:01

Ce matin, après trois jours de désespoir, avec la sensation permanente que mon coeur allait s'arrêter de battre, parce que le sentiment de culpabilité me couple le souffle. Me privant de toute soif d'avancer. La colère est parme, salvatrice, mais tout aussi destructrice. Je me sentais mal dans cette peau qui me recouvre. J'ai honte de mon comportement immature. Il n'a rien de mal de se laisser emporter par les émotions sauf quand il s'agit d'aimer. J'ai joué mal. Il a été largué sans explication avant toutes histoires. Mise au placard dont la plaque annonce friendzone. Ce n'était pas pour lui. Je le protégeais de moi. À l'intérieur de moi, le faible équilibre raisonnable . Mon état mental est à discuter. J'ai besoin d'aide. Une aide refuser de nombreuse fois. Ma nièce ne cesse de me comparer à Harley Quinn. Aussi timbrer qu'elle. Keslei n'a pas tort. Elle a tristement raison. Dans ce cerveau, il n'a pas de limite du raisonnable. Il y a quelques choses de déconcertant qui se laisse transparaître en moi. Quelque chose que je n'avais pas prévu. Et qui attise mon subconscient, contre toute attente. Évidemment, Silas ne pouvais pas voir ce déséquilibre. À moins, qu'il l'a tout simplement ignoré. Je le vois bouger. Sursautant rapidement. Mes yeux s'emplissent de larmes, et je retiens un sanglot. Je suis épuisée par mes heures. Plus de vingt-heures par jour soit soixante heures en trois jours. La fatigue me dévore de l'intérieur. Elle me fait suffoquer, et je me retiens pour ne pas hurler. J'ai la sensation qu'en plus de m'avoir arraché le coeur pour le garder auprès de lui, on m'a retiré une partie de mon cerveau. Celle qui m'aurait dit de le laisser mourir sur le sol. Il était mon centre de l'univers que je le souhaite ou pas. Mon ego en prend un sacré coup. Je ne lui appartenais pas, mon corps et mon âme sont à moi. Pourtant, il aurait pu tout obtenir en un claquement de doigts. Moi, qui s'est attichée d'un jeune venant de sortir de l'adolescence. Un gamin de vingt-trois. Adieu mon ancien écart de vingt-cinq avec mon défunt partenaire. J'étais encore après chercher son porte-monnaie afin de trouver une façon de donner l'adresse à la dame du centre d'appel. Je suis certaine que son permis de conduire offre toute l'information désirer. Je lève la tête et manque de peu d'avoir mon téléphone en pleine figure. Je le vois voler devant mes yeux pour terminer contre le mur. Je tourne la tête en serrant mes lèvres pour ne pas crier. "Espère de sac à merde !" J'ai envie de glisser mes deux mains autour de sa nuque. Que mes doigts s'écrasent contre sa peau et se resserrent. Qu'il lui retire son dernier souffle. Je me retiens. Mes mains déposer au sol viennent sur mes genoux. Je frappe sur mon os. Fermement. Ma peau sera marquée d'une tache mauve. Mon alter ego me crie de lui prendre sa vie. Que je serais libérée de cet attachement qui m'étouffe. Je m'étais pourtant promis d'ignorer tout lien. Une liaison d'un soir pas plus. Des clients me louant et rien d'autre. Sauf que ce jeune con avait apparu dans ma vie. Seigneur, je n’aurais jamais dû lui écrire. Je le regarde inconsciente au sol. Il venait de tomber au sol. Son corps est en convulsion. Mes alarmes sonnent. Je me lève et le laisse là. Marchand vers le salon. Poussant les bouteilles de bière au sol. Je parcours du regard le lieu pour trouver cet appareil que j'aperçois sur la table basse. Je l'attrape et retourne vers cet imbécile. "Idiot..." Je glisse mon doigt et à ma grande surprise pas de code. "Génial ! " Dis-je. Je respire fortement et contacte la première personne qui est affichée. J'envoie un court message: Bonsoir, je m'excuse de vous déranger. Je me trouve chez Silas qui est inconscient au sol. Il m'a demandé de vous contacter dans un moment de lucidité. Je crois que le gamin fait une intoxication à l'alcool.... Je reste là en le maudissant intérieurement. Punaise que je vais lui faire regretter sa petite vie à ce con ! Je continue en répondant. Je ne connais pas ce Vince. Je pourrais regarder encore d'autre personne, mais le nombre de messages avec lui est un signe évident. C'est pas bonne personne. Je me rappelle qu'il avait ce Kaj. "Je devrais peut-être contacter ce Kaj et non Vince...." Je me mords les lèvres. C'est une mauvaise idée, je crois.
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MessageSujet: Re: say something i'm giving up on you - juniper/vince/kaj   say something i'm giving up on you - juniper/vince/kaj Empty2020-09-15, 12:46

