⊹mois de septemrbe le forum arbore maintenant sa seizième version, le forum est la folie incarnée ! Il ne faut pas se perdre dans la tête des autres, pourtant, c'est si facile ! Nous avons droit à -cajou. (andie) l'énervée qui nous offre une version plutôt automnale ! Les codes sont toujours offert par ce diable en personne et vous offre même quelques nouveautés sur le plan visuel! Dévoré les nouveautés avec appétit et ayez le ventre plein !
⊹ C'est la rentrée Septembre ! Les jeunes sont de retour en classe et il faut le dire, certains sont assez cinglé pour déjà se lancer dans la fête ! En même temps, ce n'est pas encore le temps des examens ! Profitez de la rentrée les jeunes ! Qui sait, avec tout ce qui se passe ce qui pourrait arriver!
Sujet: jusqu'au bout de la nuit/ Llorona 2020-07-30, 15:21
Il est tard ou tôt tout dépend du point de vue. Je n’ai plus vraiment la notion du temps ni de l’heure. J’ai bu, beaucoup trop bu. Je suis soûl comme souvent ces derniers temps. Je profite des soirées, je profite de ma nouvelle notoriété, je profite de l’influence qu’à mon site de rencontre. Je ne me suis jamais senti aussi bien, enfin dans un certain sens. Je sais que ça ne sera qu’éphémère. Ca ne peut pas durer, un jour sans prévenir mon application sera désuète, ça ne prendra qu’un an ou deux, c’est bien pour ça que je travail déjà sur autre chose. Je ne veux pas que tout s’arrête. Pas maintenant. C’est la seule chose de bien qui me soit arrivé ces dernières années, en dehors de Llorona évidement, mais même elle je n’arrive pas à la garder et pourtant je l’aime. Je l’aime mais je n’arrive pas à rester juste à lui montrer, je fini toujours par faire des conneries, comme maintenant.
Je rentre bourré comme un trou, j’essaie de passer la clé dans la serrure mais elle ne s’ouvre pas. Mince. J’essaie encore et je frappe à la porte.
« Hey oh, tu as changé la serrure ? M’aaaaan ! »
Je ne suis pas aller à mon grand appartement du centre-ville, non je suis allé chez ma mère, parce que ma soirée était plus proche et je ne comprends pas que ça ne s’ouvre pas. La porte s’ouvre sur Marissa, la voisine, l’air énervée et me fusillant du regard.
« Qu’est-ce que tu fou ici Silver ? C’est à côté chez toi. » « Oops. »
Ca me fait marrer, mais je vois bien qu’elle ne rit pas du tout. Elle me fusille du regard. « Je peux voir Llo ? »
« Non, tu as vu l’heure ? J’imagine que non, sinon tu n’aurais pas gueulé comme un âne et réveillé ma fille. Oh et puis vas-y tiens, elle t’engueulera aussi. »
Elle me laisse passer. Je titube et j’entends quelqu’un qui monte l’escalier du sous-sol, sans doute Llo. Marissa remonte et je l’entends aller dans la chambre de sa fille. Je suis complètement bourré, ça tourne. J’ai peut-être un peu trop bu, vraiment trop. Quand je vois Llo arriver je lui dis en espagnole :
« Holà chica bonita »
Elle comprendra, elle parle espagnole aussi. Ca m’arrive souvent de parler en espagnol surtout de jurer a vrai dire.
Sujet: Re: jusqu'au bout de la nuit/ Llorona 2020-08-02, 14:09
Assise dans mon lit, mes jambes sont relevées vers ma poitrine alors que mon menton touche mes genoux. Mon regard ne quitte pas le mur de ma chambre tandis que mes pensées se promènent. J'étais perturbée. Encore une fois, la réalité de la vie me frappe. Est-ce que mes choix sont judicieux ou dangereux. Je n'ai rien d'un ange. Ma famille serait perturbée d'apprendre mes activités clandestines. À vrai dire, je cherche peut-être à lui plaire sans conviction. Silver a toujours été quelqu'un de bien. À mes yeux, car sa réputation de délinquant vient à le suivre comme une ombre. Ce n'est pas Peter Pan ! Il n'est pas aussi indulgent qu'un samaritain sauf que mes yeux ne cessent de se poser sur lui. Il s'avère que ce véritable tombeur possède le talent de me gonfler particulièrement. Bien qu'il soit tellement protecteur que c'en est ridicule. Depuis ma tendre enfance, il a pu m'hypnotiser. Son corps, sa personne, son esprit me dominent ! Elle me possède sans qu'il le sache.À chaque fois que je l'aperçois, j'arbore un large sourire, heureuse que ce soit lui qui m'escorte dans mes moments libres. En fait, Silver est l'unique homme dont mon coeur a chaviré. Cependant, bien qu'il soit dans ma vie depuis mon enfance. Ce jeune homme est ma malédiction. Mon attraction vers la noirceur de ce monde. Mon esprit destructeur.
Je soupire. Mon oncle m'en avait encore parlé au travail. Je sais que Silver n'a pas une grande place dans son coeur. Que je mérite mieux. Comme Winston ne cesse de dire. Sauf que...Putain ! Je l'adore ! Il est ma drogue ! Je me fou complètement de cette relation toxique que j'ai avec lui. C'est mon premier, le premier dans tout ! Vous comprenez avec son physique. La plupart des gars de mon âge ne m'intéressent pas. Ils sont plus gamins ou ne veulent pas suivre la mode. Je me laisse tomber dos au matelas en observant le plafond. Merde ! Encore une nuit blanche. J'ai envie de lui parler. J'aimerais prendre mon téléphone pour lui écrire. Mais, j'attends des bruits. Des voix hurlantes de l'extérieur. Je sursaute dans mon lit en débarquant pour monter à l'étage. Je reste un pied sur la dernière marche vers le haut. Silencieuse. Sa voix. Cette voix grave et rongeuse qui glisse contre ses lèvres. L'alcool est en lui. Je l'entends. Elle vibre sous un rythme différent. Elle ne possède pas sa sensualité latine qui me rend folle normalement. Il demande à Marissa de me voir. Elle refuse. Je la comprends ! L'enfant pleure à l'étage. Il vient de perturber son sommeil. Je vais en entendre parler demain matin. Ma main se dépose conte mon visage. Glissant de mon front à ma joue. Elle suit la forme d'un demi-cercle. Je soupire et franchis les dernières marches.
Mon visage l'observe. La froideur se glisse sur mes traits faciaux. Ma main vient à claquer contre sa joue sans aucune retenue. Je suis furieuse, mais heureuse de l'apercevoir. J'ai envie d'attraper son haut pour plaquer mes lèvres contre les siennes. Je voudrais ! Je le pouvais sauf que l'odeur qui sort de sa bouche me hausse le coeur.
"Callate ! Il n'a pas de Joly ! Tu penses à quoi merde !?"
N'ouvre pas la bouche. Ne me touche pas. Je ne sais pas qu'elle sera ma réaction. Demain matin, je vais y goûter ! Je croise mes bras sous la poitrine. Relevant mon haut de sport. J'aurais du mette une chose qu'un legging de yoga et un soutif de sport. Au moins, je ne suis pas en pyjama avec de petits oursons.
