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 frayeur/ Lolita/Alyson

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William Lindemann

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MessageSujet: frayeur/ Lolita/Alyson    frayeur/ Lolita/Alyson  Empty2020-10-25, 12:01

Je suis rentré depuis peu, je regarde les photos que j'ai prise aujourd'hui, l'entreprise que je vise est lié à du trafic d'argent, peut-être du trafic d'arme, je n'en ai pas encore la preuve, mais je sais qu'ils ont des membres de gang dans leur rang. J'ai une série de photos avec des gars pas net, tatoué pour la plupart, le type de gars qu'on aimerait pas approché. Ils m'ont déjà envoyé une lettre de menace, je n'y ai pas fait attention. J'ai l'habitude d'en recevoir, celle ci avait une balle à l'intérieur, ils innovent. Je suis à la maison devant mon ordinateur quad je vois à travers l'écran des gars entrer. Je me tourne, les types de la photo. Ils ont du me suivre. Merde. Je soupire et me lève.

«Faites comme chez vous. Comme ça vous me suivez maintenant ? On fait les présentation ou ce n'est pas nécessaire, parce que j'imagine que vous savez qui je suis, moi en revanche je ne sais toujours pas. C'est votre patron qui vous envoie ? »

J'y vais au culot, comme toujours et je sais que je ne devrais pas mais c'est plus fort que moi. Je suis une tête de nœud. Je n'en fais toujours qu'à ma tête. J'ai prévenu Alyson que j'enquêtais sur cette affaire, cette gamine compte beaucoup pour moi, je l'ai aidé quand elle était en difficulté, elle m'aide sur certaine de mes enquête, elle protège mes arrière, je devais l'attendre, je n'ai pas attendu. Ils sont là maintenant, je fais exprès d'appuyer sur mon téléphone, sur appel parce que je sais que je vais avoir des ennuis et c'est Lolita que j'appelle. Je le laisse dans ma poche. Je les ai un peu énervé. Ils voient les photos sur l'ordinateur et l'un des trois viens prendre mon ordinateur et le fracasse sur table. Je lève les yeux au ciel. Sérieusement ?

«Ne vous gênez pas surtout, vous n'aimez pas être pris en photo, dommage, fallait faire plus attention, vous ne m'avez pas l'air très malin. »

Ils n'ont pas l'air d'apprécier ma petite blague, je le vois à leur tête et le gars qui a l'air d'être le « chef » J'essaie de me sauver, je crois qu'il est grand temps, mais je n'en ai pas le temps. L'un des gars m'attrape et me frappe. J'encaisse le premier coup. Il n'est vraiment pas content et me ramène vers le bureau et sa voix résonne, rude, colérique :

« Tu nous emmerde Lindmann, tu as pas compris que c'était trop important pour toi, on t'avais prévenu. La mort de ta femme ne t'a rien appris ? »

Je serre mon poing et lui en envoie dans l'estomac. Il vient d'avouer, je ne pensais pas qu'il le ferait. C'était bien eux alors. J'avais raison depuis le début. Il évite mon poing et me prend la main, me retourne un doigt. Je serre les dents, bande de salaud. Je me débat alors qu'il me frappe et qu'il s'attaque à ma main, je me débat comme je peux. Je sens l'os craquer. Je hurle. Il me regarde sourit et me lance d'un ton supérieur :

«Alors qui est-ce qui fait moins le malin maintenant? Tu ne sais pas encore ce qu'on prévois de te faire. »

Ils me tiennent, me frappe de nouveau. Il sort un coupe cigare et je sais ce qu'il va faire. Je prie pour que je me trompe, mais je sais que c'est ça. Il me tient la tête, la tourne pour que je vois ce qu'il va faire. Il passe le coupe cigare autour de mon doigt. Je fais non de la tête, je leur demande de pas faire ça et ils rient. Ils rient à gorge ouverte. Je sens le coupe cigare claquer, j'entends l'os se casser et ça pisse le sang, mais je ne peux pas m'empêcher de hurler à nouveau. Il prend mon visage et regarde ma main avant de dire que ce n'est qu'un début, que je leur ai causé trop de souci. Il prend un papier et laisse un mot sur la table. Je pisse le sang, je le sens couler le long de mes doigts. Ils m’attrapent et me traîne jusqu'à leur voiture garé devant. Ils ont pris mon téléphone et l'ont balancé quand ils ont vu qu'il y avait un appel en cours. Ils m'enferment dans le coffre. Je me débats mais je suis coincé et je ne me sens pas au mieux de ma forme.

