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 who let the dogs out (madeste)

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Maddox Fringe

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MessageSujet: who let the dogs out (madeste)   who let the dogs out (madeste) Empty2020-08-18, 22:30


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This could get a little sticky How to win this battle could be tricky But I know the best way Fall back let me lead, you hold the line And we'll bring them to their knees @Esteban Pérez

Y'a quatre jours, tu t'étais servit d'un gamin qui s'était fourni dans tes stocks pour une mission. Une façon simple de le faire payer pour sa consomation. Tu aurais pu faire plus, mais t'avais d'autres chats à foueté avec tout ce qui t'était tombé sur la tête. Ce que tu avais découvert. Tu l'avais balancé aux loups, des hommes à toi et tu avais foutu le camp, une fois de plus. Depuis déjà des jours plutôt, tu n'étais pas vraiment chez toi et tu ne te préoccupait de personne en ville. Tu avais autre chose à faire.

Pourtant, le jour suivant, tu t'es retrouvé devant deux chiens battus, la queule entr eles jambes. Ils ne voulaient pas te parler. Tu le sentais, il te fuyaient. Ça n'a pas pris dix minutes qu'ils ont enfin ouvert leur clapait pour japper la mauvaise nouvelle. Ô... Ce gamin venait de s'attirer de plus gros problèmes. De un : Il avait bousillé une transaction. De deux : deux de tes gars son mort. De trois : les pertes du côtés du fournisseurs. Tout ça allait de retomber sur la tête. Tu le savais. Tu ne laisserais pas ce petit morveux bousiller ton statut et encore moins la sécurité du cartel. Pas que tu t'en souciais... C'est tout simplement ta vie qui risquerait de chavirer.

Tu connaissais ses trajets par coeur, tu as attendu aux soir du quinze août avant de t'imposer sur son chemin. Tu l'as assomé avant même qu'il puisse réagir. Avant même de bouger, tu t'étais assuré qu'il était bien dans les vapes avant de le foutre dans la boite de ton quatre quatre. Recouvert, tu est rentré chez toi. Quand on menace l'intrégité de ta vie, tu deviens sauvage, nettement moins docile et compréhensif que tu ne l'es en tant normal. Ce qui veut dire, jamais. Tu te lâsses tout simplement !

Tu as laissé mijoté le gamin dans une cage au centre de celle de tes chiens. Cheins qui ne connaissent pas la civilité et qui ne demande qu'à attaquer l'inconnu. Ni nourrit, ni abeuvré, il était un agneau parmi les loups. La cage dans laquelle il se trouve ne lui permet pas de se lever, mais est suffisament grande pour l'épargner des morceaux, mais pas totalement des griffes. Le soleil haut placé et brûlant le jour, la noirceur totale du crépuscule à l'aube. Un inconfort inhumain. Les grogmements constants, les attaques contre le grillage de mâchoire solide et de crocs assérés. Tes chiens ont été affamé pendant deux nuits et deux jours entiers avant que leur suplice ne cesse.

Dix-huit août. T'es vénères depuis douze jours, la rage au ventre, sans coeur, sans émotions positive. Sans réelle satisfaction. La veille, tu t'étais rendu à la décharge y trainant Diego pour régler tes comptes. Tu en étais sorti satisfait, la tête haute malgré les blessures. Un statut en poche, tu avais pris la décision que cette petite torture était terminée. Te voilà sur le porche arrière de ta maison délabré. T'observes le gamin au loin, toujours enfermé en fumant une clope. Tu la jettes au sol avant de récupérer le saut de viande fraiche. Tu rejoins la cage principale et passe la porte, la refermant derrière toi. Tu observes. Deux de tes chiens tournent autour de la cage, la bave croullant des babines et l'autre, accroché à la grille tirant encore et encore. Un sifflement et tu attires leur attention. Tu balances la viande pour les éloigner. Le regard mauvais, la mâchoire serrée, tu t'approches de sa petite prison et tu donnes un coup de pied sur la grille. « Morveux! »
-cajou.


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Esteban Pérez

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MessageSujet: Re: who let the dogs out (madeste)   who let the dogs out (madeste) Empty2020-08-19, 18:22