Sujet: Re: jusqu'au bout de la nuit/ Llorona 2020-08-05, 15:40
Je me marre comme un idiot et je la vois monter les escaliers. Elle est belle, tellement belle. J’ai un large sourire qui se dessine sur mon visage et je me demande comment je peux lui faire ça à chaque fois, sortir avec une autre alors qu’elle est là devant moi et que c’est une beauté, un amour et je ne suis qu’un pauvre connard. Je me prends une baffe et ma tête tourne sur le côté. Elle est belle quand elle est fâchée. Elle est belle même sans ça. « Oh allez, je pense à m’amuser, tu devrais en faire autant chérie, ça te donne des petites rides d’être trop tendue. »(espagnol)
Elle st agacé et elle me regarde comme si j’étais un insecte à écraser. C’est sans doute ce que je suis. Je la regarde et la matte, je la matte carrément. Elle est beaucoup trop canon et j’avance vers elle, mais je sens l’alcool et je sais qu’elle ne voudra pas de moi et je ne me sens pas vraiment bien. J’ai des hauts le cœur. J’ai sans doute trop bu. C’est même sur et ça fini souvent comme ça, moi qui vomis toutes mes tripes parce que je me soul comme un alcoolique. Je ne le suis pas, enfin je ne pense pas, je ne bois pas tous les soirs, surtout en fin de semaines. Je mène la belle vie.
Je connais sa chambre au sous-sol, chambre avec salle de bain et c’est là que je me dirige. Direction les toilettes et je ne veux pas qu’elle me voit comme ça, c’est le même cirque que d’habitude. Je ferme la porte. Je la ferme à clé. Je n’aime pas qu’on me voit dans cet état-là. Je me suis mis dans la merde tout seul. Je peux me débrouiller pour ça, pour vomir mes tripes, je n’ai pas besoin qu’elle voie ça, même si comme d’habitude je finirais par ouvrir et elle me verra quand même dans cet état là et j’aurais honte, mais je continue, parce que quand je bois tout me semble plus clair c’est étrange, en fait je me sens complètement planer quand je bois et je n’ai pas ça quand je suis moi. Je ne sais pas comment l’expliquer, je ne vos plus mes défauts. Je ne vois que mes qualités. Je me sens un peu comme chez moi ici, même si ce n’est pas le cas. Je connais les lieux enfin surtout sa chambre. Celle qu’elle avait avant et celle-ci, beaucoup plus intimement.
Sujet: Re: jusqu'au bout de la nuit/ Llorona 2020-08-06, 21:28
HJ: Elle parle en espagnol tout le long.
La paume de ma main à mémoriser la force du toucher violent que j'ai imposé contre la joue de Silver. Elle brûle sous ce contact brusque produit. Entre les pleures du bambin et le bruit sonore du claquement, mes iris brillent sous l'éclairage de la pièce. Une lueur les transpirant par la colère. Je ne sais plus comment réagir. Cette ânerie qu'on appelle amour ne cesse de bouleverser ma vie. Il n'y a personne qui m'avait avertie qu'aimer un être humain pourrait être aussi difficile. Si compliquer qu'on s'abandonne dans notre propre idéologie. Normalement, je ne serais pas ici. J'aurais refusé d'apercevoir les traits faciaux de cet espagnol qui ne cesse de faire battre mon coeur. Alors, pourquoi suis-je aussi faible ? Je suis toujours là pour le protéger. Mes innervations n'arrêtent pas. Elles s'accumulent comme une veille plie de linge sale. Être auprès de lui est une malédiction. Une lourdeur qui s'accumule sur mes épaules dans le seul but de m'écraser ventre au sol. Cependant, il y a cette partie. Ce chapitre qui me comble dans le bonheur et la joie. Les interventions positives qu'il apporte dans ma vie. Silver est compliqué. Non, c'est un humain torturé par ses propres démons intérieurs. Il me fait peut-être pitié ou simplement que je crois pouvoir le sauver de cette chut. Je sais que l'espoir fait rêver. Qu'il sera difficile de retrouver ses ailes. Sauf que j'y crois. J'ai cette confiance en moi. Elle est enfermée entre mes deux paumes de main et serrée contre mon coeur. Je le regarde. Mes yeux ne l'ont pas quitté. Lorsqu'il prend la parole de nouveau, son haleine me frappe en premier. J'ai l'impression que l'alcoolique devant moi me transmettra la maladie addictive par un simple souffle d'air venant de sa bouche.
"Ferme-la !" Mes lèvres s'écrasent une sur l'autre. Mon nez se retrousse et des plis se forment dans mon front. "Silver Fernadez ! Va te faire foutre !" Je lève la main vers lui. Mon index s'écrase sur son torse et appui dessus." M'amuser ? J'y arrive quand tu as ta putain de tête sur les épaules ! Trop con ! Trop gamin ! Ta vraiment aucune cervelle entre ses deux oreilles ? Un poisson rouge est plus intelligent que ta perso..."
Ma phrase s'arrête. J'aperçois son visage changer de couleur. Un petit vert olive vient à apparaitre. Je m'éloigne un peu de lui. Penchant la tête vers mon épaule. Je souris fière de voir ce petit con faiblir. Lui qui ne cesse de se donner de grands airs. Monsieur allait être malade. Je croise les bras sous ma poitrine. Révélant la rondeur de ceux-ci. Un sourire trop ravi se dessine sur mes lèvres. Je le laisse faire. Il m'abandonne. Une course vers mon logement. J'emprunte la même route que lui en riant dans mon for intérieur. Je descends une marche à la fois en le laissant se cacher derrière la porte blanche. Je m'accote contre le mur faisant face à la salle de bain. "Tu fais moins le fière ? Tu descends de ton petit trône de fer ?" Dis-je en haussant le ton de ma voix. L'espagnol, une langue magnifique, mais tranchante. Je soupire. J'ai beau avoir un mauvais caractère dominer par le désir de le voir tomber. Je m'inquiète. J'ai peur qu'il fasse une connerie derrière cette porte verrouiller. "Tu vas m'ouvrir ? Tu vas me faire attendre encore un long moment ?'' Ma langue claque conte mon palais. J'avance doucement vers la porte et entends bien les bruits. Un coulis explosant dans la cuvette. Un grognement quand son accumulation remonte. Il a vraiment trop bu. Je vais lui rapproche ! J'aurais préféré qu'il soit ici ce soir. Qu'il soit avec moi sous les draps. Ses mains sur mon corps, mais non. Il était avec une connasse et un verre à la main ! "Silver..." Je me place à coter de la porte. Dos au mur en me laissant tomber. Mes fesses percutant le froid du plancher. Mes jambes se plissent pour remonter vers mon ventre. Mes bras entourent mes genoux et mon front s'appuie sur eux. Je restais assise et l'écoutèrent comme d'habitude vomir.
Sujet: Re: jusqu'au bout de la nuit/ Llorona 2020-08-09, 07:25
Je vois qu’elle est agacée, qu’elle a envie de m’en coller une autre, qu’elle voudrait peut-être que je ne sois pas là et elle a sans doute raison. Je ne suis pas l’homme qu’il lui faut j’en ai conscience. Si Je l’étais elle serait sans doute bien plus heureuse. Je ne suis qu’un parasite au fond et c’est sans doute pour ça que je bois autant, quand je bois je n’ai pas cette sensation-là. C’est récent tout ça pour moi, le succès, la reconnaissance, je n’ai jamais eu tout ça avant. Ma mère était là et elle m’a élevé dans de bonnes conditions, je n’ai pas connu beaucoup mon père, il était aux abonnés absents et je ne me suis jamais demandé pourquoi, je préfère ne pas savoir. Il n’a pas voulu de nous, ce n’est pas parce qu’il est revenu qu’il a le droit à ce qu’on l’appelle papa ou à ce qu’on l’aime, non je le déteste, je lui en veux, mais au moins si j’en suis là c’est peut-être parce que je ne le connaissais pas. Je lui dois au moins ça. Il m’a rendu service quelque part en disparaissant.