On roule un moment, sans doute qu'ils m'amène dans leur QG, j'imagine en dehors de la ville. On s'arrête, ma main me fais mal, je sens mon pouls battre dedans, je me demande ce qu'il m'attend, s'il va vraiment me couper tous mes doigts ou s'il a juste voulu me faire peur, mais je sais de quoi ils sont capable. Je ne donne pas cher de ma peau. Merde, je suis dans de beaux draps. J'espère que Lolita me retrouvera. Je sais qu'elle en est capable, c'est pour ça que je l'ai appelé. Elle va me trouver je n'en doute pas, mais dans quel état? Ça c'est une autre histoire. Je donne des coups dans le coffre, dans l'espoir de l'ouvrir, mais je fatigue et je me sens perdre connaissance à cause de la douleur.

La voiture s'arrête. L'un d'eux ouvre le coffre et me traîne dans un espèce de garage. Je vois un autre type et je comprends que c'est lui le vrai patron, vu sa gueule. Je ne dis rien, il n'a pas l'air content. Je me tais parce que je sais qu'il pourrait me tuer et je me doute qu'il va faire pire que ça. Je le vois dans ses yeux. Il me fait un petit speach, comme quoi je suis tenace, que je leur ai donné du fil à retorde …Il blablate un moment avant de venir s'attaquer à moi, à ma main et à mes doigts. Il me casse les doigts, les uns après les autres, mais il a rangé le coupe cigare. Il le garde peut-être pour la fin. Je hurle et ça a l'air de lui plaisir de m'entendre crier.

Il est seul avec moi, les autres gars sont partis. Il m'attache et me suspend par les mains sur un crochet qui descend du plafond. Il m'attache les pieds comme s'il avait peur que je puisse m’échapper et me laisse là. Je ne sais pas combien de temps il me laisse là. J'ai du perdre conscience plusieurs fois. La nuit semble être tombé quand j'ouvre les yeux, l'un des autres type et là et me regarde. Il a l'air de vouloir en démordre et à sorti son tazer électrique. Il veut clairement s'amuser pendant que le patron n'est pas là et je ne peux rien faire, je n'en ai pas la force. J'ai reperdu connaissance. C'est le matin, ou le début de mâtiné je crois, j'en sais rien. J'entends des pas et la porte du garage qui s'élève et je me demande ce qui m'attends encore. Je suis seul pour le moment, mes doigts ont arrêté de saigner, je ne les sens plus de toute manière. J'ouvre les yeux lentement, je ne vois pas très bien, ils m'ont frappé. Je distingue une silhouette féminine, peut-être que c'est Lolita, je n'en suis pas sur, mais, elle n'a pas l'air seule et je grogne quelque chose au cas ou ce serait elle pour la prévenir que les gars arrivent juste derrière elle.
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Lolita De La Vega

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MessageSujet: Re: frayeur/ Lolita/Alyson    frayeur/ Lolita/Alyson  Empty2020-10-26, 01:57

Vincenzo qui sortait enfin de l'hôpital, Vica qui semblait aller mieux. C'était peut-être une chance qui frappait enfin à ta porte. Les choses allait peut-être aller dans le bon sens dans cette petite ville qui semblait aussi pourri de l'intérieur qu'une ville des plus criminalisées. C'est plutôt étrange cette histoire. Toi qui ne connaissait que le crime dans ta vie, tu n'aurais jamais cru qu'une petite ville de ce genre serait aussi retournée. Ne jamais se fier aux apparances, c'est ce que tu t'es toujours dit. Tu avais raison. Quand tu es arrivée, tout semblait si paisible, mais plus tu y restais, plus tu te disais que tu devrais partir pour te donner une chance de bien vivre. D'avoir une bonne vie ailleurs. Que Vica pourrait avoir quelque chose de plus calme, de plus normal. Elle avait des raisons de rester, tu le sais et tu le comprends. Tu restes silencieuse en pensant à ce besoin d'être auprès de son père. Faut l'avouer, elle y avait aussi gagné un grand-père chaleureux... Rien de ton père. Elle n'avait plus son oncle, ton frère... Aubrey... Dire que la dernière chose qu'il t'avait dite c'était que ton ex y était pour quelque chose. Tu n'as pas eu la chance de lui dire à quel point tu l'aimais. Tu supportes mal, même très mal son décès. Tu n'en parles, tu ne le dis à personne, mais son absence te brise toujours un peu plus à tous les jours. Il avait perdu son mari et il était sûrement mort en pensant qu'il n'avait plus personne. Grâce à lui, tu avais peut-être, enfin, réalisé quelque chose. Tu ne peux pas faire vivre ça à ta fille. Elle méritait mieux que de te regarder mourir, que ce soit en un claquement de doigt, ou à petit feu. Tu ne lui avais toujours pas avoué la mort de ton frère. Quand tu aurais voulu le lui dire, son père s'est retrouvé entre la vie et la mort. Tu ne pouvais pas lui infliger ça... Elle en avait assez sur le dos.

