Tu habitais maintenant dans une petite maison, très loin de celle de ton mari ou même loin de tous les problèmes qui t'habitaient présentement. Pourquoi devais-tu agir de la sorte, te cacher du mieux que tu ne le pouvais ou même ce genre de chose, cette peur toujours dans le creux de ton ventre et maintenant, tu essaies de te faire une raison. Voilà que tu n'avais pas vu ce dernier depuis quelques semaines, cet homme vil et cruel qui ne demandait qu'une seule chose et c'est de pouvoir te faire du mal comme il le pouvait. Tu n'as plus personne pour te protéger, personne ne peut venir t'aider comme Sullivan avait quitté la ville sans rien te dire et t'oses même pas demander à Robbie de t'aider ou même ton meilleur ami. Les choses sont très difficiles en ce moment pour ta petite personne, tu ne peux aucunement pas rester sans bouger puisque tu ne veux pas te laisser faire du mal. Tandis que tu restes un petit moment dans ta maison, tu observes la télévision tranquillement jusqu'à ce que tu entendais un bruit qui venait de la porte d'entrée. Toi qui te redresses sur tes jambes, tu sentais les battements de ton coeur devenir encore plus intenses. Qui est là ? tu sentais tes membres qui tremblaient tout doucement et sans rien faire un mot de plus, voilà que quelqu'un s'approche de derrière toi, venant à poser sa main sur ta bouche et toi qui te débat dans tous les sens, hurlant enfin tu essayais, deux autres hommes s'approchèrent de ta petite personne pour te soulever puisque tu te débattais toujours. Tu ne pouvais pas t'échapper, voilà qu'ils te sortaient dehors pour te ramener jusqu'à la voiture, tes larmes qui coulaient le long de tes joues et tu continues de hurler contre sa main. @icare warner

« Angel! » Tu te tournes et réceptionne les clefs. Tu les regardes en levant les yeux vers celui qui allait te payer. Au fait, oui, Angel. T'étais pas pour donner ton véritable nom à un gars que tu ne connais pas et qui veut te faire conduire une bagnole sans te dire ce que tu vas transporter. De ou à ou. Tu ne savais rien de ce transport. Tu t'approches de la caisse en la regardant sous toutes ses coutures. Bon modèle, bon chassie. Tu n'as même pas le temps de dire quelque chose que trois gars s'approchent, te bousculent avant de monter dans la voiture. Tu arques un sourcil et tu jettes un nouveau coup d'oeil au bolide. Bon, bah ouais... Adviendrait que... Tu pourras fuir la police avec cet engin. Ça pu cette histoire, mais Hé! T'as besoin d'argent... Tu montes. Tu suis les instructions et tu t'arrêtes devant une maison. Un cambriolage. Super... Tu t'appuies contre ta main et tape sur le volant. Quand ils reviennent, tu regardes derrière et tu vois une femme. Tu regardes celui à ta droite. « C'est quoi cette merde ?! » Il sort son arme et discrètement il la pointe sur toi, sans qu'on ne voit derrière. Tu jettes un coup d'oeil vers la demoiselle en détresse. « Angel aller! Bouge! » Tu grognes et démarre en suivant les instructions. Tu jettes un coup d'oeil à l'arme de temps à autre et à la demoiselle derrière. Dans quel merdier tu t'étais foutu. Tu te garres et tu es forcé à resté assi. Putain, on va te foutre une balle en pleine tête, c'est ça ? Un regard par dessus ton épaule et ils amènent la demoiselle vers la cabane. Tu te tournes vers le troisième qui te braque une arme dessus.