Je pensais arriver chez moi, mais c’est chez Llo que j’arrive, je fais du boucan, j’agace Marissa qui jusque là était plutôt cool avec moi et sans doute que ça n’aurait pas durer, parce que je fais toujours en sorte que les gens me détestent. C’est un besoin que j’ai, de me dire à chaque fois que je vais tout foirer et je le fais en beauté. Elle me dit de la fermer, elle me crie dessus. Je la regarde, elle est belle quand elle crie, quoi qu’elle fasse elle est belle, alors pourquoi je ne suis pas capable de me contenter d’elle ? Je n’en sais absolument rien. Il faudrait que j’aille consulter, peut-être que j’ai un problème. Pendant qu’elle m’engueule je vais vers les toilettes, je m’enferme dans la salle de bain, je vomis mes tripes. Je l’entends taper la porte, m’engueuler comme d’habitude. Je reste là assis par terre. Je n’ai pas envie qu’elle me voie comme ça, mais elle a malheureusement l’habitude et quand je l’entends m’appeler une fois que j’ai fini de me vider, je lui ouvre après m’être essuyer la bouche. Je me sens encore groggy et l’euphorie commence un peu à disparaître, je n’aime pas ce moment. Ce moment ou la réalité reprends place.
Je l’ignore un peu et me dirige vers sa douche, je me sens poisseux, j’ai besoin d’une bonne douche et je continue de faire comme chez moi. Je ne devrais pas, je devrais me retenir, après tout je ne suis pas chez moi. Je suis chez elle. Je devrais m’en aller, attendre qu’elle me dise que je peux, mais je n’en fais qu’à ma tête. J’avance jusque dans la douche et l’allume sans me déshabiller. Je m’en fou un peu. J’en ai juste besoin.
Sujet: Re: jusqu'au bout de la nuit/ Llorona 2020-08-13, 21:31
La merde ! La dèche ! L'enfer ! Nous étions chez moi, dans le sous-sol de la maison de Marissa, qui sentait la propreté et dont le silence faisait présence lorsque la nuit tombait. Pourtant, sa voix avait brisé cette paisible nuit. C'était moins pénible avant. Sans doute parce que je n’en ai pas beaucoup de souvenir de son comportement aussi misérable. Il n'avait rien...maintenant il a tout. À présent, tout ce qu'il me reste, ce sont les soucis, les beuglements et ma force de l'amour que je lui porte. J'ai que vingt et un ans et je ne sais pas grand-chose de la vie, mais je sais qu'être mal-aimée et malheureuse est plus dur à supporter. Détrompez-vous ! Je suis heureuse lorsqu'il est avec moi. Quand il n'a pas un parfum putride d'une autre sur lui. En fait, mon estomac est souvent noué. Il se contracte en l'imaginant glisser ses mains le long de la jambe d'une autre. Laisser les lèvres qui déclarent son amour se déposer sur celle d'une autre. Il y a longtemps que ma tolérance aurait dû m'abandonner. Hélasse Silver est l'homme que j'aime et bien le seul. Je ne pourrais me passer de sa présence, de sa voix. Je suis dépendante affective, mais seulement avec lui. Je regarde ma main alors qu'elle me chauffe. Que j'ai envie de hausser le ton de ma voix. Qu'il entend sa vibration de colère et d'agacement. Il était parti si rapidement vers mon logement. Encore ! Encore cette histoire à la con. Je laisse cette colère monter vers lui et le frapper. C'est incompréhensible ! Ma famille me dit de le laisser ! Qu'il est mauvais. Que ma relation est toxique ! Sauf qu'il est ma drogue ! J'ai besoin de lui ! Qu'il me trompe, qu'il soit dans cet état misérable, je m'en fou ! Il est à moi ! Un jour, il comprendra que ses nombreuses aventures ne sont rien. Que sa queue le dirige plus que son cerveau.
Je gonfle ma poitrine sous ma respiration. Elle se soulève alors qu'il vomit sans aucune gêne. J'en profite. Ma voix le taquine par principe de l'humilier ! "Silver ouvre m...'' Je voulais encore qu'il m'ouvre. Peut-être que l'attente me déplaisait. Il faut dire que je suis impatiente ! Je supporte mal d'attendre pour quelque chose. Le déclic de la serrure se fit avant même que je termine de parle. Je me lève avec difficulté pour l'apercevoir. Regarder cette boule de nerf, de maladresse rejoindre ma douche. Je m'avance vers lui en soupirant fortement. "Tu as encore merdé du con ! " dis-je sèchement. Je me glisse à l'intérieur sans rien retirer. Sentant quelques gouttes qui se déposent, sur lui venir s'éclabousser sur moi. "Silver ! Sois logique ! Retire tes vêtements. Tu as encore des fringues ici..." Mes dents viennent chercher ma lèvre du bas pour la mordiller.
Sujet: Re: jusqu'au bout de la nuit/ Llorona 2020-08-14, 16:48
Elle me demande d’ouvrir et j’ouvre, complètement à l’ouest, à moitié dans assommé par la fatigue. Je vais vers la douche habillée, comme un idiot, mais c’est ce que je suis finalement. J’ouvre le robinet d’eau, c’est froid et j’ai un frisson, un mouvement de recul, je me plaque contre le mur et ferme les yeux. Ça me fait du bien, même si je sens l’eau qui coule tout doucement et je l’entends me dire que j’ai encore mes fringues. J’ai un petit sourire avant de rire et de dire :
« Ouai et ? On s’en fou. »
Ils en ont besoin aussi sans doute un peu, je sens l’alcool je sais que je sens l’alcool et que je devrais arrêter de boire autant, que ce n’est pas sain, que je me pourri tout seul, comme un grand, pourquoi ça reste un mystère, peut-être parce qu’au début ça m’amusait, parce que c’était facile, parce que je le pouvais et finalement maintenant je ne peux plus m’en passer, finalement je suis peut être addict sans doute même et c’est venu sans que je ne m’en rende compte. Sans que je ne m’en souci vraiment, parce que je me sens vivre, parce que je me sens bien quand je bois et que j’oublie mon père, j’oublie que ça ne sera qu’éphémère, que même si je suis intelligent tout ne me tombera pas dans les poches éternellement, ça s’arrêtera, mais je ne veux pas que ça s’arrête, alors je continue de boire. Je continue et je suis de plus en plus soul, même en semaine, ça en devient ridicule. Comment elle fait pour me supporter ? Comment elle fait pour m’aimer ? Je la trompe régulièrement et elle est là quand même, il n’y a qu’elle qui me supporte, qui supporte mes frasques, mes hauts et mes bas. Je ne peux pourtant pas m’empêcher de me taper tout ce qui bouge, même si je pense constamment à elle et c’est étrange. Je reste là sous la douche, mes cheveux bouclé s’aplatissent, je sens l’eau sur mes vêtements et je sens que ça me colle, mais ça me fait du bien d’un côté, ma propre odeur me rendait nauséeux.
Sujet: Re: jusqu'au bout de la nuit/ Llorona 2020-08-15, 07:19
Je suis idiote! On ne le cacherait pas. Une femme normale ne serait aucunement restée auprès d'un homme se jouant d'elle comme une vulgaire poupée de chiffon. Je me fais pitié tout comme je décourage mon entourage. Ils ne cessent de me prévenir que ma vie sera gâchée par les bêtises de l'homme qui partage ma vie. J'ai beau me dire que mes regrets, mes erreurs et mes choix sont mes propres choix...est-ce vraiment le cas ? Silver n'est pas un simple hommes. Il n'est pas qu'un partenaire de vie dont mon coeur bat pour. En fait, il est mon meilleur ami, mon confident, mon âme soeur. En autre, ma seconde partie de moi. Si vous préférez, la pièce manquante de mon casse-tête. D'accord ! Il a cervelle en purée depuis des années. Il ne semble pas brillant, mais il possède une faculté de compréhension que plusieurs ne possèdent pas. Il n’est pas intelligent sur certains aspects de la vie. Sa création vient à lui rapporter une fortune. Non que son argent m'attire. Il m'a toujours attirée. Cela depuis mon enfance.
