Ta vie est un véritable enfer, surtout depuis que t'es au courant que Evan avait perdu la mémoire et qu'il ne se souvenait de rien, ne sachant plus qui tu es ou même qu'il ignore que vous avez tous les deux une petite fille de quelques mois. T'en avais même repousser Kaj puisque c'est de sa faute si son jeune frère se retrouvait dans un tel état, que t'as tellement peur que les choses puissent dégénérées et qu'il ne puisse jamais se souvenir de ta petite personne. T'en voulais à tout le monde depuis plusieurs jours, de ne pas vivre en la compagnie de ton mari dans cette immense villa, ça te brise tellement le coeur que tu ne sais pas quand l'homme dont tu es amoureuse va se retrouver chez vous. En plus que tu es enceinte, ce qui n'aides en aucun cas la situation, devant te rendre dans tes rendez-vous pour savoir si cette grossesse se passait bien, le médecin t'avais mis en garde de ne pas être dans une énorme source de stress et pourtant c'est ce qui se passe. Tu aimerais tellement disparaître une bonne fois pour toute, de ne plus avoir affaire à t'imposer dans rien, de ne plus avoir le coeur brisé puisque t'ignores ce que tu pourrais faire sans Evan. Maintenant, tu te dois d'espérer que tout se passe comme tu en rêves, qu'il puisse retrouver la mémoire une bonne fois pour toute et qu'il puisse revenir à la maison. Sauf que voilà, tu n'as pas dormi depuis près de une journée et tu faisais carrément pitié à voir, Joey avait réussi à venir chercher ta fille pour la garder avec Adina puisque tu voulais prendre ton temps de souffler, d'avancer malgré tout et tu ne sais aucunement pas pourquoi tu te retrouves en face du manoir, les battements de ton coeur qui devenaient encore plus intenses et toi qui sort de la voiture, marchant jusqu'à la porte et de voir Alfred qui t'ouvres sans broncher. Il t'affirmes que Kaj n'était pas présent sauf que tu t'en fiches, être seule comme tu l'étais t'aimais pas vraiment cela et maintenant, tu ne voulais pas retourner à la maison. Le remerciant malgré tout, tu montes les escaliers pour te rendre jusqu'à sa chambre, passant l'une de tes mains contre tes prunelles qui étaient épuisées, marchant jusqu'à son lit pour simplement se glisser entre les draps. Il ne t'en fallu pas beaucoup pour fermer les yeux, sombrant dans un profond sommeil, tes doigts se resserrant contre la couverture et voilà, t'es presque décédée sauf que de dormir, ici, c'est le seul moyen que t'as trouvé... @kaj wick

T'ignores ce qui t'amènes chez Kaj, sachant pertinemment que tu lui avais mentionner que tu n'as aucunement envie de le revoir vu ce qui s'est passé avec Evan parce que oui tu as tellement peur que ce dernier puisse ne plus jamais se souvenir de ta petite personne mais surtout de vos enfant. Ça t'as presque fait du mal de savoir que tu habites toute seule dans cette énorme villa, de ne plus être dans les bras du beau brun quand tu as besoin d'amour ou même de le voir tenir Elena dans ses bras. Pourquoi devais-tu être dans de telles situations, ton médecin qui t'as dis que si tu ne prenais pas soin de ta petite personne tu allais devoir avorter ou même que ta vie serait en jeu. C'est le cadet de tes soucis, entre la perte de Kimberly qui était décédée d'une manière intense alors qu'elle mangeait avec ton mari, la perte de cet enfant qui avait grandit quelques semaines dans ton ventre et que son paternel n'avait eu aucun scrupule avant de mettre ce couteau contre ton ventre, le perdant par la même occasion. Disons que t'ignores ce qui risque de se passer dans les prochaines semaines, les prochains mois puisque t'as peur que si Evan ne se souvenait pas de ta petite personne, tu allais devoir t'en aller... Hors de question que tu puisses rester dans