En fait tu t'attendais à tout sauf à un enlèvement, tu sais que ton mari prévoyait quelque chose puisque ça fait depuis quelques semaines même voir des mois que tu ne l'avais pas eu et pourtant c'est maintenant que tu voyais ces hommes de main qui s'en prenaient à ta petite personne. Tu tentes de bouger dans tous les sens, la main d'un de ces hommes qui pose sa main contre ta bouche pour t'empêcher de hurler, ces larmes qui glissent le long de ta joue. En fait tu te disais que Sullivan avait décidé de s'en aller sans doute en sachant que que quelque chose du genre allait se passer avec ton mari. Tu avais le coeur qui se déchirait graduellement dans ta poitrine, toi qui essayait de te ressaisir et pourtant ils s'en prenaient à ta petite personne, essayant de t'enfuir mais ils étaient deux fois plus grands que toi mais surtout beaucoup plus fort. Les battements de ton coeur devenaient intenses dans ta poitrine alors que tu tremblais de tous tes membres, cet homme qui te donne direct une gifle contre le visage. Fermes-là putain ! tu sentais automatiquement la douleur contre ton visage et voilà que tu remontes ta main sur ton visage, fermant les yeux afin de rester silencieuse. Alors que tu remontes tes prunelles vers le chauffeur, se prénommant Angel, ce dernier ne semblait pas au courant de ce qui s'était passé comme plan et tu cales un peu plus ton dos contre le dossier. Est-ce que tu allais mourir ce soir ? Ton mari avait sans doute penser à tout en sachant que tu avais quitté la maison, que tu avais été dans les bras d'un homme qui n'en as rien a faire de ta petite personne et c'est pourquoi tu détaches ton regard de celui du chauffeur. Tu laissais ce dernier vous conduire vers une cabane alors que tu étais assise derrière, ces deux hommes l'un à côté de l'autre alors que tu restais silencieuse, prenant sur ta petite personne et dès que la voiture s'immobilise, tu tournes la tête vers cette même cabane. L'un des hommes te prend par les cheveux pour te sortir, toi qui pousse un hurlement de douleur jusqu'à ce qu'il te repousse à aller vers la cabane, tu ne penses qu'à une chose et c'est de pouvoir partir d'ici. Une fois que tu étais un peu plus loin de la voiture, tu donnes un coup de pied entre les jambes du premier mec, qui se tord de douleur et tu te mets à courir vers la voiture, sauf que t'as pas le temps de rien faire de plus quand l'autre te met un coup contre le visage, ton corps tombant contre le sol et toi qui grimace de douleur. Tu sentais le sang contre ta lèvre et tu n'aimais aucunement cette sensation. @icare warner

T'es affreusement nerveux ! Tu es en train de te brûler les ailes. Putain... Toi qui n'a toujours pas pris contact avec ton frère ! Tu peux pas crever là! Pas maintenant! T'as besoin de retrouver ton petit frère... T'as besoin de le revoir au moins une fois avant de crever. De toute façon, si t'avais à crever, ce serait sûrement le cartel qui s'en chargerait. T'es resté dans la voiture à fixer l'arme qu'on pointe vers toi. T'as levé le regard vers la brunette qui se débattait. Tu serres les dents, ça s'annonce mal. Tes poings se sont rapidement serrés. T'aimes pas qu'on s'en prenne à une femme. Ça te met la rage et en l'espace d'une heure, ces gars avaient remplis ton quota. Celui assi côté passager te pousse de l'arme en te faisant signe de sortir. Il fait la même chose et tu fixes le ciel, affreusement trop calme. « Ramasse-la. » Tu regardes le gars qui braque son arme sur toi et la pointe sur elle. Tu pousses un soupire et roules des yeux avant de te pencher. Tu agrippes son bras sans douceur pour la remettre aisément sur ses pieds. « Tu l'amènes à l'intérieur. » Tu regardes la cabane et regarde le gars à nouveau. Sans broncher, tu fais ce qu'il te dit. Toujours dans ce même manque de douceur, tu l'entraines dans la cabane. Tu suis les directives la poussant dans une des pièces et refermant la porte.