Je grogne en présence de son commentaire non nécessaire. Bon Dieu qu'il est enfantin. Je roule les yeux vers le haut en soupirant. Qu'il est con ! Le roi des cons ! En m'approchant encore plus de lui, l'odeur me hausse le coeur. Je dépose une main contre ma bouche pour retenir un rire névrosé. Merde que j'ai envie de le rabaisser. Je dois me mordre la langue et fortement. Je pose la même main sur son épaule et le force à se tourner. "Tu n’as jamais rien de bon à dire ! On s'en fou ? Merde ! Apprends à faire des phrases !" Je baisse les yeux sur son torse se révélant sous la couche du tissu mouillée. Je me mords la lèvre. Je ne dois pas. Non Llorona. Il n'a pas toutes ses facultés, sa bouche vient tout juste de laisser passer l'alcool. Son haleine laisse l'odeur immonde taquiner mes narines. La vache ! Il aurait pu se retenir. Je défais doucement les boutons de sa chemise. Je lève les yeux vers lui en répriment ce goût de sentir ses lèvres conte les miennes. "Sérieux, mon coeur ! Tu commences royalement à me faire chier ! " Je défais un autre bouton pour venir faire glisser sa chemise le long de ses épaules, le long de ses bras. Mes mains frôlant sa peau couleur miel. Je l'observe. Mon regard se glissant vers son torse et cette tablette de chocolat. Je reviens le soutenir et mes mains défait la ceinture de son pantalon pour défaire le bouton et glisser la fermeture éclaire. "Je ne veux pas que tu dormes trempé dans mes draps. Je préfère t'avoir nue qu’habiller avec ce que tu portes." Dis-je. Qu'est-ce que je viens de dire. Bordel ! Qu'est-ce que je fais. Je réalise et m'éloigne de lui un peu. Sentant ma peau, trempez par les gouttelettes. Je ne dis plus rien. Mes yeux posés sur lui. Observant sa chevelure friser qui devenait de plus en plus droite. Sa peau brillant sous l'éclairage de la pièce. Merde ! Silver arrête d'être aussi chaud !
Sujet: Re: jusqu'au bout de la nuit/ Llorona 2020-08-15, 08:40
Je ris quand elle me dit d’apprendre à faire des phrases, j’en fais, c’est bien ça le pire, mais je suis trop bourré pour dire quoi que se soit de concret, contrairement à d’habitude ou j’ai la langue bien pendue. Je ne suis pas dans mon état normal et je n’ai pas pris de drogue, je n’ai jamais tenté ce truc là, ça ne m’attire pas, heureusement, je serais sans doute déjà mort sinon. Je ne fais que boire c’est bien suffisant. Je n’ai pas besoin de plus, quoi que parfois je suis tenté, mais jusqu’à maintenant j’ai toujours dit non. On m’en a déjà proposé pourtant, mais je sais les dégâts que ça peut préfère, je me contente de l’alcool et ça fait déjà des dégâts. La preuve ce soir, je suis hors service, la tête dans le cul. Je suis sous la douche et je ne me suis pas déshabillé. Je lui ris au visage, alors qu’elle ne fait que m’aider, qu’elle essaie de me sauver, j’en ai conscience, mais je ne suis pas prêt à ce qu’on m’aide. Je m’enfonce.
Elle me dit que je la fais chier, j’ai bien entendu le « mon cœur » et ça me fait toujours chauf au cœur de l’entendre de me dire qu’elle m’aime quand même malgré toutes mes frasques.
« Je fais des phrases. J’aime quand tu t’énerve. »
Je lui souris, un beau sourire, l’odeur de l’alcool n’est pas encore totalement partie, mais je n’ai plus qu’à me savonner pour me sentir mieux et frais. Je sens ses doigts sur moi, elle ouvre ma chemise et j’ai un petit sourire, je pense à autre chose évidement, je nous imagine là, faisant l’amour, ce n’est pas inhabituel qu’on le fasse sous la douche et j’ai très envie d’elle, là maintenant tout de suite. Ses doigts glissent sous ma ceinture et elle me dit qu’elle préfère me voir nu plutôt que trempé et habillé dans son lit. Je me pince la lèvre et lui fait un sourire. « Tu sais que tu n’as qu’à demandé si tu veux me voir nu. »
Je joue avec ses mots, avec ce qu’elle dit et je les détourne, c’est souvent ce que je fais. Je joue avec elle, comme toujours et je sais qu’elle n’aime pas ça. Je l’aide à enlever mes fringues, je les balance dans la douche me souciant peu qu’ils soient trempés. Je lui fais un sourire encore quand je me retrouve à enlever mon boxer. Je me pince la langue et j’ai un sourire espiègle, qui ne demande que ça, qu’elle me prenne. Je prends un peu de savon et me savonne quand même, prenant sa main pour qu’elle le fasse.
Sujet: Re: jusqu'au bout de la nuit/ Llorona 2020-08-15, 16:55
Ma tête se déplace vers mon épaule. Je l'écoute parler alors que sa voix n'a clairement rien de sobre. Je sais qu'il n'est pas à son état normal. Il faudrait que je considère que l'homme me faisant face n'est pas celui que j'aime. Malgré tout, il s'agit d'une facette de Silver que j'apprécie. Étrange ? Effectivement. Je suis surement un peu perdue dans ma névrose émotionnelle. Je soupire alors qu'il commente encore d'une façon amusante mon comportement et mes dires. "Premièrement, tu ne fais pas des phrases. Tu discutes comme un vieil ivrogne de 60 balais." Mes lèvres s'étirent alors que mes mains se rapprochent de son haut. "Deuxièment, je ne suis pas aveugle ! Tu t'amuses avec moi comme un jouet !" Dire le contraire serait absurde. Ses caprices ne cesseront jamais de me faire sourire. J'ai la drôle d'impression d'avoir constamment un gamin avec moi. Un enfant qui s'amuse à rendre dingue sa mère. Sauf qu'il s'agit de sa copine qui ne cesse de tromper. Je commande doucement à détacher un bouton à la fois. Le faisant attendre. Je sens son regard sur moi. Je m'amuse avec lui. Je ris de lui, sachant qu'il me prend de haut. "Qui voudrait te voir nu ? Même la Sainte Vierge te supplierait de t'habiller !" Il s'amuse un peu trop avec moi. Il prend un plaisir à me provoquer et comme une idiote j'embarque dans son jeu. Je suis faible. Trop faible devant lui. Je recule d'un pas ou deux. Portant mon index entre mes lèvres. Mes dents se déposant dessus. Mes yeux l'observent. Je descends doucement le long de son corps. Le regard brûlant de désir. Examinant l'homme me faisant face. Un sourire rempli de vice alors que son boxer prend le large tout comme le reste des vêtements. Tout en ne le quittant pas des yeux, je m'approche alors que sa main entoure mon poignet. Il me force à le savonner. Je fis mine de m'approcher. Mes mains s'emparant du savon et de l'éponge au loin. Je fais glisser l'éponge de son épaule à son torse. Ma poitrine se rapproche de lui. S'appuyant sur son torse. J'arrête mes mouvements circulaires pour approcher mes lèvres des siennes. Je presse les miennes doucement contre ceux que j'aime goûter. "Connard" dis-je en frôlant la fissure de ses labres. Je m'éloigne de ce désir que je veux goûter. Le laver ? Moi ? Pis quoi encore? J'attrape sa main pour déposer l'éponge dans celle-ci. "Je n’ai pas envie de te faire plaisir..." Mensonge ! Je me mens pour le punir tout en me punissant.