Tu devais te reprendre en main, reprendre le dessus, la place dans ta vie. Tu avais cette main tendue vers ton coeur que tu arrivais à prendre avec tant de recule. Il te plait... Il t'atire depuis le premier regard que tu as posé sur lui. Plus les jours passent sans sa présence, plus le vide s'installe. Tu aimerais bien lui dire qu'il te manque, mais ce serait une journée de plus sur la liste longue et tu as l'impression d'être lourde. Une main qui traverse tes cheveux, tu poses tes coudes contre le comptoir à observer ton téléphone posé sur le marbre. Tu pourrais prendre tes clefs, traverser la ville et te rendre chez lui... Tu penses à ses enfants, tu ne peux pas t'imposer auprès d'eux. Tu pourrais l'appeler, mais encore là, ton coeur s'emballe et ta respiration tremble. Tu serres les dents et t'éloigne pour allé chercher quelque chose dans ta chambre quand soudainement, tu reconnais la sonnerie que tu lui as attribué. Un sourire large s'impose et tu reviens rapidement à la charge vers ton téléphone. Tu décroches et le pose à ton oreille. « Will, je- » Tu t'arrêtes net. Quelque chose cloche. Ton coeur se serre et il s'emballe d'un coup. Tu repousses nerveusement tes cheveux derrière ton oreille. Un vacarme et des voix. Il n'est pas seul. Tu sens tes mains trembler.

Vient ce hurlement qui te fais perdre ton équilibre. Tes jambes flanchent et tu tombes au sol. « WILLIAM! » Ta voix vibre sous l'émotion et tu trembles. Non! Ce nouveau hurlement te brise le coeur et tu sens les larmes monter. Ton souffle ce coupe et tu restes figée un instant. Tu ne peux pas resté à rien faire. Toi qui pensais que tout commençait à se placer, que tu trouvais une place agréable ou tu pourrais bien vivre... Non... Et si on te l'arrachait lui aussi ? Ton poing se serre autour de ton portable et ton regard se noircit. Tu te relèves. Tu prends une grande inspiration. Tu pousses un hurlement de rage en traversant la cuisine. Tu récupères tout ce dont tu as besoin avant de prendre ta veste, tes clefs. Ils sont mort. Un par un, tu les retrouveras. Au moment ou tu montes dans ta voiture, tu reçois un appel. TU prends la peine de décrocher. Sa fille... Putain! Tu essaies de la calmer, mais il n'y a rien à faire. Elle panique et tu ne sais pas comment tu peux faire à cette distance. Tu reccroches en lui disant que tu passes la voir.

Tu as passé la porte sans frapper, Elle savait que tu venais. Elle le savait. Tu l'as rapidement prise dans tes bras, avant qu'elle ne dise quoi que ce soit. Tu tournes le regard et apperçoit le mot et le doigt. Ton coeur se serre et tu te retiens pour ne pas pleurer. Tu prends le visage de sa fille entre tes mains, tu retires ses larmes et la force à te regarder. « Regardes-moi... Je vais le ramener. Je te le promets. Ils vont payer. Tu dois faire quelque chose pour moi. Met-le dans la glace et vite. Garde ta soeur loin d'ici. Je te laisse mes clefs, amènes tout chez moi. » Putain, tu devrais rester avec elle... « Je vais vous envoyer quelqu'un pour vous protéger. » Tu la serres dans tes bras avant de partir en prenant le mot.

Tu ne réfléchis pas, non. Tu roules sans trop réfléchir et tu finis par trouver la trace de ces hommes près des entrepôts. Tu t'approches d'une vitre et tu perds ton sang froid, tu ne réfléchis pas. Tu cours jusqu'à la porte. Tu entres sans retenue et tu t'avances vers lui. « WILLIAM! » Erreur de débutante! PUTAIN! À peine ta main frôle son visage qu'on t'agrippe par derrière pour t'éloigner. Ton regard reste rivé sur lui et soudainement, la rage revient à la charge. Ce n'est pas un cri de peur qui quitte tes lèvres, mais plutôt la colère dans un son agressif. Ta main glisse sous ta veste et tu pointes l'arme sous ton bras. Tu tires sans réfléchir. Tu lui balances un coup de tête pour le dégager et tu te retournes. Tu braques ton arme sur lui qui se retrouve au sol. Tu viens poser un pied contre sa blessure et tu écrases. Ton arme se pointe à sa tête. « Nessuno tocca il mio amore. » Ton doigt appuie sur la gachette.