Ces hommes, tu les connaissaient mieux que personne puisqu'ils travaillaient pour ton mari, tu les avaient croisés à maintes reprises lorsque tu étais à la maison sauf que le chauffeur par contre, tu ne connaissais rien de ce dernier. Tu avais beau essayer de le regarder dans tous les sens, malheureusement il ne te disait rien et disons que c'est étrange mais t'as l'impression qu'il n'allait pas tout faire pour te tuer. Ton mari préparait quelque chose depuis de nombreuses semaines maintenant, lui qui avait fait silence radio et c'est sans doute à cause de cela qu'il s'est finalement décidé de faire ce genre de choses. Disons que tu es totalement perdue en ce moment, sachant que Sullivan avait décidé de quitter la ville en un claquement de doigt alors que tu dormais dans son lit et ça t'as vraiment brisé le coeur. Alors que tu te redresses sur tes jambes, tu tentes de t'enfuir sauf qu'un violent coup de poing venait à s'abattre contre ton visage, ton corps qui tombait contre le sol et tu grimaces de douleur. Passant tes doigts contre ta lippe inférieure qui saignait, ta main tremblait de plus en plus jusqu'à ce que le chauffeur puisse s'approcher de ta petite personne avant de prendre ton bras sans douceur et de te redresser. Lâches-moi ! dis-tu en hurlant, essayant de tout faire pour ne pas le suivre sauf que l'inconnu n'en avais rien à faire de ce que tu pouvais dire. T'as le coeur qui battait la chamade dans ta poitrine, tes membres qui tremblaient encore et encore alors que tu ne sais aucunement pas ce qui risque de se passer. Ces larmes venaient à glisser le long de tes joues, marchant jusqu'à une petite cabane et dès que tu étais entrée à l'intérieur, et quand ton corps se fait pousser dans la pièce, tu tombes contre le sol en sentant ces larmes sur ton visage. Ils n'allaient pas lâcher l'affaire et tu te poses tellement de question que tu en es même perdue... Alors qu'est-ce que vous attendez de me tuer au lieu de me kidnapper ! tu essaies de les provoquer, toi qui leur hurle dessus alors que tu ne sais aucunement pas ce qui se passe derrière la porte, tu n'as rien à perdre puisque t'as tout perdu en fait. Tu te redresses sur tes jambes avant de t'approcher du bois de cette même vieille porte en donnant de nombreux coups de jambes dessus. @icare warner

Tu avais du trainer cette file dans une pièce et tu as les dents bien serrées. Ça ne te plait pas. Ça te rend malade. Tu ne la regardes même pas. Ton coeur bat affreusement vite et après que t'aies refermé la porte, on t'entraine à l'écart pour te foutre dans une autre pièce. Tu connais la suite. Ils vont venir te buter. Tu le sais. C'est prévisible. Tu conaissais ce genre d'action. Si tu n'Avais pas été con, tu n'aurais pas pris ce boulot et si tu n'avais pas pris ce boulot... Cette meuf elle serait devenue quoi ? Tu aurais pu t'asseoir dans un coin de la pièce, mais tu fais les cent pas. Tu ne peux pas rester immobile... Tu ne pouvais pas rien faire. Tant qu'à crever, vaux mieux faire quelque chose d'integre pour une fois. Tu l'entends hurler dans la pièce d'à côté et merde, ça arrive à te déchirer le coeur. Tu grognes et tu t'emportes. Tu t'approches de la porte, tu t'élances et balances plusieurs coup de pied près des charnières. Tu les sens ceder sour la pression. Puis un dernier coup près de la serrure. La porte tombe et se fracasse au sol. T'alertes les gars qui s'enligne vers toi, mais tu vois rouge. Tu frappes le premier, récupère l'arme et tu te fois des conscéquences, tu tires sur les trois. Un coup chacun fu suffisant, tu les as pris par suprise. Tu cours vers la porte et après quelques minutes, tu arrives enfin à l'ouvrir. Tu te retrouves à te prendre un coup en pleine gueule. « OH MAIS ÇA VA ! Tu veux que je te sortes d'ici? Oui ou merde ?! »