Sujet: Re: jusqu'au bout de la nuit/ Llorona 2020-08-15, 17:45
Je lève les yeux au ciel et je ris avant de lui dire de but en blanc :
« N’importe quoi, je ne suis pas un ivrogne de soixante ans, j’en ai vingt-six et puis je ne suis pas un ivrogne, ce n’est pas vrai. Je m’amuse c’est tout, n’y a rien de mal a ça, pourquoi tout le monde m’emmerde avec ça, on dirait ma mère putain. »
Ma mère me prend la tête régulièrement avec ça, parce qu’au fond elle a raison, je suis un ivrogne, mais je ne veux pas l’admettre. Je ne veux pas admettre que j’ai un problème avec l’alcool et je ne veux pas non plus qu’elle me fasse la morale. Elle n’est pas à ma place. Je perds mon sourire quand elle me dit que je me sers d’elle, que je m’amuse avec elle. Je lève les yeux au ciel. On a déjà eu cette discussion des centaines de fois.
« Je t’ai déjà dis que j’étais comme ça et que c’était à prendre ou à laisser. »
Je suis dur, je le sais, je suis un salaud, j’en ai conscience. Je sais, ce n’est pas la peine de remettre ça sur le tapis, mais je l’aime et quand elle n’est pas là je suis malheureux, elle me manque, mais ça ne m’empêche pourtant pas d’aller voir ailleurs. Je voudrais pourtant arriver à mieux l’aimer, mais je suis comme ça.
J’ai un ricanement quand elle me dit que même la sainte vierge ne voudrait pas me voir nu.
« Mon cul. Tu sais aussi bien que moi que c’est faux, tout comme j’ai aussi envie de te voir à poil, c’est beaucoup mieux sans vêtements. Tu sais que tout le monde devrait être poil, ça serait bien mieux. »
Je divague évidement, je dis n’importe quoi, mais je parle au moins et mon franc parlé est revenu comme il était reparti, c’est que je vais déjà un peu mieux, du moins j’imagine. Je guide sa main jusqu’à moi et elle se laisse faire, même si je sens une certaine résistance. Elle se rapproche un peu de moi et je souris de nouveau, sentant ses lèvres ses rapprocher encore un peu m’apprêtant a l’embrasser avant qu’elle ne change d’avis et me traite de connard. Ce qui me fait rire.
« J’aime quand tu es sauvage comme ça avec moi, frappe-moi si tu veux. Je le mérite bien,. »
Elle sait que j’aime ça, que j’aime cette douce violence, mais je ne suis pas sûr qu’elle l’apprécie et elle a beau me dire qu’elle ne veut pas me faire plaisir, je sens que ce n’est pas vrai et je lui dit :
« Menteuse. »
Je reprend sa main et la tire vers moi, passant ma main dans son cou pour la rapprocher de moi avant de l’embrasser sauvagement.
Sujet: Re: jusqu'au bout de la nuit/ Llorona 2020-08-15, 18:32
Ce putain de regard qu'il a quand je dis quelques choses qu'il lui déplait. Je sais ! Je ne devrais pas me sentir coupable. Mais, je savais qu'il allait encore détourner mes mots à son avantage. Je l'écoute. Sa réponse me fait arrêter deux secondes. Mes doigts sur un bouton. Je lève la tête. Mes joues se gonflent. Aie ! Je ne ressemble pas à sa mère ! Je suis plus jolie, j'ai des formes, je ne suis pas plate comme une planche de pain. "Ne me compare pas à ta mère ! Je ne suis pas aussi lourde !" Ma voix se hausse sous le bruit de la ventilation. Mon pied se lève et écrase ses orteils. Qu'il aille se faire foutre. Je déteste être comparée à sa baronne. C'est déplaisant. Je le critique encore et encore. Le rabaissant comme, je sais faire. Sauf que ses paroles me font mal. J'ai l'impression qu'il m'enfonce un couteau en plein coeur. Le bout de mon doigt vient se poser sous son menton. Le soulevant vers le haut. Là, j'ai reçu une gifle. Chaque fois qu'il prononçait ce genre de parole, mon coeur se brise en morceau. J'ai l'impression qu'il me dit que je suis remplaçable. Qu'il peut aller voir et trouver mieux. Que je ne suis pas si importante à ses yeux. Moi, je veux croire le contraire. Je retire mon doigt et le gifle encore. Je respire fortement. Ma poitrine se soulève et se baisse. Ma respiration est bien présente. J'essaie de ne pas pleurer. J'essaie de retenir les foutues larmes qui veulent s'échapper. Je veux me jouer de lui comme il se joue de moi. Je suis qu'une simple poupée avec qui il baise. Une Barbie humaine lui portant l'amour qu'il a besoin. Je m'approche de lui. Prenant son invitation pour retirer cette saleté odeur. Il faut que l'odeur des femmes, de l'alcool disparaisse de sur lui. Je sais. Je ne veux pas vérifier. Il y a surement une capote de moins dans son porte-monnaie ou encore un numéro dans son jean. Je ne supporterais pas d'apercevoir ce type de connerie à la Silver. Mes lèvres frôlant les siennes. Laissant mon souffle, se poser sur la courbe de ses babines. Ma poitrine se dépose contre son torse tandis que mon haut absorbe l'eau s'écoulant entre nous. Ma chevelure se mouille de plus en plus. Ce collant à ma nuque et ma tête . Je voulais l'embrasser. Oh ! Merde que j'ai envie qu'elles se plaquent contre elles. Mais, je le traite de connard en disant que j'en es pas envie. Il commente encore et encore. Merde ! Il ne va jamais apprendre de se fermer la bouche. ''Tu sais quoi ! Va te faire foutre Silver Fernadez ! Tu n'as qu'un déchet !'' J'ose plus parler. Je suis dans la douche avec lui. Prête à partir. Il voulait que je le frappe encore ? Qu'il se trouve une dame pour l'attacher au lit. D'accord, nous le faisons souvent pour nos sextapes pour pornhub, mais présentement... Il doit oublier. Je prise entre la colère, la tristesse et envie qu'il me domine. Je suis vraiment dépendante à sa personne. En fait, il est ma drogue. ''Tu me verras plus dans ma nudité ! " Je croise les bras. "C'est à prendre ou à laisser ?'' Je me tourne sur moi-même. Le laissant seul sur la douche. "Tu as juste à...'' Quitter ? C'est bien le mot que je voulais dire avant que sa main se renferme autour de ma nuque. Il me ramène de force vers lui. Ma voix s'étouffe, laissant un faible bruit aigu sortir. Il n'y a pas de délicatesse. Se toucher est sauvage, animal. Mon corps est encore plus près du sien. Mes lèvres s'écrasent contre les siennes en réclamant la forgeuse. Ma langue se glisse entre ses lèvres et je laisse échapper un léger gémissement. Je cherche avidement sa langue. Le pardonnant de ses mots. Oubliant ce qu'il avait dit. Ce baiser empli d'une faim si intense et d'une telle passion qu'il est impossible de contrôler mon corps. Ma main s'appuie sur son torse. Mon autre main se dépose sur la musculation de son bras. Merde ! Qu'est-ce que je fais ? Allez Llorona brise le baisé... J'en suis incapable.