la même ville que l'homme dont tu es amoureuse, de le voir sans doute au bras d'une nouvelle femme et de refaire sa vie comme il t'as déjà envoyer en message. Ça te fait peur toutes ces choses, dire que ton mari t'avais mentionner qu'il allait prendre soin de sa personne, que Kaj allait faire la même chose de son côté sauf que malheureusement, les choses ne se sont pas passées comme prévues et disons que t'as pas envie que cela puisse recommencer. Tu songes à beaucoup trop de choses, à cet enfant qui grandissait dans ton ventre, comment allais-tu lui annoncer la nouvelle plus tard que son père ne s'est jamais rendu compte que vous aviez une famille tous les deux ? T'ignores pourquoi la première chose que tu décides de faire quand tu ne vas pas bien c'est de te rendre au manoir, de voir Alfred qui t'ouvres la porte sans broncher et toi qui te retrouves dans le lit de Kaj. Tes mains tremblent, ces larmes qui avaient coulées pendant quelques heures maintenant étaient séchées et tu ne te rends pas compte que tu t'endors aussitôt. Les heures passaient rapidement, tu ne sais pas combien d'heures tu as réussi à dormir mais ça t'as fait énormément de bien, tu t'es reposée l'esprit et disons qu'en gros, tu ne sais pas ce qui allait se passer quand tu vas ouvrir les yeux. Ainsi, voilà que tu sentais les premiers rayons de soleil qui emplissaient la chambre, toi qui ne peux t'empêcher de grimacer tout en restant silencieuse, tes prunelles s'ouvrant et totalement prise au dépourvu. Tes doigts se posent contre ton visage, tu tentes de reprendre une respiration normale, ta tête toujours posée contre l'oreiller jusqu'à ce que tu observes l'homme qui était assis contre le mur. Tu lui avais dis des choses horribles, sans doute parce que t'étais totalement perdue, cette peur de perdre ton mari une seconde fois était toujours dans tes tripes et disons que t'ignores ce que tu pourrais faire de plus. Kaj... souffles-tu, il n'y avait que toi et lui qui pouvaient entendre ce que tu viens tout juste de lui dire, toi qui avait la gorge sèche tout en observant le beau brun qui semblait totalement perdu, sans doute qu'il ne s'attendait pas à ce que tu puisses te retrouver dans son lit. T'es là depuis quand... @kaj wick

Ce n'est sans doute pas une bonne idée que tu puisses te retrouver au manoir, sauf que t'as besoin de la présence de quelqu'un et tu t'es toujours tournée vers Kaj... Lorsque Evan avait quitter la ville pour se rendre à Miami, c'est dans ce moment que t'as rencontré le beau brun et que tu avais eue une idylle avec ce dernier. Disons que tu n'aurais jamais cru qu'ils étaient frères tous les deux, jusqu'à ce que tout le monde soit au courant comme ton mari avait toujours été jaloux de Kaj mais maintenant c'est totalement l'inverse. Tandis que tu étais couchée dans le lit, tu sentais tes paupières qui venaient à ouvrir les yeux, sentant ces rayons de soleil avant de redresser la tête en passant l'une de tes mains dans tes cheveux et de pousser un petit soupir. Les derniers messages que t'as envoyer à Kaj te donnaient froid dans le dos, en fait ça t'as fais mal de devoir réagir de la sorte sauf que tu n'as pas eue le choix, Evan t'as dis que tout allait bien se passer tout comme son frère sauf que ça ne s'est pas passé comme tu l'as prévu. Alors que tu restes un petit moment dans ce lit, tu observes le beau brun qui était contre le mur et qu'il puisse tourner la tête vers ta petite personne. Observant ce dernier qui retirait sa chemise, tu ne peux t'empêcher de l'observer, ces cicatrices qui étaient à ta vue et ça te brisait le coeur parce que tu ne reconnaissais pas Kaj, lui qui est contre toute forme de violence puisque c'est ses hommes qui faisaient le sale boulot. Passant