Tu sais très bien ce que ces hommes allaient faire, ils vont te tuer sans aucun scrupule et ton cher mari risque très bien d'apprécier quand ces derniers allaient revenir à la maison que tu partageait avec ce dernier pour avouer que tu n'es plus de ce monde. En fait, tu avais réussi à t'en aller de cette dernière et ce sans qu'il essaie de te retrouver sauf que derrière tout ça, il préparait un coup et c'est soudainement en train de se passer. Les battements de ton coeur devenaient encore plus intenses dans ta poitrine, tu observes un peu tout autour de ta personne en t'approchant de la fenêtre que tu essaies d'ouvrir sauf qu'elle était beaucoup trop vieille pour ouvrir et surtout pas avec la force que t'avais dans les bras. Ces larmes glissèrent le long de ta joue tandis que tu t'arrêtes dans les mouvements en entendant trois coups de feu, reposant tes prunelles sur la porte. Est-ce que c'est ces hommes qui avaient tués le chauffeur qui semblait un peu plus indulgent que les trois autres ? T'en sais rien sauf qu'alors que tu voyais la porte qui s'ouvres, tu t'élances pour donner un coup de pied sur la gueule de cet homme, sauf que tu te rends compte que ce n'est pas les trois hommes de main de ton mari mais bien ce chauffeur. Il hurle, totalement pris au dépourvu par ce que tu venais de faire et tes mains se posent automatiquement contre ta bouche, prunelles déviant vers l'arme qu'il tenait dans la paume de sa main. Est-ce que tu devrais lui faire confiance ? Ils sont où les autres hommes... que tu demandais, cette voix qui tremblait un peu plus car t'as pas envie de te retrouver avec une balle entre les deux yeux car tu lui aurais fais confiance. Avalant difficilement ta salive, tu reposes tes prunelles vers les siennes en essayant de savoir si c'est vraiment une bonne idée, car si les trois autres étaient morts, cela ne prendrait qu'une fraction de secondes avant que d'autres ne puissent venir. Puis comment j'pourrais avoir confiance en toi, c'est toi qui chauffait cette voiture pour m'amener jusqu'ici ? t'as besoin de poser ces questions, sans doute pour que tu puisses te faire une bonne idée de lui, comme t'es vraiment pas en état de bien penser. @icare warner

Non mais c'est qui cette fille putain! C'est la seule chose que tu te dis. Déjà pour qu'elle se fasse kidnapper comme ça. Puis ce putain de coup que tu te prends. Tu grimaces, tu serres les dents, tu grognes. Tu viens te masser la mâchoire sans la regarder pour autant. Tu penses à ces mecs que tu viens de buter. Ton frère, s'il apprenait ça... Quand tu sors de taule... Ça fait chier, royalement chier ! Et tout ça pour sauver une meuf que tu ne connais pas ! Tu lèves l'arme sans t'en rendre compte pour masser ta gueule. Tu finis par ouvrir les yeux en les posant sur la brunette. Tu regardes l'arme avant de l'essuyer de ton t-shirt. Tu la balances ensuite au sol en levant les mains. « Ouais bah c'était un boulot qui venait pas avec un descriptif complet. C'est pas dans mes plaisirs les kidnappings. » T'avais omi de parler des trois autres mecs dans le couloir qui devaient être mort. Tu leur avais tiré dessus, mais savoir si tu les avais tué en tirant, c'était pas ta tasse de thé. Tu t'étais rendu jusqu'à elle. On verra pour la suite, pas vrai ? Tu lui tends la main. « Tu veux que je te sorte d'ici ou non? » Tu agites les doigts, impatient. Tu jettes un coup d'oeil par dessus ton épaule en serrant les dents. Tu t'approches un peu plus et tu viens lui prendre la main pour la tirer vers toi. Tu la plaques contre ton corps pour la sortir de la pièce. Tu la tiens aussi fort que tu peux sans lui faire de mal. Tu marches vers la sortie de la maison. Tu passes la porte d'entré et une fois dehors, tu la relâches en prenant la peine de refermer derrière vous. Tu fais sauter la poignée avant de venir bloquer la porte. Tu descends les marches et regarde la bagnole. Tu serres les dents et regardes autour. Hors de question de reprendre la voiture. Tu pousses un soupire et te tournes vers elle à nouveau. Tu recommences, tu tends la main vers elle et tu attends.