Sujet: Re: jusqu'au bout de la nuit/ Llorona 2020-08-16, 09:12
Je savais qu’elle n’aimerait pas que je la compare à ma mère, mais je l’ai fait quand même et elle me gifle. J’ai un léger sourire, même si je sens qu’elle est vraiment énervée. Je ne voulais pas réellement la mettre en colère, l’agacer oui tout au plus, mais je vois que je l’ai blessée et je baisse la tête parce que je me sens coupable et je m’en reprends une, puis elle m’a écrasé le pied et je grimace.
Je la regarde et je me dis qu’elle a raison quand elle me dit que je suis un déchet. Mes yeux se perdre dans les siens, je dégluti sentant la colère monter un peu. Je n’aime pas qu’elle me traite de cette façon, mais je fais pareil avec elle et je suis même pire que ça. Je la trompe et tout est au courant. Pourtant elle est toujours là. Elle me supporte, m’aide et m’aime. Je ne sais pas comment elle fait.
« Je suis désolé. »
J’ai murmuré ça sans savoir si elle allait l’entendre. Oui je suis désolé, désolé d’être moi et d’être ce salopard qu’elle aime, désolé de ne pas savoir dire non à corps, homme ou femme. Je ne lui dirais pas que j’étais avec un homme ce soir, je le suis plus souvent qu’avec des femmes, parce que ce n’est pas la même chose, le plaisir est différent, mais rien ne la remplace elle. C’est avec elle que je préfère être.
J’ai un sourire espiègle quand elle me dit que je ne la verrais plus dans sa nudité, mais bien sûr je vais croire ça. N’importe quoi. Je suis sûr du contraire, parce qu’on ne peut pas se résister. Je la laisse s’éloigner un peu sans répondre à son « c’est à prendre ou laisser. » Elle sait que je ne fonctionne pas comme ça, ce n’est pas notre mode de fonctionnement. Je l’attrape et l’embrasse fougueusement. Je glisse mes mains sur elle et les passe sous son haut, la caressant doucement en continuant de l’embrasser.
Je me rapproche d’elle un peu plus et la plaque contre la paroi de la douche, c’est à son douche d’être toute habillée sous la douche et je la regarde avec des yeux rempli d’amour, pour elle, d’admiration, parce qu’elle est belle, tellement belle. Je l’aime c’est indéniable et pourtant je n’arrive pas à lui dire réellement, mais tout se lit dans mon regard.
Sujet: Re: jusqu'au bout de la nuit/ Llorona 2020-08-17, 15:37
Mon corps se serre à l'intérieur de ma poitrine. Je sens la douleur s'emparer de moi. Ses pointes d'ongles pointues s'enfoncent dans ma peau laissant sa marque. Une cicatrice qui ne disparaitra pas avec le temps. Ne disons-nous pas que la douleur de l'âme est bien plus pire que celle du corps. Les paroles que cet homme ne cesse de libérer d'entre ses lèvres tentatrices deviennent douloureuses. Pourtant, j'aime entendre sa vois accompagnés de cette dominance au travers des syllabes qui cite. Est-ce qu'il comprendra un jour tout le mal et tout le bien qu'il me fait. Je sais ! Je ne devrais pas penser ainsi. Sa miséricorde est la mienne. Je ne me vois pas délaisser une pièce brisée. Un corps aimant, mais perdu dans le néant de la vie. Mes larmes ont la tendance à glisser le long de mes joues alors que la douleur se presse en moi, mais je ne voulais. Aujourd'hui, je n'ai pas envie qu'il s'amuse avec moi. Je soupire en présence de son commentaire. Il me demande pardon. Encore ! Combien de fois me dit-il ces trois mots. C'est loin du je t'aime. Il est encore désolé. Encore de fausse excuse qu'il oubliera de nouveau en un simple battement de cils. Bon Dieu ! J'allais être la conne ! L'idiote avec un grand I qui va lui accorder sa demande. Je suis faible ! Trop faible ! À chaque que je dois prendre sur moi pour de céder à sa personne. J'ai l'impression de tomber. Que je suis debout au bord d'un volcan en me laissant chuter dans le magma brûlant.
Je ne lui réponds pas. Je n'ai pas envie d'aborder encore ce sujet qui allait m'amener à la même conclusion finale. Celle que je répète à la même occasion. Je soupire sous la douleur qui se renferme dans ma poitrine. Je préfère l'ignorer. Jouer la sourde d'oreille. Je dois trouver une raison qu'il parte de la maison. Je n'ai plus envie qu'il vienne. Je devrais pourtant lui dire que tout est fini. Qu'il n'y a plus d'histoire entre lui et moi... Sauf que je suis lâche ! Une vraie faiblesse éternelle que je trimbale avec moi. Prise sous la douche avec lui. Son corps trop près de moi, je sens la chaleur de l'eau recouvrir ma peau. Elle se fait absorber par mes vêtements. Créant ainsi une deuxième peau. Elle vient à mouler ce corps que je possède. Mon regard qui cherchait à le fuir vient à replonger dans celui de ce beau brun. Son sourire me fait douter de ma présence ici, mais me fait douter de celle que je suis. J'aurais dû me sentir bizarre de faire ça avec lui. Vouloir me rebâiller n'est qu'une ânerie de plus qu'il pourra rajouter à mes échecs personnels. Je tente de m'éloigner de lui pour partir. Sauf que tout tourna à la surprise. Ses doigts s'enroulent autour de ma nuque. Il presse ses doigts alors que je me tourne de force sur moi-même. Il pose violemment ses lèvres contre les miennes avec un manque de douceur. Sa bouche avait exactement l'amertume. Ce goût horrible d'une soirée bien arrosé, et au lieu de briser le baiser, je le prolonge. Elle tâta ma lèvre supérieure en glissant sur ma deuxième. Une danse sensuelle mélangeant les miennes et les siennes. J'étais trop stupéfaite pour faire quoi que ce soit. Le repousser me serait trop difficile. Trop complexe pour poser mes mains sur son torse afin de le l'éloigner. Mon rythme cardiaque s'accélère. Sa main remonte lentement le long de mon ventre se glissant sous mon haut de sport. À cet instant, il me gêne. J'ai envie qu'il le déchire tel un amant fougueux dans un film. Bordel ! Sa main vient doucement s'emparer de ma poitrine. Son toucher... Mon corps brûle à l'intérieur. Il ne m’en faut pas plus pour oublier ses paroles m'ayant poignardée. Mes lèvres vénèrent les siennes. Cet échange qui s'empresse est terriblement séduisant. Je sens mon corps réagir à ses touchers. Il n'y a pas à dire, c'est toujours les baisers de Silver les meilleurs de ma vie. Sa paume s'écrase sur la pointe de mon sein et je gémis contre sa bouche.
Je le laisse jouer de moi. Je veux qu'il me domine comme toujours. Je tente de briser notre lien, mais mon dos vient à toucher brusquement la paroi de la douche. Le choque me fait mal, mais je ne dis rien. Je m'en fou ! Je lève les yeux vers lui quittant la vision de ses babines. Mon regard se plonge dans ses iris et je ne bouge plus. Mes hanches bougent contre lui, le faisant comprendre que je veux plus. Je sais qu'il est nu. Je sais que son membre serait tenté d'être pris entre ma main. Merde ! Je devrais m'écarter et lui suggérer de passer à autre chose, mais je n'en avais pas la force. Je l'aime ! Je l'adore ! J'ai envie de faire ma vie avec lui. Je voulais continuer à l'embrasser et plus. Et ne jamais plus m'arrêter.