nerveusement ta main contre ta nuque, tu te redresses tout doucement avant de jeter un coup d'oeil vers lui qui met son chandail et tu dévies aussitôt le regard. Oui, j'ai dis des paroles qui ont dépassées ma pensée sauf que... de voir mon mari qui ne se souvient pas de moi, qui aimerait plus disparaître qu'autre chose, tu sais bien que quand j'ai besoin de ne pas être toute seule... c'est vers toi que je me tourne et ça n'a pas changer. tu as raison et tu sais très bien que Kaj est la seule personne qui te connait mieux devant n'importe qui, toi qui le laisse passer l'une de ses mains contre tes cheveux, toi qui ferme doucement les prunelles. Tu parles souvent sans te rendre compte de ce que tu osais dire, poussant un petit soupir avant de plonger tes océans dans les siens, ta main posée nerveusement contre ta nuque en sachant que tu n'aurais peut-être pas dû se poser dans son lit. C'est de sa faute si Evan ne se souvenait pas de ta petite personne, qu'il ignorait que vous vous étiez mariés tous les deux et que vous avez deux enfants, ça t'as brisé le coeur en fait. Tu observes doucement Kaj en essayant de ne pas pleurer sauf que c'est plus pire que tu ne pouvais le sentir, ces larmes qui se posaient contre ton visage. Et si il ne retrouvait jamais la mémoire Kaj... qu'est-ce que je vais faire sans lui... @kaj wick

Tu ne pensais plus à ton coeur meurtri, t'avais fini par prendre l'habitude. Si Cassiopeia était encore là, elle te demanderait peut-être encore ce que tu as fait pour avoir tout ça. Pourtant, elle était là, à l'hôpital suite à ton incident. Tu ne peux pas appeler ça une agression, puisque c'était une mise à mort suite à une torture. Tout simplement. Ta mère voulait te tuer, mais pas seulement, elle voulait te détruire. Ta peau n'avait jamais été marqué et elle en a profiter pour te faire vivre le calvaire nécessaire pour peut-être arriver à ce que tu aies honte de ton propre corps. Il en faudrait beaucoup plus pour que tu en arrives là. Ce ne sont pas quelques cicatrices, peu importe le nombre, qui t'arrêteront. Tu n'es pas narcissique, mais tu le sais bien que tu plais aux femmes et non, ça ne t'arrête pas. Pourtant, c'est bien avec Catherine que tu freines tout. Non pas que tu en meurs d'envie, mais c'est Catherine et tu y as déjà eu droit. Ce ne serait pas face à elle que tu te gênerais de montrer ton corps. Tu as trop de respect pour son frère pour abuser de sa confiance, malgré son amnésie.

Une fois ton t-shirt enfilé, tu te retournes vers elle et réalise qu'elle a quitté son lit. Tu fais un pas vers l'arrière en la fixant et tu t'addosses contre le meuble. Tu viens croiser tes bras contre ton torse. « Ton mari est mon frère Catherine. Tu crois que ça ne me fait rien de le voir comme ça ? Il ne se souvient pas plus de moi que de toi. Je l'ai abandonné à l'hôpital. Je l'ai laissé seul avec toute cette absence de souvenir parce que je savais très bien que tu ne m'en donnerais pas la permission. » Tu pousses un soupire et fermes les yeux. « Tu sais bien qu'un jour je ne serai plus là pour te réconforter. » Tu n'oses pas la regarder en détournant le regard d'un côté et puis de l'autre. T'es froid, distant... pourquoi ? T'en sais rien, mais t'arrives pas à faire autrement depuis qu'elle est réveiller. Tu regardes devant toi, sans la voir, pourtant, tu le sens, tu le sais. Merde. Tu fermes les yeux et allonges un bras vers elle pour prendre le sien et l'approcher en douceur contre toi. Tu refermes tes bras autour d'elle en posant un baiser dans ses cheveux. « Et si on arrêtait de penser au pire et de prendre un jour à la fois. »