Cet homme semblait ne pas être au courant de toutes ces choses qui se passaient, sauf que comment devrais-tu prendre une chose comme cela, sachant que ces hommes avaient essayés de te faire du mal et qu'en plus, c'est ton cher mari qui avait décidé d'envoyer ceux-ci pour venir te rejoindre. Sauf qu'au moment où tu venais à le voir qui s'approchait de ta petite personne en ouvrant la porte, tu ne pouvais t'empêcher de lui donner un coup de pied en pleine figure, les battements de ton coeur qui devenaient encore plus intenses dans ta poitrine et voilà que tu fronces le regard. Il se masse la jour automatiquement contre la joue, toi qui avais un mouvement de recul parce que oui tu as vraiment peur de ce qui allait se passer, est-ce que tu dois avoir confiance en lui ? Bref, tu pinces ta lippe inférieure alors qu'il lance le fusil contre le sol, par chance c'est une bonne chose puisque personne n'allait pouvoir être blessé. Oh parce que dans tes plaisirs c'est de t'en prendre à certaines personnes ? t'as pas envie de lui faire confiance, si ce dernier venait à changer d'avis et de pouvoir te pousser vers ton mari, ne sachant pas ce qui risque de se passer. Il se rapproche doucement, te montrant sa main afin que tu puisses la prendre sauf que t'es toujours prise dans tes pensées en ce moment, les battements de ton coeur qui devenaient encore plus intenses dans ta poitrine. Est-ce que tu dois lui laisser une chance ? Sans doute que sans son aide tu serais morte, il n'aurait pas réussi à s'en aller et disons que t'ignores à quel endroit vous alliez vous rendre tous les deux. Oui. la réponse était sortie toute seule, tu veux vraiment t'en aller de cet endroit qui te donnait presque envie de vomir sauf que tu restais sur la défensive, jusqu'à ce qu'il ne vienne à s'approcher pour prendre ta main et de pouvoir te plaquer contre lui, tes mains posées contre son torse. Faut dire que cette sensation était tout de même agréable, t'appréciais ce genre de contact sauf que tu oses ne pas entrer dans les détails encore. Voilà que tu viens à le suivre sans dire un mot de plus, ce dernier qui t'emporte jusqu'à l'extérieur et de finalement observer tout autour de ta petite personne, observant autour de toi et de pouvoir reposer tes prunelles vers cet inconnu. On doit aller à quel endroit maintenant... puis est-ce que je peux savoir au moins ton prénom. souffles-tu en relevant le menton pour mieux l'observer, prenant doucement sa main dans la tienne et de rester tout près de lui. @icare warner

Elle commence déjà à être chiante celle-là. Ou t'as tout simplement les nerfs à vif ? Qu'est-ce que tu peux faire, qu'est-ce que tu peux bien lui dire merde! Tu conduisais cette putain de bagnole ! Tu l'as regardé monter dans la voiture et tu n'as rien fait. Bon, de la banquette arrière, elle n'a sûrement pas vu que tu avais une arme braqué sur toi. Tu avais réagit avant même qu'elle n'entre dans la voiture. Tu t'es retrouvé dans un foutu merdier Icare! Que ça fait chier ! T'aurais peut-être du rester en taule, au moins là tu étais tranquille. Ô et à bien y penser... Tu y as retrouvé Maddox et avec la râclée qu'il a pris le malin plaisir à te donner pour montrer qu'il était le plus fort, t'es bien mieux dans cette situation. T'as encore des séquelles de ce jour là, la poisse quoi !

Elle parle, encore et encore. Elle parle trop à ton goût. Tu te mets même à penser que c'est pour ça qu'elle a été enlevé. Tu finis par t'énerver en grognant de façon agressive. Tu te tournes vers elle et la pointe. « Écoute-moi bien ma jolie ! Je faisais que chauffer une putain de bagnole ! Les kidnappings c'est pas dans mon CV ! Alors ferme-là donc un peu ! Tu ne me connais pas, alors ne vient pas me juger du haut de ton mètre soixante! » Ouais, t'as l'oeil quand il s'agit des femmes. Faut pas t'en vouloir, tu adores les femmes et leurs courbes. Celle-là, elle avait ce visage angélique et ces courbes atrayantes, assez pour de distraire de ton objectif de foutre le camp de cet endroit infernal. Tu secoues la tête en faisant quelques pas autour de la voiture. Tu te prends la tête entre les mains. Tu regardes ton téléphone. - Car oui, les imbéciles te l'avaient laissé. - Tu regardes le numéro de ton frère, mais non, tu ne peux pas faire ça. Il n'a jamais su dans quoi tu trempais, ce n'est pas le moment de lui foutre tes problèmes sur le dos. Putain, tu venais sûrement de buter trois mecs! Merde ! Tu te plis en deux et vient poser tes mains sur tes genoux en fermant les yeux. Puis la voilà qui parle encore. Tu pousses un soupire bruyant et tu te redresses en roulant les yeux. En tournant la tête vers elle, l'idée de l'envoyer se faire foutre disparait. Tu ramènes ton regard vers la voiture. Tu as sa main dans la tienne et tu baisses les yeux vers vos mains. T'avais complètement oublié. « Icare. » Réponse franche, réponse brève, réponse sec. Tu la rapproches de toi en entendant une voiture approcher. Tu fais quelques pas vers l'arrière et tu la pousses derrière toi. « Allez ! Cours! » Tu restes derrière elle et tu te mets aussi à courir. Tu croises les doigts pour qu'on ne vous ait pas vu partir.