Cela fait une éternité que tu te trouves dans cette cage. Au vu du nombre de fois où le soleil s'est levé puis couché, il te semble que cela fait trois jours. Trois longs jours qui te paraissent tous aussi interminables les uns que les autres. Tu n'es même pas sûr d'en avoir loupé quelques uns causés par tes nombreux malaises. Tu as faim, tu as soif, tes jambes sont endoloris, ton dos cassé en deux. Et ce bruit, ce putain de bruit. Les chiens grognent, hurlent, passent leur temps à taper sur ta cage, à tirer sur leurs chaînes qui frappent le sol, à lacérer ta peau. La chair à vif, tout ton corps te fait souffrir. Tu n'as même plus l'impression d'avoir peur. Tu ne sais plus ce que tu ressens, si ce n'est que tu n'as qu'une envie: que ça se termine, d'une façon ou d'une autre. Mais non, tu ne peux pas te laisser crever, pas pour une ordure pareille. Et puis Camila, qui t'attend, qu'est-ce-qu'elle doit penser? Que t'as décidé de lui foutre encore un lapin? Que tu l'as faite rêver et que t'as fini par disparaître dans la nature? Tu penses aussi à ton frère, à ta mère, à Karla... Est-ce-qu'ils ont au moins remarqué que tu avais disparu? Mais comment pourraient-ils te trouver ici? Dans une putain de cage, à l'instar de ces chiens. T'es dans le même état qu'eux. Assoiffé, affamé, les nerfs en pelote.

Tu te demandes encore comment t'as pu en arriver là. T'avais rien demandé. Pour un pauvre sachet, un taré du cartel avait décidé de faire de ta vie un enfer. Tu le prenais pas au sérieux, ses menaces te paraissaient tellement ridicules... Sauf qu'il ne plaisantait pas, non non. Le 15 août, alors que tu sortais des courses, des mecs te sont tombés dessus et t'ont embarqué pour une mission. T'as refusé, évidemment, continué à faire le malin, a joué la grande gueule mais ça n'a pas marché, pas cette fois. Alors tu t'es résigné à la faire cette foutue livraison, mais évidemment, le coeur n'était pas à l'ouvrage et il y a eu un souci. Les gars à qui tu devais livrer ont commencé à te prendre la tête, là encore, ton attitude de petit merdeux ne s'est pas effacé et tout a vite escaladé. Les coups de feu ont commencé à partir et ni une ni deux t'a saisi l'arme qu'on t'avait refourgué et t'as tiré. Malheureusement pour les mecs d'en face, tu savais viser. L'un d'entre eux était en piteux état. Tu ne savais même pas s'il n'était pas mort à l'heure qu'il était. T'étais reparti vite fait, les mecs assignés à la mission avec toi aussi. Vos routes se sont séparés. Tu semblais être tranquille.

Le lendemain, ta journée s'est déroulée comme prévue. Pas de nouvelles du cartel. Tu te croyais tiré d'affaires, mais t'étais bien trop optimiste, bien trop naïf. En quittant le boulot, un homme a surgi de nulle part. Il semblait t'attendre, t'as pas eu le temps de faire quoi que ce soit, tu t'es retrouvé inconscient et quand tu t'es réveillé, t'étais là.

T'es perdu dans tes pensées, à te refaire toute cette histoire, à penser à ceux que tu aimes. Ta tête est si embrumée que tu as l'impression de flotter au dessus de ton corps, et pourtant il te fait si mal. Un sifflement capte ton attention. T'es assis sur le sol, la tête entre tes genoux, au moins tu protèges ton visage de ces bêtes aux crocs acérés. Tu la relèves doucement pour voir ce qui t'attend. Il est là. Il est de retour et il t'observe. Ce psychopathe doit apprécier le spectacle. A ta grande surprise, il nourrit les chiens. Ils te foutront au moins la paix quelques heures. Eux, mais pas lui. Il frappe contre la grille de ta cage et tu ne sursautes même pas. Ton corps ne réagit plus, mais tes yeux se ferment puis se rouvrent rapidement. Ce coup, t'as l'impression de te l'être pris en plein visage. Il t'insulte. Tu le regardes, ton regard est noir. C'est la seule force qu'il te reste. T'arrives même pas à lui répondre, ta bouche est si sèche, ta gorge te brûle. T'attends de voir ce qu'il te réserve. C'est tout ce que tu peux faire.

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MessageSujet: Re: who let the dogs out (madeste)   who let the dogs out (madeste) Empty2020-09-11, 18:06


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Fou. Psychopathe. Malade mental. Chien. Tu les as tous entendu et ça te fait ni chaud ni froid. Tu es ce que tu es et rien n'y changera quelque chose. On t'a traité comme un animal, on t'a toujours traité comme un moins que rien. Tu faisais ce que tu voulais et tu ne te voyais pas faire autrement. Une vermine, c'est tout ce que tu as toujours été et tu le seras jusqu'à ta mort. Tu ne t'attends à rien de moins et tes dix ans en taule ne t'ont pas non plus aidé. Un caïd en taule et rendu dehors, t'es à la limite du sbire. C'est minable et ça ne te plaisait pas. Il ne fallait qu'un écart de conduite de la part du chef pour que tu agisses et par chance pour toi, la stupidité l'a frappé plus rapidement que tu ne l'aurais cru.