Sujet: Re: jusqu'au bout de la nuit/ Llorona 2020-08-17, 16:15
Elle ne réponds pas et je m’attendais à ça, à ce qu’elle ne réponde rien. Je l’ai mise en colère, je lui ai fais du mal, comme toujours et je regrette, comme toujours. Je voudrais juste qu’elle soit dans ma tête parfois pour qu’elle comprenne à quel point je l’aime, à quel point elle est importante à mes yeux, même si je suis avec d’autres personne, ça n’est que du cul, elle c’est différent, elle je l’aime. Et comme elle ne réponds rien, ni même s’éloigne de moi parce que je la retiens, je l’embrasse fougueusement je glisse ma main sur ses seins, sur sa poitrine que j’ai déjà tant toucher. Je l’embrasse dans le coup et remonte sa brassière de sport. Je l’entends gémir un peu et j’aime ce bruit-là, j’aime l’entendre gémir si près de moi. Je me rapproche un peu plus d’elle, frottant mon corps contre le sien, elle doit sentir que mon entrejambe se raidi, je suis sur qu’elle le sens. Je glisse ma main dans son cou, attrapant légèrement ses cheveux, lui prenant la tête un peu en arrière, je dépose des baisers ardant dans son cou. Nos yeux échangent un regard, regarde à la fois tendre, désireux et enflammé. Je la veux, je sais qu’elle me veut aussi. Alors je n’hésite plus. J’aime bien jouer un peu avec elle, avant d’avoir ce que je veux. J’aime bien décider et je sais qu’elle aime ça aussi. Mes doigts glissent sur ses cuisses et font descendre son pantalon de sport, je lui enlève totalement et me mets à genou. Je la regarde, avant de poser mes lèvres, puis ma langue sur son entrejambe, de poser mes mains sur ses fesses. Je lui fais plaisir, parce que c’est ça le plus important, lui faire plaisir, la faire se sentir bien, qu’elle apprécie ce moment tout autant que moi. Ces désirs sont les miens et je ne veux que son bien. Je ne suis pas aussi salaud qu’on pourrait le croire, j’ai juste ma personnalité, débridée, certes, mais je ne pourrais jamais vraiment lui faire du mal, sauf quand elle me le demande, parce que j’aime faire ça, j’aime jouer à ce jeu-là, quand elle le veut.
Sujet: Re: jusqu'au bout de la nuit/ Llorona 2020-08-23, 16:57
Je ne sais pas comment elle fait pour m’aimer, mais elle m’aime ça personne ne pourra nous l’enlever, ça se voit dans nos yeux, dans chaque parcelle de nos corps lorsqu’on est ensemble et j’emmerde ceux qui disent que je ne l’aime pas vraiment que je profite d’elle. Je ne profite pas, je l’aime un point c’est tout et personne ne peut comprendre ce qu’il y a entre tout, tant mieux j’aime qu’on ne comprenne pas.
J’ai glissé ma langue puis un doig, la caressant comme je sais si bien le faire. Je sais qu’elle aime ça, sinon elle ne serait pas là entrain de gémir et de se laisser aller et ce n’est pas de la comédie, j’en suis sûr. Je sais qu’elle aime que je lui fasse l’amour et j’aime la faire gémir et surtout jouir. Je me relève un peu laissant l’eau couler sur mon corps, on est tous les deux trempés, elle aussi. Je l’embrasse dans le coup, je glisse mes mains sur elle, avant de m’avancer un peu de nouveau, mon entrejambe est prêt, elle ne demande que ça, elle ne demande qu’à la prendre, j’attends un regard de sa part et une fois que je fois dans ses yeux que je peux y aller, je ne me laisse prier.
J’aime cette sensation, nos deux sexes qui communiquent, en parfaite symbiose, le corps humain est quand même vachement bien pensé. J’accélère un peu le mouvement tout en continuant de l’embrasser sauvagement et bon sang ce que c’est bon, c’est bon d’être en elle, c’est bon de sentir mon sexe dans son vagin, de sentir que j’en veux encore et que je peux la faire jouir alors je reste quelques instants encore en elle savourant chaque seconde de ce moment toujours si différent et si particulier. Je sais qu’elle m’aime, je n’en ai jamais douté. Je ne lui dis pas souvent, mais c’est une évidence je n’ai pas besoin de lui dire. Je l’aime et c’est un peu ma façon de lui montrer, c’est sauvage, mais je suis comme ça, sauvage.
Sujet: Re: jusqu'au bout de la nuit/ Llorona 2020-08-31, 09:53
Ma tête s'abaissa pour l'observer. Apercevoir sa tête mise en place entre mes cuisses. Je laisse échapper un cri de satisfaction. Seigneur que j'apprécie toucher. Cette brutalité qu'il expose contre lui.La bouche chaude de Silver qui épouse parfaitement mon clitoris. Sa langue jeune m'émerveille à chaque passage. Une intensité sensation de plaisir se libérait en moi à chaque passage. Ma main se glisse vers mon ventre agrippa de ma main sa chevelure de mon compagnon aussi gourmand qu’à son habitude. Comment pourrais-je rester furieuse contre lui après cela. Il ne compte pas lâcher prise. Il me lèche en laissant un doigt pénétrer en moi. Créant un double plaisir. Ma tête se penche vers l'arrière. Mon corps se camphre et je gémis de nouveau. Sa langue avec ses mouvements, je la sens retentir accélérer. Il savait comment. Il me connait. Je ne m'adapterai jamais à un tel acte avec lui. Mes yeux se ferment et alors qu'un long spasme me secoue. Je sens mon corps se libérer contre son visage. Son nez, sa bouche, son menton. Seigneur ! Ce mec connaissait mon point. Il connaissait ma tolérance. Ce doigtage qui n'a que quadruplé ce moment. Ils savaient mise à venir et glisser contre ma paroi. Se créant un passage et le mur, qui se serre contre eux. Mon gémissement s'arrêtait alors que ma main repousse ma chevelure vers l'arrière en mordant ma lèvre du bas. Merde ! Merde ! Que je suis faible devant lui. Je cherche ma respiration. Mon coeur bat trop vite pour la normale. Je respire fortement en souriant comme une gamine en présence du beau. Il s'approche de nouveau. Ses solides épaulent à ma vue et il vient camoufler mes lèvres par les siennes. Je me goûte. Ce fluide ne me déplait pas plus. Cette frustration qui m'avait prise plus tôt a disparu. J'en voudrai plus. Il m'en faut plus. Il le sait. Mes lèvres s'étirent contre les siennes alors que ses mains me touchent. Me parcoure dans cette douche dont seul le bruit de l'eau est notre compagne. Est-ce que je peux me laisser totalement aller avec lui ? Oui et encore oui. Je sens son membre contre mon ventre. Bien solide et bien droit. J'ai envie qu'elle se glisse. Qu'elle se prenne plaisir entre mes lèvres, mais ce fut le contraire. Ma jambe gauche se soulève et vient l'entourer. Ma cuisse le contournant pour finir dans son dos. Mon regard brille. Il brûle de faim pour cet ébat qui ne fait que commencer. Je souris et ma main vient contre son visage. Je la glisse de sa joue à son menton. Pour rejoindre le derrière de sa nuque. Je ne dis rien. Mon visage dit tout. Il exprime la halte de cet appétit gourmande. Un grognement suppliant sort de moi. Son sexe dur et tendu contre moi ne fait qu’accroit mon désir pour lui. Je voulais qu'il glisse son membre dans le trésor humide que je possède. Celui qu'il vient de bien lubrifier par sa langue, sa bouche et ses doigts. Puis d'un coup, son gland s'enfonce violemment. Nous ne formons qu'un. Un simple corps en unisson. Mon autre main s'appuie contre son épaule. Ses lèvres viennent jouer des miennes. Elles dansent à l'unisson. Dans un mouvement si rapide que je suffoque envers son propre amusement que la situation créer. Il me rend fou par les vas et-viens que sa queue me procure. L'extase est présente. Mes ongles s'insèrent dans son épaule. Je gémis contre ses lèvres et brise le baiser. Ma tête se dépose sur son épaule touchant ma main. J'essaie de retenir le gémissement, mais rien. Ma poitrine sursaute à chaque fois qu'il vient de nouveau plus brusquement. Je murmure son prénom à son oreille sous une voix chaleureuse et essouffler. J'aime que cet homme et il me lait. Je ne reste jamais curieuse contre lui bien longtemps. Je souffle contre son oreille un : je t'aime.