Dois-tu lui faire confiance ? Est-ce qu'il s'amusait à se rapprocher de ta petite personne simplement pour se la jouer avec ton cher mari qui avait pris un malin plaisir à s'imposer dans ta vie ? Non, tant de questions venaient à remontrer dans le creux de ta tête, t'ignores ce qui risque de se passer dans les prochains instants, mais tout ce dont tu as envie c'est de quitter cette maison désaffectée et de ne plus jamais remettre les pieds dans cet endroit. Tu ne connaissais rien de cet homme, jamais tu ne l'avais vu dans la même maison que ton mari car tu sais exactement qui travaille pour ton mari, ceux-ci se donnant un malin plaisir de te faire du mal comme bon leur semble. Tu sais que tu parles beaucoup trop, sans doute que c'est dû à ton niveau de stress que tu réagis de la sorte sauf qu'une chose est sûre, tu n'as aucunement envie que l'on puisse te dire que c'est une connerie, qu'on te fait marcher en bateau depuis le tout début. Dès qu'il perdait patience suite aux paroles que tu lui disais, tu sentais les battements de ton coeur qui devenaient encore plus intenses dans ta poitrine, toi qui recules d'un pas en espérant qu'il ne puisse pas être du genre violent comme l'a toujours été ton cher mari. C'est bon, ça va... pas besoin d'être rude toi aussi. il ne te connaissait pas et cela se voyait, il ignore comment ton mari réagit lorsque tu es dans une fâcheuse position, il ne sait pas toutes les choses que tu vis lorsque cet homme te bât ou même te force à lui faire des choses dont tu n'as aucunement envie. Non, il ne sais rien de tout cela et tu te dois te t'assurer que tu peut lui faire confiance, que tu peux le suivre et de ne pas avoir en tête qu'il puisse te faire du mal. Lui demandant son prénom, ta main toujours posée contre la sienne, tes océans se posent dans les siens et dès qu'il répond à ta question, tu approuves d'un simple signe de la tête. Nora. tu veux connaître le prénom de cet homme qui te sauves la vie, sauf qu'au même moment, tes prunelles se posent vers une voiture qui s'en venait au loin. Merde, est-ce qu'ils vous avaient vus tous les deux ? Restant tout près d'Icare, tu l'entends te dire de courir alors qu'il te met derrière lui. T'as pas besoin de répondre ou de perdre du temps, tu te retournes automatiquement avant de prendre la fuite en sa compagnie, l'adrénaline est forte, tu essaies de ne pas tomber en cours de route puisque ça serait la pire chose qu'il pourrait arriver. Jetant de temps en temps des coups d'oeil derrière toi, tu sais qu'il te suit et une fois entrer dans les bois, tu n'avais pas vu cette énorme racine qui était en face de toi, ton pied vient à s'enfarger dedans et toi qui tombe automatiquement sur le sol, grimaçant de douleur. Merde... @icare warner