J'ai balancé son téléphone dans un moment de lucidité, du moins semi-lucidité. C'était peut-être plus inconscient qu'autre chose. L'inconscient peut faire tellement de chose, sans qu'on s'en rende compte. Je ne veux pas qu'elle appelle les urgences, j'ai balancé son téléphone avant de perdre connaissance. Mes pensées voguent dans mes souvenirs. La première fois que j'ai reçu sa lettre, je m'en souviendrait toujours. On nous a demandé de participer à des atelier d'écriture et d'échanges, je m'ennuyais et je me suis dis pourquoi pas. On m'a donné sa lettre, ça aurait pu être une autre, ça aurait pu être quelqu'un d'autre, mais je suis tombé sur elle, appelez ça le destin, appeler ça comme vous voudrez. Je suis tombé sur elle et j'ai retrouvé espoir. Je me suis accroché et ses lettres comme à une bouteille à la mer. Je voulais sortir de là, peut-être pour la voir et j'ai fini par venir parce que je cherchais mes origines. Je les ai trouvé. J'aurais dû arrêter de fouiller quand il était temps, mais je n'en fais qu'à maintenant et maintenant j'en suis là, nul part, ivre mort, j'ai noyé ma peine dans une bouteille, plusieurs en fait. Ça ne m'a pas réussis, ça ne réussis à personne. Qu'est-ce que j'ai fait ? N'importe quoi comme toujours quand je suis perdu. Je bois, je pense que j'oublierais. Je n'oublie pas mais je passe à autre, mais trop de choses ont étés cumulés trop d'émotions. Je ne suis pas quelqu'un qui m'épanche beaucoup, je garde tout pour moi et ça pète à un moment ou un autre. J'ai refoulé tout ça en buvant, résultat je suis toujours allongé sur le sol. Elle m'a rapproché du lit. Je commence à convulser, parce que j'ai trop bu, parce que mon corps me dit merde et il le dit violemment pendant que mes souvenirs continuent de passer dans ma tête. Tous les moments qu'on a passé ensemble jusqu'à maintenant je les vois, je ne veux pas partir maintenant. Je veux rester avec elle.
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Vincenzo De Luca

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MessageSujet: Re: say something i'm giving up on you - juniper/vince/kaj   say something i'm giving up on you - juniper/vince/kaj Empty2020-09-18, 09:53


Ça commençait à bien faire tout ça. D’abord des trahisons dans tes rangs, maintenant l’un deux fait ses affaires seul sous la couverture de la Mafia, ensuite ce dernier se fait probablement tuer par Kaj et maintenant cet idiot de gamin se met dans des états lamentables et c’est toi qui doit aller le chercher ?! Il a un père et ce n’est pas toi ! Mais c’est l’un des tiens malgré tout et tu n’allais pas le laisser crever comme ça. Enfin, tu ne sais même pas ce qui arrive. Si ça se trouve c’est une blague qu’il te fait et si c’est le cas, tu lui dirais deux mots. Habituellement tu aurais pu plaisanter de ce genre de connerie, mais ces derniers temps tu n’avais pas le cœur à rire. Loin de là. T’était sur les nerfs, t’étais irrité par tout et par tout le monde. Tu avais trop d’emmerdes à gérer et tu devais l’avouer, tu avais du mal à tenir le coup. Tu ne sais plus depuis quand tu n’as pas dormi un vraie nuit. Tu passais ton temps à droit à gauche à enquêter, à faire tes affaires, à résoudre des problèmes, à fricoter avec le Cartel,… T’étais débordé et Silas ne t’aidait en rien aujourd’hui.