Tu ne devais pas être présente au manoir, ce n'est pas une bonne idée que tu as eue en fait et disons que les choses ne se passaient pas comme tu l'avais prévu, Neptune risquait sans doute de te dire que tu es quelqu'un de faible comme elle te l'as souvent dit. Pourtant, la seule chose que tu sais faire quand les choses n'allaient pas c'est que tu te rendais chez Kaj car il est la seule personne qui te connaissait et qui pouvait te changer les idées. Il n'y avait rien de plus entre toi et le beau brun qu'une amitié, il a toujours été présent pour te protéger dans toutes ces choses qui se sont passées en fait et disons que tu es amoureuse de Evan, malgré le fait qu'il ne se souvenait de rien. Il est ton mari, en fait il le restera toujours et disons que tu ne voudrais pas entrer dans les détails plus qu'il ne le faut. Oui vous aviez été en couple tous les deux en fait, quand Evan avait décider de quitter la ville comme cela sans rien dire et maintenant tu ne voudrais aucunement pas que les choses puissent être pire qu'elles ne le sont maintenant. Tandis que tu étais couchée dans le lit, tu te redresses doucement sur tes coudes pour observer Kaj qui était maintenant tout près de toi et tu prends une petite inspiration, sans le quitter du regard. Il n'est pas pudique avec toi, en fait il ne l'a jamais été et tu n'as jamais été mal à l'aise, surtout quand il retire son chandail afin d'enfiler quelque chose de plus potable. T'ignores à quel endroit il s'est retrouvé et en fait tu n'en as rien à faire, la seule chose dont tu veux présentement c'est de discuter avec quelqu'un de pouvoir t'excuser d'avoir réagit comme tu l'as fais avec ce dernier. Je sais Kaj, j'suis au courant que ça a été difficile pour toi. souffles-tu avant de finalement entendre ses paroles, baissant le regard vers le sol en serrant la mâchoire. Dis la même chose que Neptune, que je suis qu'une incapable qui n'es même pas capable de me réconforter moi-même. oui ça te pesait de plus en plus sur les épaules, tu sais bien que t'as jamais vraiment parler de cette jumelle qui avait quitter la ville pour faire le tour du monde mais qu'importe. Tu l'aimais malgré tout, tu essayais de lui donner des nouvelles quand tu en avais, de pouvoir lui envoyer de nombreuses photos de Elena comme elle grandissait tellement vite. Sentant la main de Kaj qui se pose contre ton avant-bras, tu te redresse doucement sur tes jambes afin de te poser contre le beau brun, tes mains contre son torse et ta tête contre son épaule, poussant un petit soupir. C'est compliqué d'essayer de ne plus penser au pire que la situation pouvait prendre, sauf que c'est impossible pour toi d'oublier que Evan ne pourrait sans doute plus jamais retrouver la mémoire et t'as tellement peur. D'accord... on oublie tout. @kaj wick

Garder la tête froide, rester objectif. C'était toujours impossible avec Catherine. Putain, même si tu le voulais, ça te faisait toujours quelque chose quand elle te parlait. Tout ce qu'elle te disait, tu l'enregistrais, même si tu faisais comme si ça ne te touchait pas. Tu t'en fichais souvent d'extérieur, mais peu importe, c'était toujours le même résultat. Tu entretenais un respect complet envers la personne qu'elle est. Elle n'est pas facile à vivre, c'est vrai, elle a son caractère, elle est insistante. Elle a toujours été comme ça. C'est sûrement ce qui fait qu'elle s'attire tout vos problèmes à ton frère et toi. Fut un temps qu'on s'en prenait à elle pour atteindre ton frère, mais qui sait, un jour, le message te sera peut-être adressé à toi. Elle n'est pas seulement ta belle soeur, elle a partagé ton lit, parfois même l'affichage. Pourquoi l'amené à Paris, si ce n'était pas pour la faire profiter de tes événements carritatifs et des fêtes mondaines. Tu n'y allais jamais sans compagnie et tu étais toujours bien accompagné.