Des arbres, ici et là, putain, vous aviez rejoins la fôret. Tu finis par t'arrêter en observant, putain, ou est-ce qu'elle est ! Tu passes une main nerveuse dans tes cheveux. En même temps, tu ne peux pas lui en vouloir d'être partie. Elle avait raison, tu en faisais partit de ce groupe qui l'avait arrachée à sa vie. Tu ignores pourquoi et qui lui en voulait et ça te passait six pieds au dessus de la tête. Tu regardes derrière toi et entends des pas. Pas le temps de chercher par ou elle est aller. Tu traverses la première rangée d'arbre et tu t'avances d'un pas rapide. Soudainement, ton pied s'accroche dans quelque chose et tu finis au sol. En fait, tu tes coudes t'arrêtes dans ta chute avant que tout ton poids s'écrase sur... « Nora... » Vos nez se frôlent et un genou se pose entre ses jambes, tes coudes s'appuyant dans la terre de chaque côté de ses épaules. Tu entends le bruit d'une porte de voiture à la lisière des bois. Tu regardes par dessus ton épaule avant de glisser un bras sous elle pour te redresser à genoux. Tu la plaques contre toi avant de poser un doigt sur tes lèvres pour qu'elle garde le silence. Ton regard plongé dans le sien, tu l'entraines jusqu'à l'arbre le plus près, sans te soucier si elle touchait au sol ou non. Tu la plaques en douceur contre l'écorce et te plaque contre elle pour l'empêcher de bouger. Tu entends deux hommes parler et tu sais bien qu'il parle d'elle, puisque le nom de Nora s'infiltre ans la conversation trop souvent. Tu la fixes, tu la regardes en silence, ton regard entrer dans le sien. Elle est jolie, même plus que jolie. Qui voudrait lui vouloir du mal ? Pourquoi....

Tu cours, rapidement dans les bois et surtout en sentant les battements de ton coeur qui devenaient encore plus intenses dans ta poitrine, cette peur qu'on puisse vous retrouver tous les deux venait à remonter dans ta tête. Tu sais que ton mari devait être au courant que les choses n'allaient pas bien en ce moment, que ses hommes avaient sans doute eu la puce à l'oreille et c'est pourquoi ils sont présents dans l'entrée du bois. Ces larmes venaient à remonter contre tes prunelles, t'ignores vraiment dans quel endroit se retrouvait Icare car oui il t'avais mentionner de courir et de ne pas te retourner, chose que t'as fais. Sauf qu'en peu de temps, tu te retrouves contre le sol après avoir poser le pied contre une énorme racine que tu n'as pas vu dans le sol et que tu grimaces de douleur, posant ta main machinalement contre ta jambe. Tu ne sais pas ce qui allait se passer maintenant, c'est pourquoi tu restes étendue contre le sol sauf que par contre, tu entendais des bruits de pas qui se rapprochaient et que quelqu'un tombe sur toi, étouffant un cri entre tes lippes suite à poser ta main sur ton visage. Entendant la voix de Icare, tes prunelles se reposent vers les siennes et tu pousses un long soupir de soulagement. J'croyais que je t'avais perdu... souffles-tu, cette peur toujours présente dans tes prunelles parce que oui, tu te sentais un peu plus en sécurité avec le beau brun non loin de ta petite personne et tu ne voulais vraiment pas qu'on puisse vous chopper tous les deux. Dès que son bras se passe en douceur autour de ton corps, te soulevant par le fait même et toi qui restait silencieuse puisque t'as aussi entendu la porte qui claquait à l'entrée du bois. Une fois collée contre un énorme tronc d'arbre, tu plaques doucement ton corps contre celui de Icare, les battements de ton coeur toujours intenses dans ta poitrine jusqu'à ce que tu plonges tes océans dans ceux du beau brun, comme s'il cherchait à comprendre ce qui se passait maintenant. Tes mains se posent doucement contre son torse, fermant les yeux en entendant les voix de ces hommes, ils parlaient de toi et tu sais très bien pourquoi. Tu trembles lentement, tu essaies de garder ton calme et tu espères tellement que ces hommes n'allaient pas vous trouver tous les deux, comme vous n'aviez rien pour vous défendre... @icare warner