Dans ta voiture, tu fonces à l’adresse mentionnée par cette Juniper qui avait pris contact avec toi. Qui était-elle pour lui ? T’en sais rien et ça ne te regarde pas. Tout ce qui t’importe c’est d’aller voir comme Silas va et de pouvoir retourner à tes affaires ensuite. Tu gares ta Chevrolet au bord de la route et tu veilles à bien la fermer à clé avant de te diriger vers le bâtiment. Tu pressais le pas et positionné devant la porte, tu frappes et attends à ce que quelqu’un vienne t’ouvrir. T’attends, mais personne ne vient t’ouvrir. « Désolé pour les bonnes manières, mais on ne me fait pas attendre ! » Tu essayes d’ouvrir la porte et par chance elle est ouverte. « Silas ?! » Tu pénètres dans l’immeuble et tu te diriges vers les bruits que tu entends. Tu arrives alors dans la chambre et tu le vois là, en train de convulser à côté de cette fille qui semblait paniquée. « merda ! » Tu t’approches rapidement de lui et tu le fait tourner sur le côté, le maintenant comme tu avais déjà vu faire par des médecins. « Depuis quand il est comme ça ?! »
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Kaj Wick

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MessageSujet: Re: say something i'm giving up on you - juniper/vince/kaj   say something i'm giving up on you - juniper/vince/kaj Empty2020-09-22, 13:38

Il t'avait suffit d'un message pour que tu sois déjà dans ta voiture. Tu étais à la recherche de Sullen depuis quelques heures dans ta journée. Ton fils n'allait pas bien et tu n'es pas stupide. Tu sais bien que tu es responsable de cet état. Silas... Nilas... Quel ironie... Ce n'était qu'une lettre. Tu aurais du retrouver sa trace il y a bien longtemps. Il a fallut que ça prenne vingt-trois ans avant que tu puisses croiser son regard... Il était là... À proximité... Tu ne pouvais pas rester à distance pour autant. S'il avait besoin de toi, peu importe ou tu étais tu irais et c'est bien ce que tu fais. Tu as traversé la ville pour le rejoindre. Tu as traversé la ville jusqu'à cet appartement que tu connais si bien. En silence, quatre par quatre, tu gravis les marches de l'immeuble jusqu'à la porte de son petit nid.

Tu entres sans prévenir et referme derrière toi. D'un pas silencieux, tu te rends jusqu'à la chambre, les bruits t'y mènent. Tu serres les dents en reconnaissant la silhouette de Vincenzo. C'est pas surprennant. Tu viens poser une main ferme contre son épaule en t'approchant. Tu es d'un calme olympien. Tu le contournes pour croiser le visage de Silas. Ta main se pose en douceur d'en revers et tu viens prendre sa tête pour la soulever. Tu viens t'asseoir sous cette dernière pour la poser sur ta cuisse. Tu glisses une main dans ses cheveux avant de lever les yeux vers ton rival. « garde-le sur le côté, mais ne l'immobilise pas. » Tu tournes la tête vers la brune et tu la reconnais facilement. Tu pousses un soupire, cet air paniquée... « Les convulsions ont commencé quand ? » Ton ton est posé, tu n'as aucune raison de paniquer, tu sais bien ce qui lui arrive. « C'est la première crise ? Ou il y a eu des précédentes ? Depuis quand est-ce qu'il fait de l'épilepsie ? »