Il a merdé et du plus haut point. Ernesto avait pris la décision de faire une entrée remarquée et de faire comprendre à toute la ville qu'il était là, que vous étiez tous là. Il avait frappé partout. Les autorités, la mafia et un gamin lié au gros bonnet de la ville. Quel exploit qui a causé la mort de certains de tes hommes. Le grand plaisir. Tu lui as fait payé ces actes et il a plutôt payer cher. Tu lui as pris sa vie et sans une once de remords. C'est comme ce gamin que t'as enfermé dans une cage dans la cours derrière ta maison. Il fallait comprendre qu'on ne jouait pas avec toi. Tu avais le contrôle absolu maintenant et personne ne pourrait te dire ne quoi pas faire.

Trois jours, deux nuits, limité en mouvement, sans eau, sans nourriture. C'était sûrement suffisant pour lui faire comprendre qu'on ne joue pas avec toi, qu'on ne se joue pas de toi. Tu as toujours été sérieux lorsqu'il s'agissait de payer les dettes et toi tu avais tant payé cher que tu n'y allais pas de main morte. Tu mentirais si tu disais que c'était prévu comme ça. En fait, tu avais, comment dire... Oublié qu'il était là pendant quelques heures. Tu l'aurais peut-être faita sortir une journée plus tôt si tu n'avais pas eu la tête dans ce nuage de pouvoir qui planait désormais au dessus de toi.

Il te regard et son regard ne te fait ni chaud ni froid, mais tu hausses un sourcil. « Sérieusement ? Tu crois que ton petit regard frustré va changer quelque chose ? Ou va me faire peur? » Tu laisses tomber un rire avant de l'agripper par ses vêtements pour le mettre sur ses pieds. Tu le pousses devant toi, jusqu'à la maison. Tu le pousses dans les escaliers. « Allez, rentres. » Sans délicatesse, c'est un ordre claire. Tu passes devant et ouvres la porte. Quel gentleman! Sérieusement! Bravo, Maddox! Tu t'améliore! « Après toi. » Tu n'attends pas, tu l'agrippes de nouveau et le pousse à l'intérieur. Tu lui fous un coup derrière le genou pour qu'il tombe. Finalement, on retire le gentleman, tu ne changeras jamais. Tu le contourne, prends la bouteille d'eau sur la table, l'ouvre avant de la poser devant lui. Tu prends une chaise et la traine jusqu'à être devant lui. Tu te laisses tomber contre cette dernière en poussant un soupire. La journée a été longue. « Bois. »
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MessageSujet: Re: who let the dogs out (madeste)   who let the dogs out (madeste) Empty2020-09-29, 08:42

Un chien en cage c'est tout ce que tu es. Tu es d'ailleurs tout aussi affamé qu'eux. Plié en deux dans ta cage, tes muscles sont comme anesthésiés. La douleur, la soif, la faim, le manque de sommeil et la colère te mettent dans un état second. Tu as perdu tout repère temporel mais tu sais encore très bien où tu es, derrière la maison de ce taré du cartel. Tu ne le connaissais que de nom mais tu avais vite compris quelque chose: il était aussi fou qu'on le disait. Te mettre en cage pour si peu? Tu n'y voyais aucune logique. Tu n'avais pas commis de crime. Enfin si, par la suite, mais cela ne serait jamais arrivé si on ne t'avait pas assigné à cette livraison. Tu étais débutant, tu ne savais pas où on te larguait et tu avais fait comme tu avais pu. Tu as tiré par légitime défense. Tu n'aurais peut-être pas dû répondre avec ton air de petit coq de basse-cour à leurs menaces mais jamais tu n'avais prévu de les tuer. Tu ne savais même pas dans quel état ils se trouvaient à l'heure actuelle.

Maddox est de retour et tu ne lui réponds même pas. Tu n'en as pas la force. Ton regard reste noir, involontairement. Ces quelques jours derrière les barreaux t'ont déshumanisé. Temporairement. Amorphe, tu le laisses t'attraper par le col sans broncher. Tu voudrais te débattre mais tu ne peux pas. Tes muscles sont aux abonnés absents. Tu le laisses te pousser. Tu avances difficilement et finis par tomber au sol quand il te met un coup derrière le genou que tu ne vois pas arriver. Hijo de puta! lâches-tu entre tes dents serrées. Tu ne sais même pas pourquoi tu l'as suivi jusqu'ici. Ce n'est même pas par peur ou lâcheté. Tu es simplement incapable de réfléchir à quoi que ce soit.

Ton genou te fait mal, tu te relèves en grimaçant. Ce connard a visé ton genou déjà fragilisé par de nombreuses blessures. Tu t'assois sur une chaise et saisis la bouteille qu'il te tend. Qui me dit que t'as pas encore trouver un moyen pervers de me torturer avec ta boisson là? Les mots sortent difficilement. Ta voix est rauque et ta gorge te brûle. Tu crèves d'envie de boire mais tu préfères rester sur tes gardes. Tu le regardes d'un air suspect. Tu te demandes s'il trame encore quelque chose mais ce soupir qu'il lâche t'interroge. Il aurait presque l'air... humain. @maddox fringe
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