Un large sourire se dessine à ses mots. Pourquoi ? C'était quoi ça ? T'en sais rien. C'était venu naturellement, alors pourquoi le freiner, non? Tu n'as pas pu t'empêcher non plus de lui répondre, amusé et sérieux à la fois. « Oh, très touchant ma jolie, mais on est pas sortie des bois ! » Jolie jeu de mots parfait. Tu tends l'oreille, détournant le regard d'elle. Tu l'avais plaqué contre un arbre et tu t'étais plaqué contre elle. Tu la sens trembler contre toi et tu ramènes ton regard sur elle. Tu n'aimes pas ça et tu ne vois pas d'issue possible. Tu viens glisser une main au creux de sa nuque en prenant une grande inspiration. Tu viens plaquer ton menton contre le dessus de son crâne sans vraiment réaliser ce que tu fais. Tu réfléchis et ton pouce caresse la base de ses cheveux.

Soudainement, tu as cette idée, pas des plus parfaites, au moins ça lui permettra de s'enfuire. Si t'en crèves, c'est que tu le méritais. Tu la repousses en douceur contre le mur. Tu retires ta veste de cuir et tu la lui tends. Tu retires l'élastique de tes cheveux que tu laisses tomber sur tes épaules. Ton jean est déjà couvert de terre, ton genoux écorché, ton jean est déchiré. Tu la regardes un moment et fixes ensuite ta veste. « T'as tout là dedans. Mon portefeuille, mes clefs. Vas-t'en, dès que t'es en ville, rends-toi chez moi. Si je ne suis pas là dans trois heures, tu as le numéro de mon frère dans mon portable. Il n'est pas verrouillé. » Sans même attendre une réponse, tu la pousses dans la direction opposé et tu t'éloignes discrètement de ou vous étiez. Un petit coup de terre au visage, un coup que tu te donnes avec un rocher, tu titubes jusqu'aux deux gars pour attirer leur attention ailleurs. Toi, fabuleux menteur, ils croiront sûrement ton histoire et vu tes capacités, tu pourras te deffendre en cas de besoin. Les deux te soutiennent et t'appuient contre la voiture, le dos tourné à la fôret, tu subit l'interrogatoire.

T'avais eue peur de perdre Icare sur le chemin, pourquoi tu agissais de la sorte avec un homme dont tu ne connaissais absolument rien en ce moment ? Tant de questions qui se posaient dans ta tête et pourtant, tu essaies de cacher ce genre de pensées dans ta tête et de ne pas aller trop loin, surtout pas dans de telles circonstances. Ouais, c'est le cas de le dire... souffles-tu en observant un peu autour de ta petite personne parce que oui, vous étiez entourés d'arbres tout autour de vous deux et t'as soudainement peur que ces hommes ne puissent tomber sur toi. Tu trembles tout doucement dans les bras d'Icare, tu ne sais pas ce qui risque de se passer et pourtant, il vient à positionner sa main contre ta nuque et qu'il pose sa tête sur le sommet de ton crâne. Ainsi, ta tête positionnée contre son épaule, tu sentais soudainement tes muscles qui s'apaisaient, comme si tu étais totalement détendue et t'appréciais ce contact sans que tu t'en rendes comptes. Soudainement après quelques minutes, voilà que ce dernier te repousses en douceur contre l'arbre avant de retirer sa veste de cuir et les paroles qu'il ose te dire, faisaient en sorte que tu fais un signe de la tête que non. Je... non, hors de question que je te laisse seul avec ces hommes... t'as soudainement peur qu'ils s'en prennent à lui, plongeant tes océans dans ceux du beau brun et tu avales difficilement ta salive. Sauf que t'as pas le temps de lui changer les idées, Icare décide de te repousser alors que tu gardes le veston de cuir dans la paume de ta main et de te reculer rapidement. Tu ne penses à rien soudainement, tu décides de courir le plus rapidement possible en gardant la veste dans ta main, jetant un coup d'oeil de temps en temps derrière toi sauf que t'as perdu la trace d'Icare. Tes battements de coeur devenaient encore plus intenses dans ta poitrine et alors que tu sortais des bois, tu t'arrêtes en reprenant ton souffle, ouvrant la veste pour prendre son porte-feuille et de pouvoir observer l'adresse indiquée, venant à te rendre jusqu'au chemin le plus proche et d'être embarquée par une voiture... @icare warner