Sujet: Re: jusqu'au bout de la nuit/ Llorona 2020-09-02, 09:32
Elle est là tout près de moi, comme si rien n’avait changé, comme si elle avait toujours été là. Je l’aime c’est une évidence. Je ne veux pas qu’elle s’en aille, je veux la garder auprès de moi et je suis chanceux qu’elle soit encore là après tout ce que j’ai fait. Je ne suis pas le plus aimable, pas le plus fidèle c’est vrai, mais pourtant je suis là toujours près à faire n’importe quoi pour elle. Nos corps se rapprochent, nos cœurs battent à l’unisson. On ne fait plus qu’un et j’aime cette sensation, je l’ai toujours aimé. Je m’enfonce en elle, donnant des coups de plus en plus rapide et vif. Je glisse mes doigts sur son corps si parfait. Elle a toujours tout eu là oui le faut, cette femme est tellement belle, elle est l’objet de tous mes désirs et mon désir c’est la prendre, comme je le fais souvent, le désir le plus charnel de tous et c’est ce que je fais. Je savoure chaque moment, comme si c’était le dernier. Elle murmure mon prénom et fini par me dire qu’elle m’aime ce à quoi je ne sais pas répondre alors je réponds :
« Pareil. »
Je n’ai jamais dit je t’aime à qui que ce soit. Pas encore à elle, même si elle le sait, je l’espère qu’elle le sait. Elle est tout pour moi. Je préfère autant continuer sur notre lancé plutôt que d’être romantique. Ce n’est pas mon truc d’être romantique, loin de là. Elle le sait.
Je ne dis et la tourne lentement prenant ses mains les posant sur la paroi de la douche et lui tenant les poignets. Je l’embrasse dans le cou. Et m’immisce en elle encore une fois, de l’autre côté, plus sauvagement, par ce que j’aime ça et je sais qu’elle aime aussi.
Sujet: Re: jusqu'au bout de la nuit/ Llorona 2020-09-16, 07:17
J'avais presque honte de lui laisser me dominer malgré cet alcool accumuler dans ses veines. Il y a au fond de moi, l'impression que je le force. Que ma personne s'occupe d'elle comme une simple profiteuse. Une femme bafouant la limite du raisonnable. Après tout, le sang avait laissé place à un liquide bien plus impur pour son corps. Il ne sembla as s'en offusquer. Ni même s'en soucier. Mes cuisses lui appartiennent et mes jambes écarter lui laissent bien la place libre pour lécher énergiquement. Il savait exactement ou passer sa langue, quelle pression appliquer à tel endroit. Après le nombre d'années que nous sommes. Il devait savoir comment bien détourner mon désir. Silver connait maintenant tous mes points sensibles pour les excités sans retenues. Cet homme fut le premier à pouvoir franchir ma porte de protection pour dévorer cette cerise bien protéger depuis des années. Il a un talent que certaines personnes peuvent envier. Il sait d'ailleurs à quel moment faire entrer ses doigts en jeu. La frustration qui m'avait envahie progressivement au cours de la nuit n'eut besoin de quelques minutes pour disparaitre quand un orgasme me rend essoufflée et ébahie. Je venais à peine de laisser un cri quand ses doigts se sont invités dans mon sexe que me voilà pris d'un orgasme. Instinctivement, mon bassin cherche à onduler et j'en veux plus sans savoir comment y parvenir. Mais Silver sait, lui. Son majeur glisse entre mes lèvres humides. Seigneur que cet homme est un dieu de la baise. Je cherche mon souffle alors que ma jouissance se mélange contre l'eau. Laissant ce faible liquide, descendre. Je déteste cette partie de moi qui laisse un début de fontaine apparaitre. Je remercie dieu ne pas être intense comme ont l'aperçois dans certains films. Il délaisse mon intimité pour se rapprocher de moi. Nos corps baignant sous l'eau et la sueur. Ma tête se penche un peu et ses lèvres viennent rejoindre ma nuque. Je frissonne au contact de ses lippes contre cette partie de mon corps. J'en veux plus. Je veux qu'il me prenne. J'avance le bassin lui faisant comprendre que je le veux alors que sa main me touche. Me faisant consumer par les flammes du désir. Il ne se fait pas prier. Sa queue me pénètre. Ce garçon s'exécute. Elle vient se placer entre mes jambes écartées tel un soldat immobile. Sa queue dressée avec élégance. Me faisant, saliver. Je la sens rentrer et étirer mon intérieur à son passage. Elle se faufile un chemin en me provoquant des sensations dont je ne pouvais rêver mieux. Ma respiration prend de l'ampleur. Je ronronne de plaisir. Ses lèvres se plaquent contre les miennes. J'entrouvre les lèvres pour y laisser ma langue trouver la sienne. Partageant une dance sensuelle et provocante. Je gémis contre ses lèvres. Son déhanchement brutal me provoque. Je commence à bouger la main glissant vers son épaule tout en rentrant mes ongles dans sa peau. Serrant pour lui faire mal. Merde ! C'était bon ! J'ai besoin de le sentir me rentrer dedans. Qu'il créer des vas et-viens répétitif. Je ne pouvais pas jouir pas aussi rapidement.. Pourtant le feu est bien présent. Il explose en consumant une ville entière. Son prénom sort d'entre mes lèvres. Je lui dis que je l'aime en déposant mon front contre son épaule. Ma poitrine sautant vers le haut et le bas alors qu'il se déhanche en moi. Sa queue prenant un plaisir de me faire gémir comme la nympho que je suis. Révélant encore une fois cette addiction que j'ai envers lui. Il ne me dit pas les trois mots. Il me répond comme à son habitude. Un jour, ce mec va me le dire et punaise que je vais l'épouser ce jour-là. Il se retire doucement de moi, me faisant tourner contre la paroi de la douche. Ma poitrine s'écrasant sur ce mur. Il embrassa mon cou de nouveau. Son gland ne fait que rentrer un peu et je gémis par la jouissance qui me traverse tel un éclair. Je crispe son nom avec difficulté. Mon souffle me manque. Seigneur ! J'en suis plus capable. Mon corps crie pour plus. Je respire avec difficulté.Ma respiration est difficile.Comment fait-il pour encore être dur et en érection. Je suis habituée à sa longueur et sa grosseur, mais je reste toujours étonner. Je viens mordre ma lèvre du bas mes poignets dans ses mains. J'essaie de me libérer, mais je veux qu'il me fasse mal. J'aime sa dominance. Ma joue touche le mur froid et mon corps tout entier s'éveille. Mes jambes vibrent sous la constance du désir en moi. Mon bas ventre me serre. Il me fait si mal. Je lui demande de venir en moi. Qu'il se vide dans ce qu'il lui appartient. Ma petite voix couine sous ses coups de reins qui me rend dingue.
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