Tu souffles et laisses tomber ton arme avant de revenir vers William. Tu glisses tes mains sur son visage, elles longent ses bras jusqu'à le décrocher. Tu glisses ses bras autour de ton cou pour le prendre contre toi. Tu te laisses doucement tomber au sol, l'entrainant avec toi. Tu caresses ses cheveux. Tu ne réfléchis pas, les mots sortent d'eux même. L'italien prend le dessus. « Mio amore. Sono qui. Resta con me ... non lasciarmi. Non voglio perdere anche te ... »
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William Lindemann

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MessageSujet: Re: frayeur/ Lolita/Alyson    frayeur/ Lolita/Alyson  Empty2020-10-26, 14:45

Combien de temps est-ce que je suis resté là? Suspendu dans ce garage? Est-ce qu'ils vont me retrouver? J'ai perdu la notion du temps. Je ne sens plus mes bras, je suis tout engourdis. Ca s'est arrêté de saigner je crois. J'ai du mal à rester éveillé, il y a trop de choses qui se passe dans ma tête. Je n'arrive plus à réfléchir. Je vois la porte du garage s'ouvrir. Je tressaille en me demandant ce qu'il va m'arriver, s'ils se sont décidés à me couper la main ou autre chose que sais-je? Ils sont capable de tout. C'est Lolita que je vois arriver et j'ai un regain d'espoir. Je suis bâillonné, je ne peux pas lui dire qu'ils arrivent, mais elle gère ça toute seule très bien. Je savais qu'elle me retrouverais, qu'elle saurait quoi fait. J'en avais l'instinct. J'entends le coup de feu et je prie pour que ça soit l'autre qui soit mort. J'ouvre les yeux, je me sens presque soulagé qu'elle l'ait tué. Elle revient vers moi. Je sais qu'ils peuvent encore arrivé, s'ils voient que lui ne donne pas de nouvelles. Je ne suis pas serein du tout. J'ai la trouille et j'espère qu'ils ne s'en sont pas pris à mes filles. Elle me détache et je me laisse tomber, trop épuisé pour tenir sur mes jambes. Elle parle en Italien. Je n'ai pas trop de mal à comprendre. Je lui réponds dans la même langue :

"Je savais que ... tu ... me ... retrouverais."

J'ai un peu de mal à parler, du mal à rester là, éveillé et conscient. J'ai besoin de savoir où son mes filles. Je sais ou est Abby. Je ne sais pas si ma plus grand est saine et sauve, mais je n'arrive pas vraiment à me concentrer pour parler. Je viens de lever mes mains, de voir les dégats, ça me donne la nausée, je ne sens plus la douleur tant je suis épuisé. Je fini par m'écrouler dans ses bras. Je sais de toute manière que je suis en sécurité tant qu'elle est là.


Le garage s'ouvre de nouveau. Ce n'est pas un autre gars comme je l'aurais cru. C'est Alyson. Une flic a qui j'ai parlé de mon enquête. Je lui ai toujours tout dit, elle est un peu comme une de mes filles elle aussi. J'ai pris soin d'elle autant que j'ai pu. Je l'ai toujours aidé et je savais qu'elle pourrait sans doute être d'une bonne aide.

Elle entre braque son arme, mais se rend compte que Lolita qu'elle ne connait pas encore à déjà mis l'homme KO. Elle avance d'un pas sur, déterminé. Elle a appelé une ambulance.

"Vous êtes Lolita c'est ça? Il m'a parlé de vous. C'est vous qui avez fait ça? Je ferais mieux de ne pas laisser vos traces, vous risqueriez d'avoir des ennuis. Je m'appelle Alyson. Il m'avait parlé de ce gang. Qu'elle idée de s'embarquer là-dedans, je lui ai dis que c'était une mauvaise idée, il n'écoute rien. Oh non de dieu ..."

Elle vient de voir mes mains. Ne dis plus rien, la main sur la bouche, mais elle est forte. Elle sait que je m'en remettrais.

"Les secours arrivent."

Elle dit ça sans doute pour ne pas que le silence s'installe. Je la connais, elle n'aime pas le silence, ni les effusions.
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