@Silas Moretti, @Juniper Richards & @Vincenzo De Luca
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Juniper Richards

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MessageSujet: Re: say something i'm giving up on you - juniper/vince/kaj   say something i'm giving up on you - juniper/vince/kaj Empty2020-09-28, 15:17

Devant moi se présentait une scène d'horreur. Un moment dont mes mains se figent et mes larmes cherchent à descendre contre mes joues rosées. Je ne sais comment réagir et la rapidité du moment me trouble en apportant avec lui, l'état de panique. L'alarme résonne dans mon for intérieur. Ma salive disparait et mon coeur bondit à l'intérieur de ma poitrine. Les derniers mots qui avaient été écrits par le bout de mes doigts ne sont pas des caractères que j'aurais imposés sur un écran textile. La chaleur s'encombre dans ce logis renfermant mon âme. Une voix interpelle l'homme près de moi. Son prénom prononcer au loin. Prise sous la vague émotionnelle des pensés contradictoire, je légèrement la tête pour apercevoir l'inconnu se présenter. Merda ? Mon regard s'agrandit. Mes traits se transforment et le sentiment d'être inutile se fait apercevoir. La tristesse et la peur font briller mes iris verdâtres. Je m'éloigne un peu de Silas. Mes bras se resserrant contre ma poitrine. "Cinq ou dix secondes, je ne sais pas ! J'ai écrit à son père...'' Ma voix se serre. J'ai de la difficulté à articuler par la scène. ''Peut-être une minute !'' Je soupire avec douleur. Est-ce ma faute ? Aurais-je commis quelques choses qu'il ne fallait. Le doute me comble et ma haine personnelle me déchire. J'allais m'approcher, mais un bras brun au visage sévère fait son apparition. Prenant tout en mains. Je l'observe. Les choses vont trop vite. Qui est-il ? Son père ? "Deux minutes, un peu avant qu'il arrive.'' Je ne sais pas qui est qui. Le vieux kaj ? Le jeune Vince ? "Je ne sais pas...Il ne m’a jamais parlé d'épilepsie. Il m'héberge depuis peu. Je ne savais pas ..." Seigneur ! Je vais lui faire la morale ! Il va se faire ramener par la peau du cul sur le sofa et entendre ma voix se hausser pour lui gueuler dessus qu'il aurait dû me prévenir.
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Silas Moretti

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MessageSujet: Re: say something i'm giving up on you - juniper/vince/kaj   say something i'm giving up on you - juniper/vince/kaj Empty2020-11-03, 12:44

Je ne sais pas combien de temps il s'est passé, le temps semble s'être allongé et puis j'ai bu aussi. Pas qu'un petit peu, normal que Juniper crois que je suis là à cause de l'alcool ça pourrait, mais pourtant ce n'est pas la première fois, c'est la deuxième. J'ai déjà eu une crise de ce genre, en prison après qu'on m'ait agressé et que j'ai manqué d'y rester. Je ne le dis à personne, pourquoi est-ce qu'il faudrait en parler? Les convulsions passent rapidement, comme elles sont venus. J'ouvre les yeux et je les vois tous autour de moi. Je suis complètement à l'ouest. Je vois Kaj, Vince et Juniper. Qu'est-ce qu'il vient de se passer là? Pourquoi est-ce qu'ils sont tous là?

"Qu'est-ce qu'il passe ici?"

Ils vont s'entretuer s'ils restent là tous les deux, mais ce n'est pas ce qui m'inquiète le plus. Je ne me sens vaseux, je suis tombé de nouveau sur mon bras, je vais devoir appeler Violet pour lui dire. Ca ne m'enchante pas vraiment. Je sens l'alcool évidement, j'ai la nausée. J'ai du mal à relever, mais ça me touche qu'ils soient là tous les trois, les seuls qui compte à mes yeux, ils sont tous ma famille.
@juniper richards @kaj wick @vincenzo de luca
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