Le fait de trouver Catherine chez toi, dans ta chambre, dans ton lit. Sois honnête avec toi-même, ça ne t'enchante pas. Même si ton frère avait perdu la mémoire, tu ne supportais pas de penser qu'il la trouve là. Tu penses beaucoup trop à l'effet que ça aurait sur ton frère s'il avait accès à sa mémoire et ça te rend froi et distant avec elle. Toi qui ne l'avait jamais vraiment été. C'est vrai, tu arrivais à la laisser seule lorsque vous étiez ensemble sans ressentir de regrets, elle n'avait jamais rien risqué, mais maintenant, les choses sont différentes. S'il lui arrivait quelque chose, tu pourrais en être considéré responsable. Tu en viens à te pincer l'arrête du nez en soupirant. Cette absence fraternelle pourrait te tuer et tu le sais. Tu ignores comment tu fais pour tenir encore sans éliminer le responsable. Si seulement il n'était pas lié d'une façon ou d'une autre à ton fils, ce serait tellement plus simple. Tu soupires avant de la regarder. Tu jettes un regard à la fenêtre. « Je crois que je suis le mieux placé pur te dire que c'est impossible de le faire seul. » À la mort de Peia, tu avais perdu la tête, tu avais essayé de surmonter tout ça seul et ça a risqué de causer la mort de ton frère. Taré. Sauter en bas de la tour, simplement pour attirer ton attention. Tu fais un pas vers elle en cachant tes mains dans tes poches. Tu n'es pas près à oser la prendre dans tes bras, pourtant, ta main en a décidé autrement et la voilà contre toi. Tu es incapable de ne pas réconforter la douce. Tu n'as jamais aimé la voir comme ça.

Tu avais été surprise de savoir que par le passé Evan avait été le petit frère de Kaj, surtout en sachant qu'il y avait eu des prises de jalousies entre les deux mais évidemment tu n'as pas envie que les choses puissent aller dans un mauvais endroit. Les choses ont tellement été très étranges en ce moment, surtout en sachant que l'homme dont tu es amoureuses qui avait perdu la mémoire et que maintenant il ne se souvenait plus de ta petite personne ou même de Elena qui avait près d'un an maintenant. Bien sûr ça t'as tellement fait du mal d'apprendre que ce dernier n'allait plus se souvenir de ta petite personne, l'homme dont tu es amoureuses et qu'il ne vas pas s'approcher de toi. Tu habites maintenant dans cette villa toute seule, avec les hommes qui travaillaient pour ta petite personne, ton majordome qui te tenait compagnie heureusement sauf qu'il te manquait quelque chose dans ta vie. Sauf que maintenant tu venais soudainement à te rendre dans le manoir de Kaj parce que oui tu n'as pas vraiment envie que les choses puissent se changer. Tu plonges doucement tes prunelles vers le beau brun avec qui tu as partager ton lit il y a quelques temps avant de pousser un petit soupir mais surtout de pouvoir te redresser sur tes jambes, plongeant tes prunelles dans celles de Kaj. Tu as vraiment besoin de te changer les idées, sans dire un mot de plus et tu approuves d'un signe de la tête quand il affirme que c'est quelque chose difficile. Ouais... peut-être. il a raison, sauf que tu te fermes vraiment de plus en plus, repoussant toutes les personnes qui voulaient te dire que tu ne devrais pas rester toute seule sauf que tu t'en fiches vraiment. Dès qu'il te prend dans ses bras, tu poses ta tête contre son épaule en poussant un petit soupir et surtout en restant silencieuse, ne sachant pas ce qui allait se passer dans les prochains instants sauf que t'as besoin de Kaj, vraiment, il est tellement important pour toi. Je suis tellement désolée pour toutes les choses que je t'ai dis... souffles-tu en sentant les larmes contre tes prunelles. @kaj wick